Le marché communal de l'agglomération urbaine d'El Biar connaît une baisse notable du commerce informel. En effet beaucoup d'étals, installés à proximité du siège de l'APC, ont disparu ces derniers jours. La lutte, menée sans répit par les autorités communales, contre ce phénomène commence à porter ses fruits, c'est ce que les citoyens ont pu constater du moins à El-Biar. La campagne pour l'éradication de l'informel dans la wilaya d'Alger, vise à assainir la pratique commerciale. De ce fait le nombre des commerçants informels, qui occupaient auparavant la place Kennedy et les trottoirs, diminue de jour en jour. D'ailleurs, le marché communal d'El Biar retrouve son apparence d'antan, cela avec l'ordre et l'organisation qui reprennent progressivement leurs droits. Il faut dire que ce marché a été, pendant très longtemps, classé parmi les marchés les plus anarchiques de la capitale à cause des étals informels que l'on retrouvaient partout, au niveau des diverses entrées du marché et dans toutes les ruelles menant vers ce dernier. Ces étals se voyaient aussi à côté de la mosquée et même sous les propres fenêtres du P/APC. Les quelques commerçants, qui continuent de faire de la résistance, sont contraints de jouer au chat et à la souris avec les services de l'ordre dont la mission est de veiller à la gestion de ce problème. Ce retour de l'ordre public a été salué par les riverains qui respirent enfin. « Cela fait vraiment plaisir de voir notre marché respirer et pouvoir y accéder en toute facilité sans bousculades » nous dira une dame abordée à l'intérieur du marché. Le même constat est signalé dans plusieurs localités, qui pâtissaient du même phénomène. À El Harrach, Baraki ou bien encore Bachdjarrah les citoyens ont récupéré leurs trottoirs et espaces à leur grand bonheur. Des marchés de proximité ont été aménagés un peu partout à travers la capitale pour accueillir ces commerçants. Aujourd'hui certaines localités continuent de souffrir de ces pratiques illégales : Belouizdad, Kouba... mais certainement plus pour longtemps. Il faut rappeler que le gouvernement a mis en place une commission interministérielle avec pour mission l'éradication du commerce illicite . Le marché communal de l'agglomération urbaine d'El Biar connaît une baisse notable du commerce informel. En effet beaucoup d'étals, installés à proximité du siège de l'APC, ont disparu ces derniers jours. La lutte, menée sans répit par les autorités communales, contre ce phénomène commence à porter ses fruits, c'est ce que les citoyens ont pu constater du moins à El-Biar. La campagne pour l'éradication de l'informel dans la wilaya d'Alger, vise à assainir la pratique commerciale. De ce fait le nombre des commerçants informels, qui occupaient auparavant la place Kennedy et les trottoirs, diminue de jour en jour. D'ailleurs, le marché communal d'El Biar retrouve son apparence d'antan, cela avec l'ordre et l'organisation qui reprennent progressivement leurs droits. Il faut dire que ce marché a été, pendant très longtemps, classé parmi les marchés les plus anarchiques de la capitale à cause des étals informels que l'on retrouvaient partout, au niveau des diverses entrées du marché et dans toutes les ruelles menant vers ce dernier. Ces étals se voyaient aussi à côté de la mosquée et même sous les propres fenêtres du P/APC. Les quelques commerçants, qui continuent de faire de la résistance, sont contraints de jouer au chat et à la souris avec les services de l'ordre dont la mission est de veiller à la gestion de ce problème. Ce retour de l'ordre public a été salué par les riverains qui respirent enfin. « Cela fait vraiment plaisir de voir notre marché respirer et pouvoir y accéder en toute facilité sans bousculades » nous dira une dame abordée à l'intérieur du marché. Le même constat est signalé dans plusieurs localités, qui pâtissaient du même phénomène. À El Harrach, Baraki ou bien encore Bachdjarrah les citoyens ont récupéré leurs trottoirs et espaces à leur grand bonheur. Des marchés de proximité ont été aménagés un peu partout à travers la capitale pour accueillir ces commerçants. Aujourd'hui certaines localités continuent de souffrir de ces pratiques illégales : Belouizdad, Kouba... mais certainement plus pour longtemps. Il faut rappeler que le gouvernement a mis en place une commission interministérielle avec pour mission l'éradication du commerce illicite .
