Les travaux des assemblées annuelles des institutions financières arabes ouverts mardi à Marrakech (Maroc) en présence de ministres arabes de l'Economie et des Finances, dont Karim Djoudi, ministre algérien des Finances, ont pris fin en début de soirée. Les assemblées des institutions financières arabes ont notamment porté sur les moyens de renforcer la coordination entre les pays arabes aussi bien dans l'élaboration des politiques financières que dans le renforcement des investissements interarabes. Les ministres arabes en qualité d'administrateurs de leurs pays au sein de ces institutions ont examiné lors des travaux, à huis clos, plusieurs points relatifs aux activités de ces institutions notamment l'adoption des rapports annuels de leurs activités financières, leurs comptes de clôture, leurs budgets administratifs outre la nomination de leurs contrôleurs financiers. Karim Djoudi, qui était accompagné aux travaux de ces assemblées d'une délégation de son département ministériel, a participé en marge de celles-ci à la troisième réunion du Conseil des ministres arabes des Finances, dont la création avait été décidée lors du sommet des chefs d'Etats arabes sur le développement économique et social arabe en janvier 2009 au Koweït. Il a également pris part à la deuxième réunion du Conseil de supervision du Fonds pour le financement de projets de la PME du secteur privé dans les pays arabes qui a été également crée lors de ce sommet du Koweït, à l'initiative de l'émir de l'Etat du Koweït. L'Algérie avait participé à ce fonds à hauteur de 10 millions de dollars et a déjà versé 50% de ce montant, conformément à la réunion tenue au Koweït en octobre 2010, consacrée au lancement des activités de ce fonds, indique-t-on auprès de la délégation algérienne. Par ailleurs, le ministre algérien a eu plusieurs activités, en marge de ces assemblées en rencontrant des responsables des institutions financières arabes et s'est entretenu avec certains de ses homologues des pays arabes. M. Djoudi a abordé avec les responsables des institutions financières arabes et le président de la Banque islamique, les relations de l'Algérie avec ces institutions qui ont exprimé leur satisfaction pour le niveau appréciable des relations entre les deux parties et ce malgré le non recours de l'Algérie aux emprunts extérieurs, précise-t-on de même source. Les rencontres qu'il a eues avec certains de ses homologues des pays arabes ont permis à M. Djoudi de procéder à des échanges de points de vues sur la situation économique globale au regard de la crise financière mondiale avant de discuter avec eux du développement des relations de l'Algérie avec ces pays, ajoute-t-on. Les travaux de ces assemblées ont été marqués par la réélection du directeur général de la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA), l'Algérien Abdelaziz Khellaf pour un nouveau mandat de trois ans (2012-2015). Présentée par l'Algérie, la candidature de M Khellaf a reçu l'accord de l'ensemble des pays membres pour sa reconduction à la tête de cette institution financière. "C'est une marque de confiance en ma personne mais surtout une marque de confiance à la contribution de l'Algérie dans les institutions arabes dont la BADEA fait partie", a déclaré M. Khellaf à l'APS. Outre les ministres arabes de l'Economie et des Finances et des directeurs généraux des organismes financiers arabes, quelque 350 personnalités du monde de la finance et de l'économie ont pris part aux travaux de ces assemblées. Les travaux des assemblées annuelles des institutions financières arabes ouverts mardi à Marrakech (Maroc) en présence de ministres arabes de l'Economie et des Finances, dont Karim Djoudi, ministre algérien des Finances, ont pris fin en début de soirée. Les assemblées des institutions financières arabes ont notamment porté sur les moyens de renforcer la coordination entre les pays arabes aussi bien dans l'élaboration des politiques financières que dans le renforcement des investissements interarabes. Les ministres arabes en qualité d'administrateurs de leurs pays au sein de ces institutions ont examiné lors des travaux, à huis clos, plusieurs points relatifs aux activités de ces institutions notamment l'adoption des rapports annuels de leurs activités financières, leurs comptes de clôture, leurs budgets administratifs outre la nomination de leurs contrôleurs financiers. Karim Djoudi, qui était accompagné aux travaux de ces assemblées d'une délégation de son département ministériel, a participé en marge de celles-ci à la troisième réunion du Conseil des ministres arabes des Finances, dont la création avait été décidée lors du sommet des chefs d'Etats arabes sur le développement économique et social arabe en janvier 2009 au Koweït. Il a également pris part à la deuxième réunion du Conseil de supervision du Fonds pour le financement de projets de la PME du secteur privé dans les pays arabes qui a été également crée lors de ce sommet du Koweït, à l'initiative de l'émir de l'Etat du Koweït. L'Algérie avait participé à ce fonds à hauteur de 10 millions de dollars et a déjà versé 50% de ce montant, conformément à la réunion tenue au Koweït en octobre 2010, consacrée au lancement des activités de ce fonds, indique-t-on auprès de la délégation algérienne. Par ailleurs, le ministre algérien a eu plusieurs activités, en marge de ces assemblées en rencontrant des responsables des institutions financières arabes et s'est entretenu avec certains de ses homologues des pays arabes. M. Djoudi a abordé avec les responsables des institutions financières arabes et le président de la Banque islamique, les relations de l'Algérie avec ces institutions qui ont exprimé leur satisfaction pour le niveau appréciable des relations entre les deux parties et ce malgré le non recours de l'Algérie aux emprunts extérieurs, précise-t-on de même source. Les rencontres qu'il a eues avec certains de ses homologues des pays arabes ont permis à M. Djoudi de procéder à des échanges de points de vues sur la situation économique globale au regard de la crise financière mondiale avant de discuter avec eux du développement des relations de l'Algérie avec ces pays, ajoute-t-on. Les travaux de ces assemblées ont été marqués par la réélection du directeur général de la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA), l'Algérien Abdelaziz Khellaf pour un nouveau mandat de trois ans (2012-2015). Présentée par l'Algérie, la candidature de M Khellaf a reçu l'accord de l'ensemble des pays membres pour sa reconduction à la tête de cette institution financière. "C'est une marque de confiance en ma personne mais surtout une marque de confiance à la contribution de l'Algérie dans les institutions arabes dont la BADEA fait partie", a déclaré M. Khellaf à l'APS. Outre les ministres arabes de l'Economie et des Finances et des directeurs généraux des organismes financiers arabes, quelque 350 personnalités du monde de la finance et de l'économie ont pris part aux travaux de ces assemblées.
