La tempête de neige qui affecte le pays depuis plusieurs jours n'a pas été sans conséquences sur la scène politique. Et pour cause, plusieurs activités politiques ont été reportées à cause des mauvaises conditions climatiques. La tempête de neige qui affecte le pays depuis plusieurs jours n'a pas été sans conséquences sur la scène politique. Et pour cause, plusieurs activités politiques ont été reportées à cause des mauvaises conditions climatiques. Ainsi, le Front des forces socialistes (FFS) a dû décaler d'une semaine la tenue de sa convention nationale, initialement prévue le 11 février dernier. Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) lui, a reporté aux 16 et 17 février les réunions du secrétariat national et du conseil national, devant initialement se tenir les 9 et 10 février dernier. Un retard qui vaudra au parti de Saïd Sadi de repousser à des dates ultérieures les assemblées générales électives des congressistes devant également se tenir le week-end prochain. Les intempéries ont contraint d'autres formations politiques d'annuler leurs activités organiques et partisanes. Des rencontres et des rassemblements ont été ainsi annulés dans certaines wilayas. En effet, les fortes chutes de neige et la tempête glaciale qui s'abattent sur le pays ont complètement faussé la donne politique, en cette période censée être très animée à l'approche des élections législatives. Cet invité surprise, c'est-à-dire la neige, nourrit les craintes des partis politiques mais aussi des pouvoirs publics. La détresse des Algériens durement éprouvés par la tempête de neige en l'absence d'une prise en charge adéquate des autorités accentue le fossé existant entre les citoyens et leur administration et renforce le discrédit des élus du peuple. Par déduction, la neige a cultivé davantage le spectre de l'abstention parmi les potentiels électeurs, les pouvoirs publics ayant montré leurs limites dans la gestion de cette tragédie qui frappe de plein fouet des régions entières du pays. D'ailleurs, les citoyens font montre d'un désintérêt grandissant vis-à-vis de la chose politique, préoccupés plutôt par la pénurie de gaz butane et de denrées alimentaires en ces temps difficiles. Une démission, certes justifiée, mais qui laisse planer de forts doutes sur le déroulement du prochain scrutin législatif le 10 mai prochain. Les formations politiques, elles, et notamment les nouveaux venus sur la scène politique, devront faire preuve de beaucoup d'imagination pour espérer convaincre des citoyens désabusés et indifférents. Les désagréments innombrables engendrés par les intempéries commencent à soulever la colère de la rue. Plusieurs axes routiers ont été fermés dans plusieurs localités. Osera-t-on, dans un contexte pareil, animer des meetings ou inciter les gens à voter massivement lors des prochaines élections ? Le même sort est d'ailleurs réservé aux messages et spots publicitaires du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales. Les citoyens algériens ne sont plus chauds pour aller voter et les ambitions des partis politiques fondent comme neige ! Ainsi, le Front des forces socialistes (FFS) a dû décaler d'une semaine la tenue de sa convention nationale, initialement prévue le 11 février dernier. Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) lui, a reporté aux 16 et 17 février les réunions du secrétariat national et du conseil national, devant initialement se tenir les 9 et 10 février dernier. Un retard qui vaudra au parti de Saïd Sadi de repousser à des dates ultérieures les assemblées générales électives des congressistes devant également se tenir le week-end prochain. Les intempéries ont contraint d'autres formations politiques d'annuler leurs activités organiques et partisanes. Des rencontres et des rassemblements ont été ainsi annulés dans certaines wilayas. En effet, les fortes chutes de neige et la tempête glaciale qui s'abattent sur le pays ont complètement faussé la donne politique, en cette période censée être très animée à l'approche des élections législatives. Cet invité surprise, c'est-à-dire la neige, nourrit les craintes des partis politiques mais aussi des pouvoirs publics. La détresse des Algériens durement éprouvés par la tempête de neige en l'absence d'une prise en charge adéquate des autorités accentue le fossé existant entre les citoyens et leur administration et renforce le discrédit des élus du peuple. Par déduction, la neige a cultivé davantage le spectre de l'abstention parmi les potentiels électeurs, les pouvoirs publics ayant montré leurs limites dans la gestion de cette tragédie qui frappe de plein fouet des régions entières du pays. D'ailleurs, les citoyens font montre d'un désintérêt grandissant vis-à-vis de la chose politique, préoccupés plutôt par la pénurie de gaz butane et de denrées alimentaires en ces temps difficiles. Une démission, certes justifiée, mais qui laisse planer de forts doutes sur le déroulement du prochain scrutin législatif le 10 mai prochain. Les formations politiques, elles, et notamment les nouveaux venus sur la scène politique, devront faire preuve de beaucoup d'imagination pour espérer convaincre des citoyens désabusés et indifférents. Les désagréments innombrables engendrés par les intempéries commencent à soulever la colère de la rue. Plusieurs axes routiers ont été fermés dans plusieurs localités. Osera-t-on, dans un contexte pareil, animer des meetings ou inciter les gens à voter massivement lors des prochaines élections ? Le même sort est d'ailleurs réservé aux messages et spots publicitaires du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales. Les citoyens algériens ne sont plus chauds pour aller voter et les ambitions des partis politiques fondent comme neige !