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Publié dans Le Midi Libre le 23 - 08 - 2011


Pékin «espère un retour
de la stabilité»
La gouvernement chinois a affirmé, hier, «respecter le choix du peuple libyen», espérant «un retour rapide de la stabilité» dans ce pays, en proie à des combats intenses entre rebelles et forces fidèles au dirigeant Mouaâmar Kadhafi. «La Chine respecte le choix du peuple libyen et espère un retour rapide de la stabilité en Libye», a indiqué le ministère chinois des Affaires étrangères dans un communiqué sur son site Internet.
Le ministère a, également, affiché la volonté de Pékin d'«œuvrer avec la communauté internationale et jouer un rôle positif dans la reconstruction future de la Libye».
Membre permanent du Conseil de sécurité de l'Onu avec droit de veto, la Chine s'était abstenue lors du vote, en mars, ouvrant la voie à une intervention étrangère en Libye qui a fait plusieurs victimes parmi les civils, et appelé maintes fois au dialogue et à une solution politique au conflit dans ce pays.
L'Afrique du Sud favorable à un «dialogue interlibyen»
L'Afrique du Sud s'est prononcée, hier, pour un «dialogue interlibyen», et assuré qu'elle continue à parler «aux deux parties en Libye».
«En tant que médiateurs, nous exhortons les autorités intérimaires à Tripoli à instaurer immédiatement un dialogue politique interlibyen comprenant toutes les parties, et à construire une autorité véritablement représentative de tout le peuple», a déclaré la ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Mme Maite Nkoana-Mashabane, lors d'une conférence de presse.
La ministre a affirmé que son pays n'a pas envoyé d'avions en Libye pour permettre au colonel Mouaâmar Kadhafi de quitter le pays.
«Le gouvernement sud-africain voudrait réfuter et démentir les rumeurs selon lesquelles il a envoyé des avions en Libye pour transporter le colonel Kadhafi et sa famille vers une destination inconnue», a-t-elle déclaré à des journalistes.
«Personne n'a demandé l'asile en Afrique du Sud», a-t-elle ajouté. «Pour nous, il est toujours en Libye.»
Réaffirmant que «l'avenir» du colonel Kadhafi «doit être décidé par les Libyens eux-mêmes», Mme Nkoana-Mashabane a estimé qu'«en ce moment il n'y avait pas de gouvernement» en Libye.
La CPI et les rebelles discutent du «transfert de Seïf Al-Islam»
La Cour pénale internationale (CPI) et les rebelles libyens menaient, lundi, des discussions au sujet du transfert aux Pays-Bas de Seïf Al-Islam, un des fils du dirigeant Mouaâmar Kadhafi, arrêté dimanche à Tripoli par les rebelles, a annoncé le porte-parole de CPI, Fadi El-Abdallah.
«La Cour dans son ensemble est impliquée», a déclaré
M. Abdallah.
Interrogé par des médias sur la confirmation que la CPI et les rebelles menaient des discussions sur le transfèrement de Seïf Al-Islam, le porte-parole a répondu : «Oui».
La rébellion avait annoncé, dimanche, son arrestation à Tripoli, confirmée plus tard par le procureur de la Cour, Luis Moreno-Ocampo, sur la foi d'«informations confidentielles».
«J'ai reçu des informations confidentielles selon lesquelles il a été arrêté», avait déclaré Moreno-Ocampo.
«Nous espérons qu'il pourra être très bientôt à La Haye» pour y être jugé, avait déclaré le procureur de la CPI, indiquant qu'il «avait prévu de contacter le gouvernement de transition» libyen pour discuter des modalités pratiques de son transfert aux Pays-Bas.
La CPI est le premier tribunal international permanent chargé de poursuivre les auteurs présumés de génocide, crimes contre l'humanité et crimes de guerre.
La Cour a compétence en Libye en vertu d'une résolution du Conseil de sécurité de l'Onu votée le 26 février.
L'Otan «prête à travailler» avec le peuple libyen et le CNT
L'Organisation du Traité de l'Atlantique-Nord (Otan) «est prête» à travailler avec le peuple libyen et le Conseil national de transition (CNT) «qui détient une grande responsabilité», a indiqué, lundi, son secrétaire général, Anders Fogh Rasmussen.
«Le peuple libyen et le Conseil national de transition doivent s'assurer que la transition soit inclusive, qu'elle s'effectue en douceur et que l'avenir est fondé sur la réconciliation et le respect des droits humains», a-t-il affirmé dans un communiqué.
