Comme il est de tradition, l'Office national de la culture et de l'information (ONCI) fait partie de ces organismes culturels qui ne peuvent plus être absents du visage culturel de l'Algérie, surtout durant le mois de Ramadhan. En plus des habituelles salles algéroises, El Mougar et la salle Atlas, l'ONCI a également organisé des soirées exceptionnelles au Casif de Sidi Fredj et dans plusieurs wilayas du pays. Comme il est de tradition, l'Office national de la culture et de l'information (ONCI) fait partie de ces organismes culturels qui ne peuvent plus être absents du visage culturel de l'Algérie, surtout durant le mois de Ramadhan. En plus des habituelles salles algéroises, El Mougar et la salle Atlas, l'ONCI a également organisé des soirées exceptionnelles au Casif de Sidi Fredj et dans plusieurs wilayas du pays. Ainsi, avec ces animations ouvertes dans différents lieux, les spectateurs ont eu la chance d'égayer leurs soirées ramadhanesques et les artistes de se produire à maintes reprises dans différentes salles. Une promotion précieuse pour ces mêmes artistes. Il y en a eu pour tous les goûts, et il y en aura jusqu'au dernier jour du mois. Du religieux au gnaoui, en passant par la musique kabyle, le raï, l'algérois, l'andalou et le aïssaoui, les spectateurs se régalent et ils ont redemandent. Les soirées algéroises ont été de surcroît marquées par des soirées de récitals andalous et chaâbis à la salle El Mougar avec la participation de plusieurs artistes, à l'instar de Taleb Ben Diab, Meriem Ben Allal, Mohamed Erraoui, Hassiba Abed El Raouf, Hadj Rachid Souki, Hamidou, Djaâfar Aït Menguellet, Nacer Eddine Chaouli, Beheïdja Rahal, Kamel Benani, Hamdi Benani, Samir El Assimi, Toufik Aoun, Abbès Righi. La même salle a vu, durant la journée, des projections de divers documentaires. Une excellente initiative du Centre national cinématographique algérien. Ainsi, les cinéphiles ont pu apprécier différentes productions comme Hadja Lala Maghnia de Mustapha Hocini, Cheikh Abdelkrim El Maghili Ettelimçani de Larbi Lekhel, Cheikh Sidi Mohamed Belkaïd de Hadj Ahmed Mansouri, Holm Ennoussour de Mohamed Hazouli, Tlemcen, la nouba andalouse de Chérif Aggoune, Sidi Ahmed Benzekri de Zakaria Kaddour Brahim, Abdelkrim Dali de Bekkar Bounouar. Des productions cinématographiques réalisées dans le cadre de la manifestation «Tlemcen, capitale de la culture islamique». La salle Atlas a vu, quant à elle, défiler divers artistes nationaux mais, également, étrangers venues de pays arabes à l'instar de l'Irakien Marouane El Sabah, la troupe algéroise Elisraa, la troupe mostéganémoise Nour el Mustapha Bel Alia, la troupe de Boufarik El Rachad, la troupe El Anouar de Béchar, El Mounchid Moncef Mezriou de Tunisie, la troupe El Rachad de Tébessa, la troupe Shaam venue de London et, enfin, la troupe Daai el nada el mounchid nour akhyar, arrivée d'Indonésie. Mais la soirée qui a sans aucun doute marqué les soirées de l'ONCI est sans aucun doute celle animée par notre chanteur et poète kabyle Lounis Aït Menguellet. Chaque année, il ne cesse de drainer des foules entières. Son répertoire reste d'actualité. Un répertoire qui ne prend pas une ride puisque nous voyons une jeunesse qui accourt à ses concerts tout comme leurs parents ou leurs grands-parents. Pour ce programme enrichissant et plaisant, l'ONCI se veut fidèle à ses principes : répondre au goût de chacun, notamment par l'organisation lors de cette ultime semaine, en guise de clôture, en signe de reconnaissance à la gent féminine qui a subi les chaleurs infernales de l'été et de la cuisine, une semaine spécialement pour «Elle» avec des soirées sous le slogan «Fa», la note au féminin. Ainsi, avec ces animations ouvertes dans différents lieux, les spectateurs ont eu la chance d'égayer leurs soirées ramadhanesques et les artistes de se produire à maintes reprises dans différentes salles. Une promotion précieuse pour ces mêmes artistes. Il y en a eu pour tous les goûts, et il y en aura jusqu'au dernier jour du mois. Du religieux au gnaoui, en passant par la musique kabyle, le raï, l'algérois, l'andalou et le aïssaoui, les spectateurs se régalent et ils ont redemandent. Les soirées algéroises ont été de surcroît marquées par des soirées de récitals andalous et chaâbis à la salle El Mougar avec la participation de plusieurs artistes, à l'instar de Taleb Ben Diab, Meriem Ben Allal, Mohamed Erraoui, Hassiba Abed El Raouf, Hadj Rachid Souki, Hamidou, Djaâfar Aït Menguellet, Nacer Eddine Chaouli, Beheïdja Rahal, Kamel Benani, Hamdi Benani, Samir El Assimi, Toufik Aoun, Abbès Righi. La même salle a vu, durant la journée, des projections de divers documentaires. Une excellente initiative du Centre national cinématographique algérien. Ainsi, les cinéphiles ont pu apprécier différentes productions comme Hadja Lala Maghnia de Mustapha Hocini, Cheikh Abdelkrim El Maghili Ettelimçani de Larbi Lekhel, Cheikh Sidi Mohamed Belkaïd de Hadj Ahmed Mansouri, Holm Ennoussour de Mohamed Hazouli, Tlemcen, la nouba andalouse de Chérif Aggoune, Sidi Ahmed Benzekri de Zakaria Kaddour Brahim, Abdelkrim Dali de Bekkar Bounouar. Des productions cinématographiques réalisées dans le cadre de la manifestation «Tlemcen, capitale de la culture islamique». La salle Atlas a vu, quant à elle, défiler divers artistes nationaux mais, également, étrangers venues de pays arabes à l'instar de l'Irakien Marouane El Sabah, la troupe algéroise Elisraa, la troupe mostéganémoise Nour el Mustapha Bel Alia, la troupe de Boufarik El Rachad, la troupe El Anouar de Béchar, El Mounchid Moncef Mezriou de Tunisie, la troupe El Rachad de Tébessa, la troupe Shaam venue de London et, enfin, la troupe Daai el nada el mounchid nour akhyar, arrivée d'Indonésie. Mais la soirée qui a sans aucun doute marqué les soirées de l'ONCI est sans aucun doute celle animée par notre chanteur et poète kabyle Lounis Aït Menguellet. Chaque année, il ne cesse de drainer des foules entières. Son répertoire reste d'actualité. Un répertoire qui ne prend pas une ride puisque nous voyons une jeunesse qui accourt à ses concerts tout comme leurs parents ou leurs grands-parents. Pour ce programme enrichissant et plaisant, l'ONCI se veut fidèle à ses principes : répondre au goût de chacun, notamment par l'organisation lors de cette ultime semaine, en guise de clôture, en signe de reconnaissance à la gent féminine qui a subi les chaleurs infernales de l'été et de la cuisine, une semaine spécialement pour «Elle» avec des soirées sous le slogan «Fa», la note au féminin.