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Messahel appelle au renforcement des capacités des pays du Sahel
Lutte contre le terrorisme et situation au Mali
Publié dans Le Midi Libre le 09 - 06 - 2012

La situation au nord du Mali et la lutte globale contre le terrorisme sont revenues sur le devant de la scène en cette fin de semaine. Jeudi se sont ouverts à Istanbul (Turquie) les travaux du Forum global de lutte contre le terrorisme auxquel l'Algérie participe. Il est revenu au ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, d'exprimer la position de l'Algérie sur les deux sensibles questions.
La situation au nord du Mali et la lutte globale contre le terrorisme sont revenues sur le devant de la scène en cette fin de semaine. Jeudi se sont ouverts à Istanbul (Turquie) les travaux du Forum global de lutte contre le terrorisme auxquel l'Algérie participe. Il est revenu au ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, d'exprimer la position de l'Algérie sur les deux sensibles questions.
Lors de son intervention devant les participants aux travaux du Forum global de lutte contre le terrorisme, Abdelkader Messahel a appelé le groupe de travail du Forum sur le Sahel à « dégager des créneaux concrets pour renforcer les capacités des pays de la région dans la lutte contre le terrorisme et le crime transnational
organisé ». Il se dit convaincu que les pays du Sahel « peuvent compter sur une coopération et un partenariat constructifs avec la communauté internationale », ayant, a-t-il soutenu, « très nettement perçu cette volonté d'accompagner les pays de la région lors de la conférence d'Alger de septembre 2011 sur le partenariat, la sécurité et le développement au Sahel, qui a jeté les bases du partenariat et l'a défini tout en le structurant dans l'architecture des Nations unies de lutte contre le terrorisme, le crime transnational et la pauvreté ». Le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines a rappelé que dans ce cadre les pays du champ « ont eu collectivement des pourparlers très constructifs et très utiles avec certains de nos partenaires », notamment les Etats-Unis d'Amérique, à Washington (novembre 2011) et l'Union européenne à Bruxelles (décembre 2011). Le représentant du gouvernement a estimé aussi que le groupe de travail sur le Sahel, co-présidé par l'Algérie et le Canada, « a montré toute sa pertinence au regard, notamment, de l'actualité et des événements qui ont cours dans cette région, singulièrement la situation au Mali marquée par l'instabilité politique, le recul d'acquis démocratiques, les menaces à l'intégrité territoriale du pays, la perte de contrôle de l'Etat d'une partie de son territoire avec les conséquences prévisibles sur l'accroissement des activités des groupes terroristes et du crime transnational organisé ». Il a, dans ce contexte, rappelé les efforts « considérables » consentis par l'Algérie pour « mobiliser les Etats de la région autour d'une volonté politique partagée et de mécanismes de coopération politique, sécuritaire et de développement pour combattre le terrorisme, le crime transnational et la pauvreté ». Selon lui,
« ces efforts collectifs, structurés autour d'une stratégie régionale commune ont commencé à donner des résultats très encourageants, contrariés malheureusement par les événements qui ont eu lieu au Mali ». Sur la situation au Mali, le ministre délégué a rappelé la position de l'Algérie qui plaide pour
« la promotion d'une solution politique grâce à un dialogue entre le gouvernement et les rebelles du Nord qui prenne en charge les revendications légitimes de ces populations, et la lutte contre le terrorisme et le crime organisé », outre « le nécessaire parachèvement du processus de retour à l'ordre constitutionnel, avec la consolidation d'institutions fortes, consensuelles et légitimes, l'exercice par l'Etat malien de ses prérogatives sur tout son territoire, en passant par la préservation de l'intégrité territoriale et de la souveraineté du Mali ». Les travaux de la réunion ministérielle du Forum global de lutte contre le terrorisme se poursuivent à huis clos jeudi à Istanbul. La secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, qui copréside la réunion du Forum avec le ministre des Affaires étrangères de Turquie, Ahmet Davutoglu, a réaffirmé à l'ouverture du forum l'importance de cette rencontre pour lutter efficacement contre le terrorisme, qui demeure une « menace réelle » en dépit des « résultats positifs » relevés dans certains pays touchés de plein fouet par le phénomène. Elle a plaidé en faveur d'un déploiement des efforts de tous les pays pour faire face à ce fléau dans le cadre d'un partenariat global, comme le FGCT (regroupant une trentaine de pays, dont l'Algérie), initié par les Etats-Unis.
