Le coup d'envoi des festivités officielles célébrant Yennayer a été donné en fanfare mercredi à la médiathèque d'Oran, en présence des membres du Haut conseil à l'amazighité (HCA), des autorités locales et des représentants de la société civile. Quelque 190 participants en provenance des régions des Aurès, du M'zab, d'Illizi (Touareg), d'Alger, de Kabylie, de Beni Snouss (Tlemcen), de Boussemghoun (El Bayadh), du Chenoua (Tipasa), ont pris part à cette cérémonie d'ouverture, dans une ambiance conviviale animée par l'association "Rythme et parade" d'Alger. La fête de Yennayer s'est tenue cette année jusqu'au 13 janvier à Oran, avec la participation de plusieurs associations spécialisées dans la poterie, la vannerie, la céramique, la broderie, la bijouterie et l'art culinaire. "Cette fête de portée identitaire, culturelle et socio-économique, a valeur de symbole pour réveiller la mémoire collective algérienne", a expliqué le secrétaire général du HCA, Youcef Merahi. "Nous espérons que cette date soit officialisée en tant que fête nationale par un texte réglementaire", a-t-il déclaré. Un membre du HCA, Houari Khechaï, a indiqué, pour sa part, que "la commémoration de Yenneyar, patrimoine national, mérite d'être consolidée et conservée en tant que fête ancestrale qui symbolise l'union, la convivialité, le partage et la solidarité". Selon le comité d'organisation, le programme des festivités prévoit un concert de musique (chansons et variétés kabyles), une série de conférences sur et autour de Yennayer abordant, entre autres, "Yennayer, référent identitaire commun" et "Yennayer et l'histoire des Imazighanes", "Enseignement de Tamazight en Algérie : parcours bilan et perspectives", un Café littéraire, des expositions-démonstration, un carnaval "Ayrad" (lion) de Benis Snouss, ainsi que la représentation de deux pièces au théâtre régional d'Oran Abdelkader-Alloula. Un Salon du livre amazigh est organisé également à l'occasion de ces journées commémorant "Yennayer" avec la participation d'une dizaine de maisons d'édition. Le coup d'envoi des festivités officielles célébrant Yennayer a été donné en fanfare mercredi à la médiathèque d'Oran, en présence des membres du Haut conseil à l'amazighité (HCA), des autorités locales et des représentants de la société civile. Quelque 190 participants en provenance des régions des Aurès, du M'zab, d'Illizi (Touareg), d'Alger, de Kabylie, de Beni Snouss (Tlemcen), de Boussemghoun (El Bayadh), du Chenoua (Tipasa), ont pris part à cette cérémonie d'ouverture, dans une ambiance conviviale animée par l'association "Rythme et parade" d'Alger. La fête de Yennayer s'est tenue cette année jusqu'au 13 janvier à Oran, avec la participation de plusieurs associations spécialisées dans la poterie, la vannerie, la céramique, la broderie, la bijouterie et l'art culinaire. "Cette fête de portée identitaire, culturelle et socio-économique, a valeur de symbole pour réveiller la mémoire collective algérienne", a expliqué le secrétaire général du HCA, Youcef Merahi. "Nous espérons que cette date soit officialisée en tant que fête nationale par un texte réglementaire", a-t-il déclaré. Un membre du HCA, Houari Khechaï, a indiqué, pour sa part, que "la commémoration de Yenneyar, patrimoine national, mérite d'être consolidée et conservée en tant que fête ancestrale qui symbolise l'union, la convivialité, le partage et la solidarité". Selon le comité d'organisation, le programme des festivités prévoit un concert de musique (chansons et variétés kabyles), une série de conférences sur et autour de Yennayer abordant, entre autres, "Yennayer, référent identitaire commun" et "Yennayer et l'histoire des Imazighanes", "Enseignement de Tamazight en Algérie : parcours bilan et perspectives", un Café littéraire, des expositions-démonstration, un carnaval "Ayrad" (lion) de Benis Snouss, ainsi que la représentation de deux pièces au théâtre régional d'Oran Abdelkader-Alloula. Un Salon du livre amazigh est organisé également à l'occasion de ces journées commémorant "Yennayer" avec la participation d'une dizaine de maisons d'édition.