«Nous allons continuer à surveiller les unités militaires et les installations clés, comme nous l'avons fait depuis le mois de mars, et lorsqu'on verra tout mouvement menaçant le peuple libyen, nous agirons en conformité avec notre mandat de l'Onu», a précisé le secrétaire général de l'Otan.
«L'objectif est de protéger le peuple et c'est ce que nous faisons», a ajouté M. Rasmussen, soulignant que «l'Otan veut que le peuple libyen soit en mesure de décider de son avenir dans la paix».
Réunion d'urgence de l'UA
Le Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine (UA) devait tenir une réunion d'urgence, hier, consacrée à la situation en Libye, a annoncé le porte-parole de la commission de l'UA, Noureddine Mezni.
«Le principal objectif est d'engager des discussions avec toutes les parties en Libye, engager un dialogue pour trouver des solutions pacifiques à cette situation», a-t-il ajouté cité par des médias.
De violents combats se déroulaient, hier, autour de la résidence du colonel Moaâmar Kadhafi à Tripoli, investie dimanche par les rebelles.
Le comité des médiateurs de l'UA pour la Libye doit, également, se réunir jeudi pour discuter de la crise, à la veille d'une nouvelle réunion du Conseil de paix et de sécurité au niveau des chefs d'Etat. Le comité est présidé par la Mauritanie et comprend les chefs d'Etat du Congo-Brazzaville, du Mali, d'Afrique du Sud et d'Ouganda. Le président de la Commission de l'UA, Jean Ping, en est également membre. «Seule une solution politique permettra de répondre complètement aux aspirations légitimes du peuple libyen à la démocratie, la bonne gouvernance et l'Etat de droit, et de promouvoir une paix durable dans le pays», a rappelé l'UA dans un communiqué.
Le Koweït reconnaît le CNT
Le Koweït a annoncé, hier, qu'il reconnaissait le Conseil national de transition (CNT, rébellion) comme le représentant «légitime» du peuple libyen, après l'entrée la veille des rebelles dans la capitale Tripoli.
«L'Etat du Koweït renouvelle son soutien au CNT, le seul et légitime représentant du peuple», a déclaré un porte-parole du ministère des Affaires étrangères dans un communiqué cité par l'agence Kuna.
Le Koweït avait eu des contacts avec les rebelles libyens auxquels il a accordé une aide de 180 millions de dollars, lors d'une visite, en avril, à Koweït du chef du CNT Moustafa Abdeljalil.
Pékin «espère un retour
de la stabilité»
La gouvernement chinois a affirmé, hier, «respecter le choix du peuple libyen», espérant «un retour rapide de la stabilité» dans ce pays, en proie à des combats intenses entre rebelles et forces fidèles au dirigeant Mouaâmar Kadhafi. «La Chine respecte le choix du peuple libyen et espère un retour rapide de la stabilité en Libye», a indiqué le ministère chinois des Affaires étrangères dans un communiqué sur son site Internet.
Le ministère a, également, affiché la volonté de Pékin d'«œuvrer avec la communauté internationale et jouer un rôle positif dans la reconstruction future de la Libye».
Membre permanent du Conseil de sécurité de l'Onu avec droit de veto, la Chine s'était abstenue lors du vote, en mars, ouvrant la voie à une intervention étrangère en Libye qui a fait plusieurs victimes parmi les civils, et appelé maintes fois au dialogue et à une solution politique au conflit dans ce pays.
L'Afrique du Sud favorable à un «dialogue interlibyen»
L'Afrique du Sud s'est prononcée, hier, pour un «dialogue interlibyen», et assuré qu'elle continue à parler «aux deux parties en Libye».
«En tant que médiateurs, nous exhortons les autorités intérimaires à Tripoli à instaurer immédiatement un dialogue politique interlibyen comprenant toutes les parties, et à construire une autorité véritablement représentative de tout le peuple», a déclaré la ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Mme Maite Nkoana-Mashabane, lors d'une conférence de presse.
La ministre a affirmé que son pays n'a pas envoyé d'avions en Libye pour permettre au colonel Mouaâmar Kadhafi de quitter le pays.
«Le gouvernement sud-africain voudrait réfuter et démentir les rumeurs selon lesquelles il a envoyé des avions en Libye pour transporter le colonel Kadhafi et sa famille vers une destination inconnue», a-t-elle déclaré à des journalistes.
«Personne n'a demandé l'asile en Afrique du Sud», a-t-elle ajouté. «Pour nous, il est toujours en Libye.»
Réaffirmant que «l'avenir» du colonel Kadhafi «doit être décidé par les Libyens eux-mêmes», Mme Nkoana-Mashabane a estimé qu'«en ce moment il n'y avait pas de gouvernement» en Libye.
