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"Développer la micro-entreprise en octroyant plus de subventions"
Le ministère de l'Emploi et de la Sécurité sociale expose sa stratégie pour les jeunes
Publié dans Le Midi Libre le 28 - 02 - 2011

«Pour un projet de 8 millions DA, l'apport personnel est actuellement de 168.000 DA, au lieu de 800.000 DA. Les mesures prises par le gouvernement sont aujourd'hui effectives concernant l'aide accordée aux jeunes porteurs de projets de création d'entreprises."
«Pour un projet de 8 millions DA, l'apport personnel est actuellement de 168.000 DA, au lieu de 800.000 DA. Les mesures prises par le gouvernement sont aujourd'hui effectives concernant l'aide accordée aux jeunes porteurs de projets de création d'entreprises."
Le directeur de l'emploi au niveau du ministère, Saïd Annane, a indiqué, hier, que "suite au Conseil des ministres, le ministère de l'Emploi a pris toutes les mesures nécessaires et elles ont été transmises aux institutions concernées et les décrets vont être signés alors qu'au niveau du terrain, le département a pris toutes les précautions pour que toutes les équipes travaillent d'arrache-pied pour que cela se concrétise".
Le ministre du Travail a déjà annoncé qu'il n'y a plus de gel de telle ou telle activité, la CNAC est en train d'être élargie et renforcée par un meilleur fonctionnement des commissions de wilayas.
Des opportunités sont offertes aux jeunes demandeurs d'emploi pour les régions du Nord et des Hauts-Plateaux. Pour Annane, le Sud bénéficie d'une attention particulière pour les PME ou pour la grande entreprise car la stratégie des pouvoirs publics consiste à densifier le tissu.
Les jeunes ont eu toujours cette difficulté à mobiliser leur propre apport personnel, maintenant il y a un PNR (Programme national de recherche) location pour alléger les jeunes pour qu'ils puissent démarrer leurs projets sans intérêts octroyés aux jeunes qui viennent à la micro-entreprise.
"C'est pour les cabinets groupés, c'est vraiment innovant, que ce soit les avocats, les médecins, nous leur donnons l'opportunité de travailler ensemble et de bénéficier aussi de 1 million DA qui s'y prêteraient à leurs activités de cabinets groupés.
Cette formule est destinée à toutes les activités de diplômés dans toutes les branches, parce qu'en se mettant ensemble, ils amortissent les charges du local qu'ils occupent et on peut aller vers ce cabinet groupé et avoir des prestations différenciées.
ll peut y avoir un chirurgien dentiste, un spécialiste en médecine et la population est à même de trouver ces prestations groupées. Il y a beaucoup d'activités dans les professions libérales", a t-il dit. Il n‘y a pas de limitation d'âge, sachant que tout le monde peut bénéficier de ce dispositif. Ils peuvent bénéficier du même accompagnement. Il y a l'Ansej (limite d'âge 40 ans) et la Cnac (Caisse nationale d'assurance chômage) qui gère le dispositif de 30 à 45 ans. D'autres dispositifs d'aide aux promoteurs de projets n'exigent pas de limite d'âge...
Un fonds de garantie a été institué et sa dotation est de 40 milliards DA, et dans la démarche de la stratégie nationale pour les jeunes désirant créer un projet, les règles prudentielles ont toujours été assurées et toutes les garanties des banques pour accompagner les jeunes, suivant ce dispositif, de l'apport personnel de 5 à 2 %. Donc, l'apport personnel, banques-promoteurs et agences est clair au niveau du financement, selon la vision du ministère.
Faible taux de mortalité
des micro-entreprises
algériennes
Concernant un éventuel manque à gagner, Annane dira : "Pour l'apport personnel, nous avons augmenté le PNR. Il s'agit de travailler avec les promoteurs et les banques dans des conditions extrêmement pertinentes. Les remboursements se faisaient sur 5 ans, mais avec un différé de 3 ans, aujourd'hui, la micro-entreprise peut monter en cadence très rapidement et rendre service et aider les porteurs de projets et leur permettre de rembourser leurs crédits dans des conditions favorables. Il y a un quota de la demande publique concernant les micro-entreprises, et le gouvernement a pris la mesure idoine dans ce sens comme dans les pays ayant une grande expérience dans ce domaine".
Il estime que "c'est très important pour assurer la pérennité de ces entités dans le cadre de la micro- entreprise dans les secteurs du bâtiment, travaux publics et hydraulique, les ressources en eau et l'agriculture, des secteurs économiques connaissant actuellement un dynamisme important.Le BTPH, car l'Algérie est un chantier sur les 48 wilayas, et l'agriculture qui est un secteur stratégique et important et créateur de richesses et d'emplois".
Dans cet ordre d'idées, Rachid Benaïssa a affirmé que 150.000 emplois seront créés dans ce secteur dans les cinq prochaines années. "Le différé de remboursement du crédit s'étale sur 8 années alors que dans l'ancien système et en l'espace de trois années, la micro- entreprise va évoluer dans un espace où il n'y a pas de pression sur la micro-entreprise en mettant à l'aise le promoteur, en favorisant la montée de la cadence de ce petit investissement. Il s'agit de la PME car elle est pérenne et adossée au développement local et qui concourt au développement du pays. L'Algérie ne connaît pas un taux d'échec important de la micro- entreprise car il y a de la visibilité dans les micro-entreprises ayant réussi. Il y a plus de 4.000 micro- entreprises qui sont devenues des PME et qui remboursent leurs dettes et leurs crédits à échéances programmées", a-t-il souligné.
