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Portrait d'un artiste éternel
Chérif Kheddam
Publié dans Le Midi Libre le 28 - 01 - 2012

Une grande figure de la scène musicale algérienne nou a quittés sur la pointe des pieds lundi 23 janvier. En effet après avoir longtemps lutté contre la maladie, le mestro s'est décidé à déposer les armes pour se reposer enfin dans la terre nourricière de ses aïeux.
Une grande figure de la scène musicale algérienne nou a quittés sur la pointe des pieds lundi 23 janvier. En effet après avoir longtemps lutté contre la maladie, le mestro s'est décidé à déposer les armes pour se reposer enfin dans la terre nourricière de ses aïeux.
L'artiste, qui a investi depuis son plus jeune âge la scène artistiqu, est incontestablement l'icône incontournable de la chanson d'expression amazigue. Il a été également un mécène pour plusieurs chanteurs, qui aujourd'hui le pleurent. Il a en ainsi le mérite d'avoir offert un plus pour la continuité de la chanson kabyle, après avoir aidé de grands artistes de la chanson kabyle, à l'instar de Aït Menguellet, Nouara, Idir et bien d'autres encore. Le défunt auteur, compositeur et interprète, Chérif Kheddam a laissé derière lui un parcours professionnel artistique impressionnant. Son émission à la radio Chaîne II Les chanteurs de demain a donné leur chance à plusieurs chanteurs qui depuis enrichissent la scène artististique algérienne. Tous ceux qui l'ont approché et ils sont nombreux témoignent de sa générosité et modestie, il a su garder la tête froide en dépit de toute sa notoriété et est resté toujours très proche de son public.
Un défi permanent depuis
son plus jeune âge
Chérif Kheddam a vu le jour au sein d'une modeste famille du village Aït Bou Messaoud à Ifrerhounène à 60km au sud de Tizi-Ouzou. Un village de Kabylie connu pour son enclavement et la rudesse de la vie qui y prévaut ; c'était encore plus pénible durant la période coloniale où il était très difficile d'y vivre et subvenir aux besoins quotidiens. Son père l'envoie dans une école coranique à 17 km de son village. Malgré les contraintes de la vie il s'adonne sans demi-mesures à ses études coraniques jusqu'en 1942 auprès de Cheikh Oubelkacem de la zaouïa de Boudjelil à Tazmalt dans la wilaya de Béjaïa. Il est utile de signaler que Chérif Kheddam n'a pas vécu longtemps dans son village, puisqu'il quitte à l'âge de 12 ans le domicile familial pour aller travailler dans la capitale.
« un Gavroche du colonialisme à la recherche de son destin.
Un chemin musical tracé
en France
Chérif Kheddam s'est toujours élevé contre la répression du régime colonial en Algérie, ce qui l'a poussé à quitter son pays à l'âge de 20 ans. Il s'installera en France en 1947, d'abord à Saint-Denis ensuite à Epinay, exerçant avec courage un travail des ressortissant algériens établi dans cette époque en France, à savoir la fonderie. Par la suite il a travaillé dans une entreprise de peinture en bâtiment. Son amour et attachement à l'art l'ont accompagné dans les moments difficiles vécus en France. Il prendra en parallèle des cours de solfège. Au cours de son apprentissage de la musique, et avec son regard attentif et visionnaire, il a réussi à développer une technique musicale impressionnante, grâce aux cours du professeur Fernand Lamy et les bases de la musique orientale qu'il suivra avec Mohamed Jamoussi. Après avoir imposé son style musical, il
s'engage comme chanteur au sein d'une troupe de musiciens dans des cafés en France. Cherif Kheddam a enregistré sa première chanson intitulé A Yellis N'tmurtiw (ô femme de mon pays) en 1955, il connaîtra un premier succès grâce à la diffusion par la Radio télévision française (RTF). Un chanteur qui a cultivé la musique kabyle, ajoutant sa touche personnelle pour la rendre universelle. A ce propos, le regretté Chérif Kheddam a dit : « Je suis Méditerranéen et ma musique est méditerranéenne, turque, grecque, italienne, algérienne... Je pars de ma spécificité pour toucher l'universel. Seule l'authenticité peut donner tout son sens à une œuvre, musicale ou autre ». Au cours de l'année 1958, Chérif Kheddam diffuse ses plus belles chansons à l'instar de Nadia, Djurdjura et Khir ajellav n'Tmurtiw. Les thèmes de ses compositions sont inspirés de son vécu en Kabylie, « il chante la femme kabyle, l'exil, les montagnes du Djurdjura, l'indépendance et l'amour dans une poésie subtile et sensible tout en affirmant que pour lui la musique reste plus importante que les paroles ». Le succès de Chérif Kheddam se poursuit avec la production d'une chanson concoctée avec une justesse du verbe et de la musique exceptionnelle : A lemri, la chanson est enregistrée en 1963 par l'orchestre symphonique de Paris, il dira à ce propos : « Cette chanson est symbolique. Elle a une forte charge émotionnelle. Elle a plusieurs niveaux de lecture ».
