Ces deux dernières années, dans la wilaya de Béchar, un engouement pour la pratique, pour le plaisir, de la pêche continentale est constaté chez des personnes de différents âges, qui s'adonnent avec bonheur à ce loisir au niveau du barrage de Djorf Ettorba et de plusieurs autres grandes "gueltas". Ces deux dernières années, dans la wilaya de Béchar, un engouement pour la pratique, pour le plaisir, de la pêche continentale est constaté chez des personnes de différents âges, qui s'adonnent avec bonheur à ce loisir au niveau du barrage de Djorf Ettorba et de plusieurs autres grandes "gueltas". L'Association locale de la pêche continentale a été d'un grand apport pour cet engouement du fait qu'elle constitue le cadre légal pour la promotion et le développement de ce type d'activités récréatives et sportives, a indiqué l'un de ses responsables à l'APS. À ce titre, cette association, qui revendique, actuellement 372 adhérents à travers la wilaya, a initié plusieurs tournois et autres compétitions dans le but de sensibiliser les participants sur la nécessité de respecter la biodiversité par pratique de la pêche dite ''tag and release'', où toutes les prises sont relâchées dans leur milieu naturel après avoir été photographiées, pesées et mesurées, explique Larbi Abbi. En dehors du barrage de Djorf Ettorba, qui possède un plan d'eau de 94 km2, la pratique de ce genre de pêche, concerne aussi plusieurs autres endroits, tel que le lac de ''N'chiha'', situé entre les communes de Timoudi et Kerzaz à plus de 400 km au sud de Bechar et à proximité du Erg occidental. Ce lac de quelque 80 km2 est, de par ses eaux poissonneuses, l'un des endroits préférés des pêcheurs qui parcourent plus de 18 km pour le rejoindre à partir de la localité de Timoudi. Cependant, ce lac est confronté à la mort mystérieuse de plusieurs milliers de ses poissons et l'Association locale de la pêche continentale espère une intervention des services compétents pour prendre les mesures qui s'imposent, a tenu à préciser M. Larbi. Outre le recours à ce genre de pêche, plusieurs actions de protection et de valorisation de l'environnement des cinq sites où est localisée cette pratique, sont périodiquement menées par l'Association. Celles-ci portent notamment sur la plantation de plusieurs espèces végétales tout le long du barrage de Djorf Ettorba, en plus de campagnes de sensibilisation et d'information sur l'utilité de la préservation de la faune et de la flore. Diverses espèces de poissons d'eau douce peuplent les différentes zones et sites humides de la région, dont le barbeau, la carpe argentée, le silure, le poisson chat et le tilapia. En plus de la tortue aquatique, dans le barrage de Djorf Ettorba, on trouve même la loutre commune, selon des membres de l'Association locale de la pêche continentale, précise l'APS. L'Association locale de la pêche continentale a été d'un grand apport pour cet engouement du fait qu'elle constitue le cadre légal pour la promotion et le développement de ce type d'activités récréatives et sportives, a indiqué l'un de ses responsables à l'APS. À ce titre, cette association, qui revendique, actuellement 372 adhérents à travers la wilaya, a initié plusieurs tournois et autres compétitions dans le but de sensibiliser les participants sur la nécessité de respecter la biodiversité par pratique de la pêche dite ''tag and release'', où toutes les prises sont relâchées dans leur milieu naturel après avoir été photographiées, pesées et mesurées, explique Larbi Abbi. En dehors du barrage de Djorf Ettorba, qui possède un plan d'eau de 94 km2, la pratique de ce genre de pêche, concerne aussi plusieurs autres endroits, tel que le lac de ''N'chiha'', situé entre les communes de Timoudi et Kerzaz à plus de 400 km au sud de Bechar et à proximité du Erg occidental. Ce lac de quelque 80 km2 est, de par ses eaux poissonneuses, l'un des endroits préférés des pêcheurs qui parcourent plus de 18 km pour le rejoindre à partir de la localité de Timoudi. Cependant, ce lac est confronté à la mort mystérieuse de plusieurs milliers de ses poissons et l'Association locale de la pêche continentale espère une intervention des services compétents pour prendre les mesures qui s'imposent, a tenu à préciser M. Larbi. Outre le recours à ce genre de pêche, plusieurs actions de protection et de valorisation de l'environnement des cinq sites où est localisée cette pratique, sont périodiquement menées par l'Association. Celles-ci portent notamment sur la plantation de plusieurs espèces végétales tout le long du barrage de Djorf Ettorba, en plus de campagnes de sensibilisation et d'information sur l'utilité de la préservation de la faune et de la flore. Diverses espèces de poissons d'eau douce peuplent les différentes zones et sites humides de la région, dont le barbeau, la carpe argentée, le silure, le poisson chat et le tilapia. En plus de la tortue aquatique, dans le barrage de Djorf Ettorba, on trouve même la loutre commune, selon des membres de l'Association locale de la pêche continentale, précise l'APS.
