Des perturbations itératives touchent les horaires des trains depuis quelques temps déjà. Ces retards, de plusieurs heures parfois, pénalisent les centaines de voyageurs qui restent bloqués sur les quais n'ayant pas d'autre recours. Des perturbations itératives touchent les horaires des trains depuis quelques temps déjà. Ces retards, de plusieurs heures parfois, pénalisent les centaines de voyageurs qui restent bloqués sur les quais n'ayant pas d'autre recours. Les usagers du train,empruntant la ligne Alger-Thénia, ont vécu un véritable calvaire jeudi en fin d'après-midi au niveau de la gare d'Agha au moment de prendre le dernier train de 18h08 pour rentrer chez eux. En effet les perturbations des trains sur cette ligne se suivent et se ressemblent, cela en dépit des assurances données par les responsables de la SNTF. Ces perturbations itératives, touchant les horaires de départ des trains, pénalisent des centaines de voyageurs qui restent bloqués sur les quais n'ayant pas d'autre recours. Jeudi passé a té particulièrement pénible pour les usagers, contraints de faire le pied de grue durant des heures et voyant leurs inquiétude et angoisse grandir au fil des heures d'autant que la nuit s'était déjà installée. En l'absence de communication et informations fiables, les rumeurs allaient bon train. certains affirmaient détenir "de sources sûres" qu'un câble électrique aurait été sectionné, par des inconnus, entre Reghaïa et Boudouaou. Ces personnes, "bien au fait", expliquent qu'à cause de cela les trains ne peuvent plus utiliser qu'une seule voie, justifiant cela par le fait que les retards n'ont pas touché les trains à destination de Blida et d'El Afroun. Enfin et après une attente interminable et stressante le train salvateur arrive. Il est aussitôt pris d'assaut par les centaines d'usagers qui, même si frigorifiés par le froid glacial du soir, retrouvent un regain d'énergie pour se battre et pouvoir y monter. Battre n'est pas un mot exagéré, puisque les plus faibles n'avaient aucunement ma moindre chance de décrocher une place dans les wagons bondés en un clin d'œil. À l'intérieur du train la tension était palpable, agglutinés les unes aux autres, la situation des personnes ayant réussi à se frayer une minuscule place dans les rames était loin d'être enviable. L'un d'eux trouvera la force de dire dans un râle : « On est comme des sardines en conserve. On risque de manquer d'oxygène ». Un autre usager ironise à son tour : « Le train risque d'exploser sous la pression du nombre de voyageurs ». Reste la problématique des voleurs, écumant les lieux, qui profitent de cette situation idéale pour opérer en toute impunité. En arrivant à destination, et en s'extrayant difficilement du magma humain, beaucoup auront la désagréable surprise de ne pas retrouver portables, argent ou tout objet de valeur. Alger-tizi ouzou Les wagons vétustes menacent la sécurité des usagers Les usagers du train à destination de Tizi-Ouzou vivent un supplice au quotidien. Leur calvaire est dû à la vétusté des trains circulant sur cette ligne. « Ce train est un véritable danger pour les voyageurs, les locomotives sont poussives et crasseuses. De plus, des mares d'eau se sont formées à l'intérieur des wagons depuis le retour des pluies aggravant ainsi le marasme. D'ailleurs un train de cette ligne a même déraillé dans la matinée de ce même jeudi noir. Un usager était présent dans ce train au moment de l'accident et n'est toujours pas remis de ses émotions : « On a échappé à une mort certaine », nous confie-t-il. Ce moyen de transport, privilégié par les personnes pour éviter les bouchons, est en train de péricliter, enregistrant d'importants retards récurrents. De plus quand ces retards ont lieu en fin de journée un autre problème, et pas des moindres, se pose pour les usagers lesquels à leur descente du train ne trouvent plus aucun moyen de transport pour rentrer chez eux. « Il est près de 19h. Plus aucun transport ne sera disponible à cette heure-ci. Je dois de plus parcourir 30 km pour aller de la gere jusqu'à chez moi. Je n'ai donc pas d'autre choix que de me rendre chez des proches à Reghaïa », nous dit une étudiante. Il y a les autres, les plus nombreux, ceux qui n'ont pas où aller se réfugier et qui doivent céder au diktat des chauffeurs de taxi clandestins. La sonnette d'alarme est ainsi tirée par les usagers des trains de banlieue qui dénoncent ces aléas et revendiquent de meilleures prestations de service. Les responsables de la SNTF ont certes promis de remédier à ces perturbations, mais après de courtes éclaircies, rien ne va plus une fois encore. Naciria Le train de voyageurs déraille Les usagers de train de voyageurs Tizi Ouzou-Alger ont connu la peur de leur vie dans la matinée de jeudi dernier. En effet deux wagons du train de cette ligne ont dérayé à la sortie ouest de Naciria créant ainsi une grave panique parmi les voyageurs. Il a été enregistré trois blessés heureusement légers. Ainsi il y a eu plus de peur que de mal, mais les voyageurs