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Un chiffre d'affaires de 1.865 millions de dinars
Bilan 2010 d'Agenor
Publié dans Le Midi Libre le 15 - 03 - 2011

L'Agence nationale pour la distribution et la transformation de l'or et autres métaux précieux (Agenor SPA) indique, dans un communiqué, que ses activités ont encore augmenté en 2010 avec la réalisation d'un volume de ventes de près de 1,9 milliard de dinars, soit plus de deux fois et demie les ventes de l'année précédente. Selon le P-dg d'Agenor SPA, Madjid Cherifi, «cette entreprise a réalisé un chiffre d'affaires estimé à 1.865 millions DA en 2010, soit plus deux fois et demie celui de 2009». En outre, Agenor a réalisé pour la 2e année consécutive un bénéfice d'exploitation. Ce qui confirme le redressement opéré d'Agenor depuis déjà 3 années et ses choix judicieux en termes d'organisation et de stratégie de développement. «Comme annoncé dans nos communiqués précédents, Agenor ne compte pas s'arrêter là et a pour ambition d'augmenter encore substantiellement son chiffre d'affaires durant les 3 prochaines années par le développement de l'exportation de certains produits tels que le GPC (dérivé de l'or), le nitrate d'argent (dérivé de l'argent) et le traitement de volumes plus importants de divers métaux précieux», a t-il ajouté.
Dans ce cadre, a t-il souligné, «il faut signaler que la contribution au chiffre d'affaires des semi-finis en argent vendus, notamment, aux artisans de Beni Yenni ne représente plus depuis ces dernières années qu'une partie infime de notre chiffre d'affaires total composé de divers produits (lingots d'or, brasures, nitrate, platine, ouvrages). En effet, les artisans de Beni Yenni ont tendance à se plaindre d'Agenor qui a bon dos alors que nous ne détenons pas le monopole de l'importation et de la vente de la matière argent. Ils se plaignent que la matière existe ou manque à Agenor. Lorsqu'elle est en stock, ils peinent à l'acheter prétextant qu'elle est trop chère alors que nos prix dépendent du cours boursier d'importation de l'argent ! Lorsqu'elle arrive à manquer chez Agenor pour une raison quelconque ne dépendant pas d'Agenor, ils rouspètent et accusent Agenor de tous les maux». «Cela suffit ! a-t-il fait remarquer, que ce jeu de certains artisans cesse ! et qu'ils s'en prennent désormais à eux-mêmes et qu'ils ne disent pas que si leur activité a régressé c'est à cause d'Agenor alors que cette régression date des années 90 lorsqu'il n'y avait plus assez de touristes pour escalader le Djurdjura et acheter leurs produits. Aujourd'hui, certains ne peuvent plus être compétitifs par rapport à la qualité-prix de bijoux en argent d'Italie, d'Iran ou de Turquie, alors que le marché local n'est plus demandeur de volumes de bijoux en argent comme jadis». Enfin, Agenor a «toujours assisté cette corporation et est prête encore à aider au développement de leur activité mais avec transparence, honnêteté et dans le cadre de la règlementation en vigueur», conclut le communiqué.
L'Agence nationale pour la distribution et la transformation de l'or et autres métaux précieux (Agenor SPA) indique, dans un communiqué, que ses activités ont encore augmenté en 2010 avec la réalisation d'un volume de ventes de près de 1,9 milliard de dinars, soit plus de deux fois et demie les ventes de l'année précédente. Selon le P-dg d'Agenor SPA, Madjid Cherifi, «cette entreprise a réalisé un chiffre d'affaires estimé à 1.865 millions DA en 2010, soit plus deux fois et demie celui de 2009». En outre, Agenor a réalisé pour la 2e année consécutive un bénéfice d'exploitation. Ce qui confirme le redressement opéré d'Agenor depuis déjà 3 années et ses choix judicieux en termes d'organisation et de stratégie de développement. «Comme annoncé dans nos communiqués précédents, Agenor ne compte pas s'arrêter là et a pour ambition d'augmenter encore substantiellement son chiffre d'affaires durant les 3 prochaines années par le développement de l'exportation de certains produits tels que le GPC (dérivé de l'or), le nitrate d'argent (dérivé de l'argent) et le traitement de volumes plus importants de divers métaux précieux», a t-il ajouté.
Dans ce cadre, a t-il souligné, «il faut signaler que la contribution au chiffre d'affaires des semi-finis en argent vendus, notamment, aux artisans de Beni Yenni ne représente plus depuis ces dernières années qu'une partie infime de notre chiffre d'affaires total composé de divers produits (lingots d'or, brasures, nitrate, platine, ouvrages). En effet, les artisans de Beni Yenni ont tendance à se plaindre d'Agenor qui a bon dos alors que nous ne détenons pas le monopole de l'importation et de la vente de la matière argent. Ils se plaignent que la matière existe ou manque à Agenor. Lorsqu'elle est en stock, ils peinent à l'acheter prétextant qu'elle est trop chère alors que nos prix dépendent du cours boursier d'importation de l'argent ! Lorsqu'elle arrive à manquer chez Agenor pour une raison quelconque ne dépendant pas d'Agenor, ils rouspètent et accusent Agenor de tous les maux». «Cela suffit ! a-t-il fait remarquer, que ce jeu de certains artisans cesse ! et qu'ils s'en prennent désormais à eux-mêmes et qu'ils ne disent pas que si leur activité a régressé c'est à cause d'Agenor alors que cette régression date des années 90 lorsqu'il n'y avait plus assez de touristes pour escalader le Djurdjura et acheter leurs produits. Aujourd'hui, certains ne peuvent plus être compétitifs par rapport à la qualité-prix de bijoux en argent d'Italie, d'Iran ou de Turquie, alors que le marché local n'est plus demandeur de volumes de bijoux en argent comme jadis». Enfin, Agenor a «toujours assisté cette corporation et est prête encore à aider au développement de leur activité mais avec transparence, honnêteté et dans le cadre de la règlementation en vigueur», conclut le communiqué.


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