Le genre musical imzad, puisé du patrimoine immatériel targui, a fait bonne impression auprès du public de Mostaganem, à l'occasion d'un spectacle animé à la maison de la culture Ould-Abderrahmane-Kaki. Un public nombreux a assisté jeudi soir à ce spectacle initié par l'association «Pour l'imzad» en coordination avec la direction de la culture et qui s'est déroulé sous le slogan «Amour et Paix», dans le cadre de la célébration du cinquantenaire de l'Indépendance nationale. Les spectateurs ont pris plaisir, dans ce cadre, à se laisser bercer par le rythme des différentes compositions qui reflètent la richesse et la variété des patrimoines, tant targui que chaoui ou kabyle. L'ambiance dans la salle archicomble a été également agrémentée par les danses folkloriques targuies, mettant en valeur ce patrimoine ancestral et par les sonorités imzad superbement interprétées par des femmes, conformément à la tradition . Les organisateurs se sont félicités de la tenue de cette manifestation qui valorise le patrimoine immatériel targui à travers l'usage de l'imzad, instrument de musique de forme semi-circulaire et monocorde, spécifique à plusieurs régions du sud du pays comme le Hoggar, Tamanrasset et Djanet. Ce spectacle a été animé deux heures durant par une pléiade d'artistes venus des différentes régions du pays, à l'instar de Hassan Daddi, Meziane Izouren, du groupe «Imentaf» de Tamanrasset et de la Chorale d'Illizi, ainsi qu'un chanteur nigerien. Le public, particulièrement les jeunes, a appelé à la réédition de cette manifestation qui «permet de découvrir les multiples genres musicaux que recèle le pays», dont le targui qui est «peu connu dans les milieux juvéniles». Certains spectateurs ont également souhaité la programmation de ce genre musical lors des soirées du Ramadhan. Un spectacle similaire est prévue dans la soirée de samedi à Aïn Tédelès, ont annoncé les organisateurs qui prévoient une tournée à travers plusieurs wilayas dont Constantine (4 et 5 juin), Sétif (8 juin) et Oran (20 juin) ainsi que dans les wilayas du centre du pays et ce jusqu'au 5 juillet. Le genre musical imzad, puisé du patrimoine immatériel targui, a fait bonne impression auprès du public de Mostaganem, à l'occasion d'un spectacle animé à la maison de la culture Ould-Abderrahmane-Kaki. Un public nombreux a assisté jeudi soir à ce spectacle initié par l'association «Pour l'imzad» en coordination avec la direction de la culture et qui s'est déroulé sous le slogan «Amour et Paix», dans le cadre de la célébration du cinquantenaire de l'Indépendance nationale. Les spectateurs ont pris plaisir, dans ce cadre, à se laisser bercer par le rythme des différentes compositions qui reflètent la richesse et la variété des patrimoines, tant targui que chaoui ou kabyle. L'ambiance dans la salle archicomble a été également agrémentée par les danses folkloriques targuies, mettant en valeur ce patrimoine ancestral et par les sonorités imzad superbement interprétées par des femmes, conformément à la tradition . Les organisateurs se sont félicités de la tenue de cette manifestation qui valorise le patrimoine immatériel targui à travers l'usage de l'imzad, instrument de musique de forme semi-circulaire et monocorde, spécifique à plusieurs régions du sud du pays comme le Hoggar, Tamanrasset et Djanet. Ce spectacle a été animé deux heures durant par une pléiade d'artistes venus des différentes régions du pays, à l'instar de Hassan Daddi, Meziane Izouren, du groupe «Imentaf» de Tamanrasset et de la Chorale d'Illizi, ainsi qu'un chanteur nigerien. Le public, particulièrement les jeunes, a appelé à la réédition de cette manifestation qui «permet de découvrir les multiples genres musicaux que recèle le pays», dont le targui qui est «peu connu dans les milieux juvéniles». Certains spectateurs ont également souhaité la programmation de ce genre musical lors des soirées du Ramadhan. Un spectacle similaire est prévue dans la soirée de samedi à Aïn Tédelès, ont annoncé les organisateurs qui prévoient une tournée à travers plusieurs wilayas dont Constantine (4 et 5 juin), Sétif (8 juin) et Oran (20 juin) ainsi que dans les wilayas du centre du pays et ce jusqu'au 5 juillet.