demeurent encore sous le choc et il y a fort à parier que beaucoup d'entre eux ne sont pas près de remettre le pieds dans l'un de ces trains qui auraient dû être retirés de la circulation depuis belle lurette pour grave vétusté. Dj. B. Les usagers du train,empruntant la ligne Alger-Thénia, ont vécu un véritable calvaire jeudi en fin d'après-midi au niveau de la gare d'Agha au moment de prendre le dernier train de 18h08 pour rentrer chez eux. En effet les perturbations des trains sur cette ligne se suivent et se ressemblent, cela en dépit des assurances données par les responsables de la SNTF. Ces perturbations itératives, touchant les horaires de départ des trains, pénalisent des centaines de voyageurs qui restent bloqués sur les quais n'ayant pas d'autre recours. Jeudi passé a té particulièrement pénible pour les usagers, contraints de faire le pied de grue durant des heures et voyant leurs inquiétude et angoisse grandir au fil des heures d'autant que la nuit s'était déjà installée. En l'absence de communication et informations fiables, les rumeurs allaient bon train. certains affirmaient détenir "de sources sûres" qu'un câble électrique aurait été sectionné, par des inconnus, entre Reghaïa et Boudouaou. Ces personnes, "bien au fait", expliquent qu'à cause de cela les trains ne peuvent plus utiliser qu'une seule voie, justifiant cela par le fait que les retards n'ont pas touché les trains à destination de Blida et d'El Afroun. Enfin et après une attente interminable et stressante le train salvateur arrive. Il est aussitôt pris d'assaut par les centaines d'usagers qui, même si frigorifiés par le froid glacial du soir, retrouvent un regain d'énergie pour se battre et pouvoir y monter. Battre n'est pas un mot exagéré, puisque les plus faibles n'avaient aucunement ma moindre chance de décrocher une place dans les wagons bondés en un clin d'œil. À l'intérieur du train la tension était palpable, agglutinés les unes aux autres, la situation des personnes ayant réussi à se frayer une minuscule place dans les rames était loin d'être enviable. L'un d'eux trouvera la force de dire dans un râle : « On est comme des sardines en conserve. On risque de manquer d'oxygène ». Un autre usager ironise à son tour : « Le train risque d'exploser sous la pression du nombre de voyageurs ». Reste la problématique des voleurs, écumant les lieux, qui profitent de cette situation idéale pour opérer en toute impunité. En arrivant à destination, et en s'extrayant difficilement du magma humain, beaucoup auront la désagréable surprise de ne pas retrouver portables, argent ou tout objet de valeur. Alger-tizi ouzou Les wagons vétustes menacent la sécurité des usagers Les usagers du train à destination de Tizi-Ouzou vivent un supplice au quotidien. Leur calvaire est dû à la vétusté des trains circulant sur cette ligne. « Ce train est un véritable danger pour les voyageurs, les locomotives sont poussives et crasseuses. De plus, des mares d'eau se sont formées à l'intérieur des wagons depuis le retour des pluies aggravant ainsi le marasme. D'ailleurs un train de cette ligne a même déraillé dans la matinée de ce même jeudi noir. Un usager était présent dans ce train au moment de l'accident et n'est toujours pas remis de ses émotions : « On a échappé à une mort certaine », nous confie-t-il. Ce moyen de transport, privilégié par les personnes pour éviter les bouchons, est en train de péricliter, enregistrant d'importants retards récurrents. De plus quand ces retards ont lieu en fin de journée un autre problème, et pas des moindres, se pose pour les usagers lesquels à leur descente du train ne trouvent plus aucun moyen de transport pour rentrer chez eux. « Il est près de 19h. Plus aucun transport ne sera disponible à cette heure-ci. Je dois de plus parcourir 30 km pour aller de la gere jusqu'à chez moi. Je n'ai donc pas d'autre choix que de me rendre chez des proches à Reghaïa », nous dit une étudiante. Il y a les autres, les plus nombreux, ceux qui n'ont pas où aller se réfugier et qui doivent céder au diktat des chauffeurs de taxi clandestins. La sonnette d'alarme est ainsi tirée par les usagers des trains de banlieue qui dénoncent ces aléas et revendiquent de meilleures prestations de service. Les responsables de la SNTF ont certes promis de remédier à ces perturbations, mais après de courtes éclaircies, rien ne va plus une fois encore. Naciria Le train de voyageurs déraille Les usagers de train de voyageurs Tizi Ouzou-Alger ont connu la peur de leur vie dans la matinée de jeudi dernier. En effet deux wagons du train de cette ligne ont dérayé à la sortie ouest de Naciria créant ainsi une grave panique parmi les voyageurs. Il a été enregistré trois blessés heureusement légers. Ainsi il y a eu plus de peur que de mal, mais les voyageurs demeurent encore sous le choc et il y a fort à parier que beaucoup d'entre eux ne sont pas près de remettre le pieds dans l'un de ces trains qui auraient dû être retirés de la circulation depuis belle lurette pour grave vétusté. Dj. B.