Retour en Algérie
et animation à la radio Chaîne II
Après l'Indépendance de l'Algérie, Chérif Kheddam rentre au pays pour transmettre son expérience musicale acquise en France. C'est à la radio Chaîne II qu'il présentera Les chanteurs de demain. Grâce à cette émission, animée de 1964 à 1975, délaissant sa création pour se consacrer à celles des autres, il a découvert et encouragé des chanteurs devenus de nos jours des piliers de la chanson kabyle comme Lounis Aït Menguelet, Idir, Imazighen Imula, le groupe Yougourten et Nouara. Il a été derrière la création de la chorale du lycée Fatma-N'soumer. Il a été nommé un passeur de savoir surtout pendant les quize années passées à la Radio Télévision algérienne (RTA) et qui prend ra fin en 1975. Le défunt Chérif Kheddam occupe la scène artistique jusqu'en 1995, avec la production de deux CD et un DVD, avec deux titres nouveaux : L'ghorva thajdhit (le nouvel exil) et Rouh yazman (ainsi va la vie, traduction approximative). A propos de ces nouveaux albums, le défunt Chérif Kheddam a déclaré ceci : « C'est ma vie. Cet album reflète ma vie. Il parle de la vieillesse, des maux de la société et de l'exil forcé. Et, ironie du destin, moi qui ai quitté la France en 1963, je m'y suis exilé à nouveau à cause de mes problèmes de santé. Concernant la musique, on me reconnaît dès les premières notes. Il y a différentes rythmiques mais je suis resté fidèle à mon style ». Le grand compositeur Chérif Kheddam a animé son dernier concert en 2005, à la Coupole d'Alger, à l'occasion de cinquantenaire de sa carrière.
23 janvier 2012, un triste anniversaire
Le regretté Cherif kheddam s'est éteint le 23 janvier 2012 à l'âge de 85 ans, dans une clinique du XVIe arrondissement de Paris en France, suite à la maladie qui l'a cloué au lit durant plusieurs mois. Une grande figure s'en va laissant derrière lui des fans inconsolables et un très riche répertoire musical, tant en teste qu'en mélodies.Il continuera certainement à vivre grâce à son œuvre mais également à travers les chanteurs qu'il a aidé à intégrer la scène musical et pour lesquels il n'a ménagé ni efforts ni conseils. Un grand artiste s'en va mais ne meurt pas car il continue à vivre dans le cour de tous.
Parcours
Chérif Kheddam est né un 1er janvier au village Aït Bou Messaoud à Iferhounène à Tizi-Ouzou, il a suivi des cours coraniques jusqu'en 1942. Il quittera son village à l'âge de 12 pour se rendre à Alger avant d'opter pour l'exil en France de 1948 à 1963, exil au cours duquel il compose ses premières chansons. Après l'indépendance de l'Algérie, de 1964 à 1975, il a occupé un poste d'animateur et producteur de l'émission Les chanteurs de demain où il a déniché de nombreux talents, à l'instar de Aït Menguellet, Idir, Nouara... En 1975, il retourne à la composition et au chant. Il anime son dernier concert en 2005 à l'occasion du cinquantenaire de sa carrière. Il s'est éteint le 23 janvier 2012 dans un hôpital en France.