"Il y a moins de 20% de micro-entreprises qui ont des difficultés de remboursement. On crée beaucoup de micro-entreprises, et donc il faut accepter qu'il y ait un taux de mortalité. Le taux de mortalité des micro-entreprises est faible en Algérie", a t-il ajouté. A. A.
Le directeur de l'emploi au niveau du ministère, Saïd Annane, a indiqué, hier, que "suite au Conseil des ministres, le ministère de l'Emploi a pris toutes les mesures nécessaires et elles ont été transmises aux institutions concernées et les décrets vont être signés alors qu'au niveau du terrain, le département a pris toutes les précautions pour que toutes les équipes travaillent d'arrache-pied pour que cela se concrétise".
Le ministre du Travail a déjà annoncé qu'il n'y a plus de gel de telle ou telle activité, la CNAC est en train d'être élargie et renforcée par un meilleur fonctionnement des commissions de wilayas.
Des opportunités sont offertes aux jeunes demandeurs d'emploi pour les régions du Nord et des Hauts-Plateaux. Pour Annane, le Sud bénéficie d'une attention particulière pour les PME ou pour la grande entreprise car la stratégie des pouvoirs publics consiste à densifier le tissu.
Les jeunes ont eu toujours cette difficulté à mobiliser leur propre apport personnel, maintenant il y a un PNR (Programme national de recherche) location pour alléger les jeunes pour qu'ils puissent démarrer leurs projets sans intérêts octroyés aux jeunes qui viennent à la micro-entreprise.
"C'est pour les cabinets groupés, c'est vraiment innovant, que ce soit les avocats, les médecins, nous leur donnons l'opportunité de travailler ensemble et de bénéficier aussi de 1 million DA qui s'y prêteraient à leurs activités de cabinets groupés.
Cette formule est destinée à toutes les activités de diplômés dans toutes les branches, parce qu'en se mettant ensemble, ils amortissent les charges du local qu'ils occupent et on peut aller vers ce cabinet groupé et avoir des prestations différenciées.
ll peut y avoir un chirurgien dentiste, un spécialiste en médecine et la population est à même de trouver ces prestations groupées. Il y a beaucoup d'activités dans les professions libérales", a t-il dit. Il n‘y a pas de limitation d'âge, sachant que tout le monde peut bénéficier de ce dispositif. Ils peuvent bénéficier du même accompagnement. Il y a l'Ansej (limite d'âge 40 ans) et la Cnac (Caisse nationale d'assurance chômage) qui gère le dispositif de 30 à 45 ans. D'autres dispositifs d'aide aux promoteurs de projets n'exigent pas de limite d'âge...
Un fonds de garantie a été institué et sa dotation est de 40 milliards DA, et dans la démarche de la stratégie nationale pour les jeunes désirant créer un projet, les règles prudentielles ont toujours été assurées et toutes les garanties des banques pour accompagner les jeunes, suivant ce dispositif, de l'apport personnel de 5 à 2 %. Donc, l'apport personnel, banques-promoteurs et agences est clair au niveau du financement, selon la vision du ministère.
Faible taux de mortalité
des micro-entreprises
algériennes
Concernant un éventuel manque à gagner, Annane dira : "Pour l'apport personnel, nous avons augmenté le PNR. Il s'agit de travailler avec les promoteurs et les banques dans des conditions extrêmement pertinentes. Les remboursements se faisaient sur 5 ans, mais avec un différé de 3 ans, aujourd'hui, la micro-entreprise peut monter en cadence très rapidement et rendre service et aider les porteurs de projets et leur permettre de rembourser leurs crédits dans des conditions favorables. Il y a un quota de la demande publique concernant les micro-entreprises, et le gouvernement a pris la mesure idoine dans ce sens comme dans les pays ayant une grande expérience dans ce domaine".
Il estime que "c'est très important pour assurer la pérennité de ces entités dans le cadre de la micro- entreprise dans les secteurs du bâtiment, travaux publics et hydraulique, les ressources en eau et l'agriculture, des secteurs économiques connaissant actuellement un dynamisme important.Le BTPH, car l'Algérie est un chantier sur les 48 wilayas, et l'agriculture qui est un secteur stratégique et important et créateur de richesses et d'emplois".
Dans cet ordre d'idées, Rachid Benaïssa a affirmé que 150.000 emplois seront créés dans ce secteur dans les cinq prochaines années. "Le différé de remboursement du crédit s'étale sur 8 années alors que dans l'ancien système et en l'espace de trois années, la micro- entreprise va évoluer dans un espace où il n'y a pas de pression sur la micro-entreprise en mettant à l'aise le promoteur, en favorisant la montée de la cadence de ce petit investissement. Il s'agit de la PME car elle est pérenne et adossée au développement local et qui concourt au développement du pays. L'Algérie ne connaît pas un taux d'échec important de la micro- entreprise car il y a de la visibilité dans les micro-entreprises ayant réussi. Il y a plus de 4.000 micro- entreprises qui sont devenues des PME et qui remboursent leurs dettes et leurs crédits à échéances programmées", a-t-il souligné.
"Il y a moins de 20% de micro-entreprises qui ont des difficultés de remboursement. On crée beaucoup de micro-entreprises, et donc il faut accepter qu'il y ait un taux de mortalité. Le taux de mortalité des micro-entreprises est faible en Algérie", a t-il ajouté. A. A.


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