Un vent de jeunesse traverse le RCD. La tête du parti a un nouveau président. Le porte-parole du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Mohcine Belabbas, a été élu, hier, nouveau président du parti en remplacement de Saïd Sadi qui avait annoncé vendredi sa décision de ne pas briguer un nouveau mandat à la tête du parti lors d'un discours prononcé à l'ouverture des assises du parti. Un vent de jeunesse traverse le RCD. La tête du parti a un nouveau président. Le porte-parole du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Mohcine Belabbas, a été élu, hier, nouveau président du parti en remplacement de Saïd Sadi qui avait annoncé vendredi sa décision de ne pas briguer un nouveau mandat à la tête du parti lors d'un discours prononcé à l'ouverture des assises du parti. Mohcine Belabbas, 42 ans, a été élu à la majorité pour la présidence du RCD, au terme du 4e congrès du parti ouvert vendredi. Le nouveau président du RCD est député d'Alger depuis 2007. Ainsi, une page du long parcours du RCD est tournée. Une autre vient de s'ouvrir, même si Saïd Sadi qui a dirigé le RCD depuis sa création en 1989 a annoncé qu'il allait, toutefois, rester militant au sein du RCD. «J'ai longuement réfléchi, je m'en suis ouvert aux membres de la direction. Il est temps que les compétences formées dans et par le parti s'expriment et s'accomplissent», a précisé M. Sadi. Après 23 ans de présidence, Saïd Sadi se retire donc de la direction du RCD. «Je pense sincèrement que désormais il faut que les jeunes cadres du parti, qui représentent déjà l'essentiel de la direction, assument leurs pleines responsabilités dans les nouvelles étapes qui attendent le pays», a-t-il justifié sa décision qui a surpris beaucoup de monde y compris parmi ses proches collaborateurs et amis politiques. Saïd Sadi, âgé aujourd'hui de 65 ans, a été élu une première fois secrétaire général du parti (devenu président dès 1998) du RCD en 1989. Il a toujours été reconduit à la tête d'un parti qui a connu beaucoup de crises qui ont laissé sur le bas- côté de nombreux cadres du parti. Certains sont partis sur la pointe des pieds sans faire de vagues. D'autres ont été assez critiques envers Saïd Sadi sans toutefois parvenir à le déstabiliser ni à initier un mouvement de redressement du parti. «Je pense sincèrement que désormais il faut que les jeunes cadres du parti, qui représentent déjà l'essentiel de la direction, assument leurs pleines responsabilités dans les nouvelles étapes qui attendent le pays», avait déclaré le désormais ex-président du RCD qui transmet le flambeau à l'unique candidat à sa succession, Mohcine Belabbas, qui a été élu à main levée par les congressistes qui prenaient part au 4e congrès du parti. Député du RCD dans la circonscription d'Alger, Mohcine Belabbas a géré le département de la communication du parti avant d'être désigné porte-parole de ce congrès. Mohcine Belabbas, 42 ans, a été élu à la majorité pour la présidence du RCD, au terme du 4e congrès du parti ouvert vendredi. Le nouveau président du RCD est député d'Alger depuis 2007. Ainsi, une page du long parcours du RCD est tournée. Une autre vient de s'ouvrir, même si Saïd Sadi qui a dirigé le RCD depuis sa création en 1989 a annoncé qu'il allait, toutefois, rester militant au sein du RCD. «J'ai longuement réfléchi, je m'en suis ouvert aux membres de la direction. Il est temps que les compétences formées dans et par le parti s'expriment et s'accomplissent», a précisé M. Sadi. Après 23 ans de présidence, Saïd Sadi se retire donc de la direction du RCD. «Je pense sincèrement que désormais il faut que les jeunes cadres du parti, qui représentent déjà l'essentiel de la direction, assument leurs pleines responsabilités dans les nouvelles étapes qui attendent le pays», a-t-il justifié sa décision qui a surpris beaucoup de monde y compris parmi ses proches collaborateurs et amis politiques. Saïd Sadi, âgé aujourd'hui de 65 ans, a été élu une première fois secrétaire général du parti (devenu président dès 1998) du RCD en 1989. Il a toujours été reconduit à la tête d'un parti qui a connu beaucoup de crises qui ont laissé sur le bas- côté de nombreux cadres du parti. Certains sont partis sur la pointe des pieds sans faire de vagues. D'autres ont été assez critiques envers Saïd Sadi sans toutefois parvenir à le déstabiliser ni à initier un mouvement de redressement du parti. «Je pense sincèrement que désormais il faut que les jeunes cadres du parti, qui représentent déjà l'essentiel de la direction, assument leurs pleines responsabilités dans les nouvelles étapes qui attendent le pays», avait déclaré le désormais ex-président du RCD qui transmet le flambeau à l'unique candidat à sa succession, Mohcine Belabbas, qui a été élu à main levée par les congressistes qui prenaient part au 4e congrès du parti. Député du RCD dans la circonscription d'Alger, Mohcine Belabbas a géré le département de la communication du parti avant d'être désigné porte-parole de ce congrès.