L'artiste, qui a investi depuis son plus jeune âge la scène artistiqu, est incontestablement l'icône incontournable de la chanson d'expression amazigue. Il a été également un mécène pour plusieurs chanteurs, qui aujourd'hui le pleurent. Il a en ainsi le mérite d'avoir offert un plus pour la continuité de la chanson kabyle, après avoir aidé de grands artistes de la chanson kabyle, à l'instar de Aït Menguellet, Nouara, Idir et bien d'autres encore. Le défunt auteur, compositeur et interprète, Chérif Kheddam a laissé derière lui un parcours professionnel artistique impressionnant. Son émission à la radio Chaîne II Les chanteurs de demain a donné leur chance à plusieurs chanteurs qui depuis enrichissent la scène artististique algérienne. Tous ceux qui l'ont approché et ils sont nombreux témoignent de sa générosité et modestie, il a su garder la tête froide en dépit de toute sa notoriété et est resté toujours très proche de son public.
Un défi permanent depuis
son plus jeune âge
Chérif Kheddam a vu le jour au sein d'une modeste famille du village Aït Bou Messaoud à Ifrerhounène à 60km au sud de Tizi-Ouzou. Un village de Kabylie connu pour son enclavement et la rudesse de la vie qui y prévaut ; c'était encore plus pénible durant la période coloniale où il était très difficile d'y vivre et subvenir aux besoins quotidiens. Son père l'envoie dans une école coranique à 17 km de son village. Malgré les contraintes de la vie il s'adonne sans demi-mesures à ses études coraniques jusqu'en 1942 auprès de Cheikh Oubelkacem de la zaouïa de Boudjelil à Tazmalt dans la wilaya de Béjaïa. Il est utile de signaler que Chérif Kheddam n'a pas vécu longtemps dans son village, puisqu'il quitte à l'âge de 12 ans le domicile familial pour aller travailler dans la capitale.
« un Gavroche du colonialisme à la recherche de son destin.
Un chemin musical tracé
en France
Chérif Kheddam s'est toujours élevé contre la répression du régime colonial en Algérie, ce qui l'a poussé à quitter son pays à l'âge de 20 ans. Il s'installera en France en 1947, d'abord à Saint-Denis ensuite à Epinay, exerçant avec courage un travail des ressortissant algériens établi dans cette époque en France, à savoir la fonderie. Par la suite il a travaillé dans une entreprise de peinture en bâtiment. Son amour et attachement à l'art l'ont accompagné dans les moments difficiles vécus en France. Il prendra en parallèle des cours de solfège. Au cours de son apprentissage de la musique, et avec son regard attentif et visionnaire, il a réussi à développer une technique musicale impressionnante, grâce aux cours du professeur Fernand Lamy et les bases de la musique orientale qu'il suivra avec Mohamed Jamoussi. Après avoir imposé son style musical, il
s'engage comme chanteur au sein d'une troupe de musiciens dans des cafés en France. Cherif Kheddam a enregistré sa première chanson intitulé A Yellis N'tmurtiw (ô femme de mon pays) en 1955, il connaîtra un premier succès grâce à la diffusion par la Radio télévision française (RTF). Un chanteur qui a cultivé la musique kabyle, ajoutant sa touche personnelle pour la rendre universelle. A ce propos, le regretté Chérif Kheddam a dit : « Je suis Méditerranéen et ma musique est méditerranéenne, turque, grecque, italienne, algérienne... Je pars de ma spécificité pour toucher l'universel. Seule l'authenticité peut donner tout son sens à une œuvre, musicale ou autre ». Au cours de l'année 1958, Chérif Kheddam diffuse ses plus belles chansons à l'instar de Nadia, Djurdjura et Khir ajellav n'Tmurtiw. Les thèmes de ses compositions sont inspirés de son vécu en Kabylie, « il chante la femme kabyle, l'exil, les montagnes du Djurdjura, l'indépendance et l'amour dans une poésie subtile et sensible tout en affirmant que pour lui la musique reste plus importante que les paroles ». Le succès de Chérif Kheddam se poursuit avec la production d'une chanson concoctée avec une justesse du verbe et de la musique exceptionnelle : A lemri, la chanson est enregistrée en 1963 par l'orchestre symphonique de Paris, il dira à ce propos : « Cette chanson est symbolique. Elle a une forte charge émotionnelle. Elle a plusieurs niveaux de lecture ».