La CPI et les rebelles discutent du «transfert de Seïf Al-Islam»
La Cour pénale internationale (CPI) et les rebelles libyens menaient, lundi, des discussions au sujet du transfert aux Pays-Bas de Seïf Al-Islam, un des fils du dirigeant Mouaâmar Kadhafi, arrêté dimanche à Tripoli par les rebelles, a annoncé le porte-parole de CPI, Fadi El-Abdallah.
«La Cour dans son ensemble est impliquée», a déclaré
M. Abdallah.
Interrogé par des médias sur la confirmation que la CPI et les rebelles menaient des discussions sur le transfèrement de Seïf Al-Islam, le porte-parole a répondu : «Oui».
La rébellion avait annoncé, dimanche, son arrestation à Tripoli, confirmée plus tard par le procureur de la Cour, Luis Moreno-Ocampo, sur la foi d'«informations confidentielles».
«J'ai reçu des informations confidentielles selon lesquelles il a été arrêté», avait déclaré Moreno-Ocampo.
«Nous espérons qu'il pourra être très bientôt à La Haye» pour y être jugé, avait déclaré le procureur de la CPI, indiquant qu'il «avait prévu de contacter le gouvernement de transition» libyen pour discuter des modalités pratiques de son transfert aux Pays-Bas.
La CPI est le premier tribunal international permanent chargé de poursuivre les auteurs présumés de génocide, crimes contre l'humanité et crimes de guerre.
La Cour a compétence en Libye en vertu d'une résolution du Conseil de sécurité de l'Onu votée le 26 février.
L'Otan «prête à travailler» avec le peuple libyen et le CNT
L'Organisation du Traité de l'Atlantique-Nord (Otan) «est prête» à travailler avec le peuple libyen et le Conseil national de transition (CNT) «qui détient une grande responsabilité», a indiqué, lundi, son secrétaire général, Anders Fogh Rasmussen.
«Le peuple libyen et le Conseil national de transition doivent s'assurer que la transition soit inclusive, qu'elle s'effectue en douceur et que l'avenir est fondé sur la réconciliation et le respect des droits humains», a-t-il affirmé dans un communiqué.
«Nous allons continuer à surveiller les unités militaires et les installations clés, comme nous l'avons fait depuis le mois de mars, et lorsqu'on verra tout mouvement menaçant le peuple libyen, nous agirons en conformité avec notre mandat de l'Onu», a précisé le secrétaire général de l'Otan.
«L'objectif est de protéger le peuple et c'est ce que nous faisons», a ajouté M. Rasmussen, soulignant que «l'Otan veut que le peuple libyen soit en mesure de décider de son avenir dans la paix».
Réunion d'urgence de l'UA
Le Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine (UA) devait tenir une réunion d'urgence, hier, consacrée à la situation en Libye, a annoncé le porte-parole de la commission de l'UA, Noureddine Mezni.
«Le principal objectif est d'engager des discussions avec toutes les parties en Libye, engager un dialogue pour trouver des solutions pacifiques à cette situation», a-t-il ajouté cité par des médias.
De violents combats se déroulaient, hier, autour de la résidence du colonel Moaâmar Kadhafi à Tripoli, investie dimanche par les rebelles.
Le comité des médiateurs de l'UA pour la Libye doit, également, se réunir jeudi pour discuter de la crise, à la veille d'une nouvelle réunion du Conseil de paix et de sécurité au niveau des chefs d'Etat. Le comité est présidé par la Mauritanie et comprend les chefs d'Etat du Congo-Brazzaville, du Mali, d'Afrique du Sud et d'Ouganda. Le président de la Commission de l'UA, Jean Ping, en est également membre. «Seule une solution politique permettra de répondre complètement aux aspirations légitimes du peuple libyen à la démocratie, la bonne gouvernance et l'Etat de droit, et de promouvoir une paix durable dans le pays», a rappelé l'UA dans un communiqué.
Le Koweït reconnaît le CNT
Le Koweït a annoncé, hier, qu'il reconnaissait le Conseil national de transition (CNT, rébellion) comme le représentant «légitime» du peuple libyen, après l'entrée la veille des rebelles dans la capitale Tripoli.
«L'Etat du Koweït renouvelle son soutien au CNT, le seul et légitime représentant du peuple», a déclaré un porte-parole du ministère des Affaires étrangères dans un communiqué cité par l'agence Kuna.
Le Koweït avait eu des contacts avec les rebelles libyens auxquels il a accordé une aide de 180 millions de dollars, lors d'une visite, en avril, à Koweït du chef du CNT Moustafa Abdeljalil.


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