La dimension des œuvres littéraires de Tahar Ouettar a été lundi à Oran au centre des débats d'un colloque dédié au défunt écrivain et homme de Lettres. Les spécialistes ont abordé lors des travaux de cette rencontre différents aspects des œuvres de l'auteur de "Zilzal", qui a marqué de ses empreintes le champ littéraire et le paysage culturel en Algérie. Le chercheur Bachir Bouyedjra, enseignant de littérature de l'université d'Oran a estimé que cet auteur, qui a porté le souci culturel algérien, a exprimé dans ses œuvres littéraires "les préoccupations de l'Algérie profonde et a contribué à l'authenticité de la narration en Algérie, donnant au roman algérien moderne et contemporain une dimension stratégique dans le champs de la littérature et de l'écriture". L'universitaire a rappelé que Tahar Ouettar "se distinguait par l'authenticité dans la création littéraire en présentant le roman algérien au monde arabe dans toute sa dimension d'avant-garde et d'esthétique". Il ne se trouve pas un penseur arabe qui ignore ses romans comme "Al Zilzal" (le tremblement de terre), "El hawwat wa Al Qasr" (le pêcheur et le palais) et "Ars bghal" (Les noces du mulet) et autres ouvrages qui ont eu un écho dans le milieu littéraire. Le conférencier a également rappelé que Tahar Ouettar, le moudjahid dans la glorieuse Révolution algérienne, avait prit part à la création d'un système de connaissance préconisé par l'Etat après l'indépendance, tout en affirmant que les romans de ce grand homme de lettres jouissent d'une dimension nationale et internationale, grâce à leur traduction vers plusieurs langues. Les travaux du premier jour de cette rencontre littéraire, organisée à la Maison de la Culture "Zeddour Brahim Belkacem" d'Oran sous l'égide de la direction de la culture et en collaboration avec l'association culturelle "El Jil", ont été marqués par des récitals poétiques de Oum Sihem et Zohra Berriah d'Algérie, de l'égyptienne Insaf Otmane El Ammari et le poète palestinien Khaled Salah. Au théâtre régional "Abdelkader Alloula", qui abrite cette manifestation de trois jours sous le thème "Des bougies qui ne s'éteignent pas", se tient une exposition photos de l'homme de Lettres, Tahar Ouettar, décédé en août 2010. La dimension des œuvres littéraires de Tahar Ouettar a été lundi à Oran au centre des débats d'un colloque dédié au défunt écrivain et homme de Lettres. Les spécialistes ont abordé lors des travaux de cette rencontre différents aspects des œuvres de l'auteur de "Zilzal", qui a marqué de ses empreintes le champ littéraire et le paysage culturel en Algérie. Le chercheur Bachir Bouyedjra, enseignant de littérature de l'université d'Oran a estimé que cet auteur, qui a porté le souci culturel algérien, a exprimé dans ses œuvres littéraires "les préoccupations de l'Algérie profonde et a contribué à l'authenticité de la narration en Algérie, donnant au roman algérien moderne et contemporain une dimension stratégique dans le champs de la littérature et de l'écriture". L'universitaire a rappelé que Tahar Ouettar "se distinguait par l'authenticité dans la création littéraire en présentant le roman algérien au monde arabe dans toute sa dimension d'avant-garde et d'esthétique". Il ne se trouve pas un penseur arabe qui ignore ses romans comme "Al Zilzal" (le tremblement de terre), "El hawwat wa Al Qasr" (le pêcheur et le palais) et "Ars bghal" (Les noces du mulet) et autres ouvrages qui ont eu un écho dans le milieu littéraire. Le conférencier a également rappelé que Tahar Ouettar, le moudjahid dans la glorieuse Révolution algérienne, avait prit part à la création d'un système de connaissance préconisé par l'Etat après l'indépendance, tout en affirmant que les romans de ce grand homme de lettres jouissent d'une dimension nationale et internationale, grâce à leur traduction vers plusieurs langues. Les travaux du premier jour de cette rencontre littéraire, organisée à la Maison de la Culture "Zeddour Brahim Belkacem" d'Oran sous l'égide de la direction de la culture et en collaboration avec l'association culturelle "El Jil", ont été marqués par des récitals poétiques de Oum Sihem et Zohra Berriah d'Algérie, de l'égyptienne Insaf Otmane El Ammari et le poète palestinien Khaled Salah. Au théâtre régional "Abdelkader Alloula", qui abrite cette manifestation de trois jours sous le thème "Des bougies qui ne s'éteignent pas", se tient une exposition photos de l'homme de Lettres, Tahar Ouettar, décédé en août 2010.
