Les problèmes de l'Algérie doivent être débattus «de manière rationnelle, dans le calme et dans le cadre d'un dialogue responsable», a préconisé, hier, à Khemis Miliana (Aïn Defla), le président du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd, tout en invitant la population à saisir l'opportunité des prochaines législatives pour permettre au pays d'amorcer son «décollage» dans tous les domaines. M. Belaïd, qui intervenait à l'occasion d'un meeting populaire, a longuement abordé l'importance de la prochaine consultation électorale «susceptible, a-t-il insisté, d'ouvrir un dialogue entre les citoyens d'un même pays et de nouveaux horizons pour la nation». Parlant du bilan du pays, 50 ans après l'indépendance, M. Belaïd a accusé «la mauvaise gestion» d'être à l'origine de «la déconfiture actuelle», en dépit, a-t-il fait remarquer, des «sommes colossales» injectées par l'Etat dans tous les secteurs d'activités socio-économiques. Selon lui, «l'homme qu'il faut à la place qu'il faut» aura été un «vain slogan», ce qui a eu pour effet, a-t-il poursuivi, de «décourager» les compétences et de les inciter à partir vers d'autres cieux. Parlant des jeunes, M. Belaïd a estimé qu'un «bon diagnostic» des problèmes de ces derniers permettrait «à coup sûr» de trouver les remèdes susceptibles de les solutionner, relevant que des phénomènes, tels que l'émigration clandestine, «ne doivent pas avoir droit de cité dans un pays de la dimension de l'Algérie». Il a ajouté qu'il faut faire preuve d'anticipation et réfléchir, «dès à présent», aux problèmes des générations futures, appelant à une plus grande «vigilance» le jour du scrutin afin, a-t-il soutenu, de «barrer la route aux opportunistes de tous bords». Les problèmes de l'Algérie doivent être débattus «de manière rationnelle, dans le calme et dans le cadre d'un dialogue responsable», a préconisé, hier, à Khemis Miliana (Aïn Defla), le président du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd, tout en invitant la population à saisir l'opportunité des prochaines législatives pour permettre au pays d'amorcer son «décollage» dans tous les domaines. M. Belaïd, qui intervenait à l'occasion d'un meeting populaire, a longuement abordé l'importance de la prochaine consultation électorale «susceptible, a-t-il insisté, d'ouvrir un dialogue entre les citoyens d'un même pays et de nouveaux horizons pour la nation». Parlant du bilan du pays, 50 ans après l'indépendance, M. Belaïd a accusé «la mauvaise gestion» d'être à l'origine de «la déconfiture actuelle», en dépit, a-t-il fait remarquer, des «sommes colossales» injectées par l'Etat dans tous les secteurs d'activités socio-économiques. Selon lui, «l'homme qu'il faut à la place qu'il faut» aura été un «vain slogan», ce qui a eu pour effet, a-t-il poursuivi, de «décourager» les compétences et de les inciter à partir vers d'autres cieux. Parlant des jeunes, M. Belaïd a estimé qu'un «bon diagnostic» des problèmes de ces derniers permettrait «à coup sûr» de trouver les remèdes susceptibles de les solutionner, relevant que des phénomènes, tels que l'émigration clandestine, «ne doivent pas avoir droit de cité dans un pays de la dimension de l'Algérie». Il a ajouté qu'il faut faire preuve d'anticipation et réfléchir, «dès à présent», aux problèmes des générations futures, appelant à une plus grande «vigilance» le jour du scrutin afin, a-t-il soutenu, de «barrer la route aux opportunistes de tous bords».