Retour en Algérie
et animation à la radio Chaîne II
Après l'Indépendance de l'Algérie, Chérif Kheddam rentre au pays pour transmettre son expérience musicale acquise en France. C'est à la radio Chaîne II qu'il présentera Les chanteurs de demain. Grâce à cette émission, animée de 1964 à 1975, délaissant sa création pour se consacrer à celles des autres, il a découvert et encouragé des chanteurs devenus de nos jours des piliers de la chanson kabyle comme Lounis Aït Menguelet, Idir, Imazighen Imula, le groupe Yougourten et Nouara. Il a été derrière la création de la chorale du lycée Fatma-N'soumer. Il a été nommé un passeur de savoir surtout pendant les quize années passées à la Radio Télévision algérienne (RTA) et qui prend ra fin en 1975. Le défunt Chérif Kheddam occupe la scène artistique jusqu'en 1995, avec la production de deux CD et un DVD, avec deux titres nouveaux : L'ghorva thajdhit (le nouvel exil) et Rouh yazman (ainsi va la vie, traduction approximative). A propos de ces nouveaux albums, le défunt Chérif Kheddam a déclaré ceci : « C'est ma vie. Cet album reflète ma vie. Il parle de la vieillesse, des maux de la société et de l'exil forcé. Et, ironie du destin, moi qui ai quitté la France en 1963, je m'y suis exilé à nouveau à cause de mes problèmes de santé. Concernant la musique, on me reconnaît dès les premières notes. Il y a différentes rythmiques mais je suis resté fidèle à mon style ». Le grand compositeur Chérif Kheddam a animé son dernier concert en 2005, à la Coupole d'Alger, à l'occasion de cinquantenaire de sa carrière.
23 janvier 2012, un triste anniversaire
Le regretté Cherif kheddam s'est éteint le 23 janvier 2012 à l'âge de 85 ans, dans une clinique du XVIe arrondissement de Paris en France, suite à la maladie qui l'a cloué au lit durant plusieurs mois. Une grande figure s'en va laissant derrière lui des fans inconsolables et un très riche répertoire musical, tant en teste qu'en mélodies.Il continuera certainement à vivre grâce à son œuvre mais également à travers les chanteurs qu'il a aidé à intégrer la scène musical et pour lesquels il n'a ménagé ni efforts ni conseils. Un grand artiste s'en va mais ne meurt pas car il continue à vivre dans le cour de tous.
Parcours
Chérif Kheddam est né un 1er janvier au village Aït Bou Messaoud à Iferhounène à Tizi-Ouzou, il a suivi des cours coraniques jusqu'en 1942. Il quittera son village à l'âge de 12 pour se rendre à Alger avant d'opter pour l'exil en France de 1948 à 1963, exil au cours duquel il compose ses premières chansons. Après l'indépendance de l'Algérie, de 1964 à 1975, il a occupé un poste d'animateur et producteur de l'émission Les chanteurs de demain où il a déniché de nombreux talents, à l'instar de Aït Menguellet, Idir, Nouara... En 1975, il retourne à la composition et au chant. Il anime son dernier concert en 2005 à l'occasion du cinquantenaire de sa carrière. Il s'est éteint le 23 janvier 2012 dans un hôpital en France.


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