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Saâd Hariri serait réfugié à Paris
Menacé par Damas
Publié dans Le Midi Libre le 18 - 06 - 2011

L'ancien Premier ministre libanais Saâd Hariri serait réfugié depuis une semaine à Paris, selon des informations publiées par Libération.fr. "La raison de cette consigne : les services secrets américains et saoudiens craignent que sa vie soit menacée", rapporte le même quotidien. Le fils de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri, assassiné en 2005 dans un attentat généralement imputé au Hezbollah et aux services syriens, devrait faire la navette entre Riyad, en Arabie Saoudite, et la capitale française. D'après Libération, les renseignements américains et saoudiens "estiment que le régime syrien pourrait organiser son assassinat dans le but de créer un conflit interconfessionnel (chiite-sunnite) au Liban". "L'attention de la communauté internationale serait alors détournée et Bachar Al-Assad pourrait mater comme il l'entend la révolte dans son propre pays au prétexte qu'il s'agirait là aussi d'une guerre civile", poursuit le quotidien. Au terme de cinq mois de négociations, le nouveau Premier ministre libanais Najib Mikati avait annoncé en début de semaine la composition de son gouvernement, dominé par le Hezbollah et les alliés du puissant parti chiite. Une décision vertement critiquée par l'opposition, qui a estimé que le pays devenait l''otage' de son voisin syrien. L'opposition, menée par Saâd Hariri, craint qu'avec un gouvernement dominé par le camp du Hezbollah, Beyrouth ne cesse toute coopération avec le Tribunal spécial pour le Liban (TSL), en charge de l'enquête sur l'assassinat de l'ex-Premier ministre libanais Rafic Hariri, que le parti chiite accuse d'être "à la solde des Etats-Unis et d'Israël".
L'ancien Premier ministre libanais Saâd Hariri serait réfugié depuis une semaine à Paris, selon des informations publiées par Libération.fr. "La raison de cette consigne : les services secrets américains et saoudiens craignent que sa vie soit menacée", rapporte le même quotidien. Le fils de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri, assassiné en 2005 dans un attentat généralement imputé au Hezbollah et aux services syriens, devrait faire la navette entre Riyad, en Arabie Saoudite, et la capitale française. D'après Libération, les renseignements américains et saoudiens "estiment que le régime syrien pourrait organiser son assassinat dans le but de créer un conflit interconfessionnel (chiite-sunnite) au Liban". "L'attention de la communauté internationale serait alors détournée et Bachar Al-Assad pourrait mater comme il l'entend la révolte dans son propre pays au prétexte qu'il s'agirait là aussi d'une guerre civile", poursuit le quotidien. Au terme de cinq mois de négociations, le nouveau Premier ministre libanais Najib Mikati avait annoncé en début de semaine la composition de son gouvernement, dominé par le Hezbollah et les alliés du puissant parti chiite. Une décision vertement critiquée par l'opposition, qui a estimé que le pays devenait l''otage' de son voisin syrien. L'opposition, menée par Saâd Hariri, craint qu'avec un gouvernement dominé par le camp du Hezbollah, Beyrouth ne cesse toute coopération avec le Tribunal spécial pour le Liban (TSL), en charge de l'enquête sur l'assassinat de l'ex-Premier ministre libanais Rafic Hariri, que le parti chiite accuse d'être "à la solde des Etats-Unis et d'Israël".

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