L'UA se tourne vers l'Onu
Tandis que l'Algérie plaide pour une « la promotion d'une solution politique grâce à un dialogue entre le gouvernement et les rebelles du Nord qui prenne en charge les revendications légitimes de ces populations, et la lutte contre le terrorisme et le crime organisé », le Groupe de soutien et de suivi sur le Mali, créé par l'UA, œuvre lui à « la mobilisation rapide d'un appui adéquat des Nations unies », qui passerait par « une requête formelle » de l'UA fixant le « mandat précis » d'une opération militaire destinée à rétablir l'intégrité territoriale du Mali. Selon le document final de ce Groupe, réuni jeudi soir à Abidjan, des responsables des Nations unies, de l'UA et de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao), l'Union africaine (UA) vont saisir l'Onu pour obtenir son appui à une intervention militaire dans le nord du Mali, contrôlé depuis plus de deux mois par des groupes armés. Le recours de l'UA au Conseil de sécurité de l'Onu « va ouvrir la voie au déploiement d'une force internationale dans le nord du Mali », contrôlé par les rebelles touaregs et des groupes armés, a-t-on indiqué. Les participants ont jugé nécessaire de « mobiliser tous les moyens appropriés, y compris militaires », pour aider l'Etat malien à reprendre cette région
« dans les plus brefs délais possibles » et
« combattre les groupes terroristes et criminels » qui y sévissent. Le chef de l'Etat béninois et président en exercice de l'UA, Thomas Boni Yayi, avait lancé le 30 mai l'idée d'une saisine du Conseil de sécurité de l'Onu en vue de la création d'une « force » africaine d'intervention au Mali. Pour rappel, l'Union africaine a décidé, à la demande de l'organisation ouest-africaine (Cédéao), de transférer prochainement le dossier de la crise malienne au Conseil de sécurité de l'Onu. Mis sur pied par l'UA, le Groupe de soutien et de suivi sur le Mali est une structure rassemblant les pays africains directement concernés par la crise au Mali et les partenaires au développement. Il est à rappeler également que le rebelles touaregs du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) ainsi que des groupes armés, dont certains affiliés à Al Qaïda ont profité du coup d'Etat commis le 22 mars dernier au Mali contre le président Amadou Toumani Touré (ATT), pour prendre le contrôle du nord du pays. Au Nord, la « fusion » entre le MNLA et Ançar Eddine bat de l'aile. Selon des médias, des rebelles touaregs et des islamistes se sont affrontés dans la nuit de jeudi à vendredi près de Kidal, une ville du Nord du Mali. Des combattants de la rébellion touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) et du groupe islamiste Ançar Dine « se sont affrontés » dans la nuit en périphérie de Kidal, a indiqué à l'agence de presse, par téléphone un fonctionnaire de la ville, évoquant des tirs nourris d'armes automatiques. C'est la première fois qu'est rapporté un affrontement direct entre ces groupes depuis plus de deux mois que l'immense région Nord est contrôlée par le MNLA et surtout Ançar Dine et son allié jihadiste d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). Des combats sur fond tribal qui ne s'arrêteront pas de sitôt, rendant plus
« complexe » la recherche d'une « solution politique ». Tout indique que le passage par « une force étrangère » pour
« libérer » le nord du Mali de l'emprise du MNLA et des groupes armés est un « mal » nécessaire, si ce n'est la question des otages (7 diplomates algériens et d'autres occidentaux retenus par le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), (MUJOA) au Mali).
Lors de son intervention devant les participants aux travaux du Forum global de lutte contre le terrorisme, Abdelkader Messahel a appelé le groupe de travail du Forum sur le Sahel à « dégager des créneaux concrets pour renforcer les capacités des pays de la région dans la lutte contre le terrorisme et le crime transnational
organisé ». Il se dit convaincu que les pays du Sahel « peuvent compter sur une coopération et un partenariat constructifs avec la communauté internationale », ayant, a-t-il soutenu, « très nettement perçu cette volonté d'accompagner les pays de la région lors de la conférence d'Alger de septembre 2011 sur le partenariat, la sécurité et le développement au Sahel, qui a jeté les bases du partenariat et l'a défini tout en le structurant dans l'architecture des Nations unies de lutte contre le terrorisme, le crime transnational et la pauvreté ». Le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines a rappelé que dans ce cadre les pays du champ « ont eu collectivement des pourparlers très constructifs et très utiles avec certains de nos partenaires », notamment les Etats-Unis d'Amérique, à Washington (novembre 2011) et l'Union européenne à Bruxelles (décembre 2011). Le représentant du gouvernement a estimé aussi que le groupe de travail sur le Sahel, co-présidé par l'Algérie et le Canada, « a montré toute sa pertinence au regard, notamment, de l'actualité et des événements qui ont cours dans cette région, singulièrement la situation au Mali marquée par l'instabilité politique, le recul d'acquis démocratiques, les menaces à l'intégrité territoriale du pays, la perte de contrôle de l'Etat d'une partie de son territoire avec les conséquences prévisibles sur l'accroissement des activités des groupes terroristes et du crime transnational organisé ». Il a, dans ce contexte, rappelé les efforts « considérables » consentis par l'Algérie pour « mobiliser les Etats de la région autour d'une volonté politique partagée et de mécanismes de coopération politique, sécuritaire et de développement pour combattre le terrorisme, le crime transnational et la pauvreté ». Selon lui,
« ces efforts collectifs, structurés autour d'une stratégie régionale commune ont commencé à donner des résultats très encourageants, contrariés malheureusement par les événements qui ont eu lieu au Mali ». Sur la situation au Mali, le ministre délégué a rappelé la position de l'Algérie qui plaide pour
« la promotion d'une solution politique grâce à un dialogue entre le gouvernement et les rebelles du Nord qui prenne en charge les revendications légitimes de ces populations, et la lutte contre le terrorisme et le crime organisé », outre « le nécessaire parachèvement du processus de retour à l'ordre constitutionnel, avec la consolidation d'institutions fortes, consensuelles et légitimes, l'exercice par l'Etat malien de ses prérogatives sur tout son territoire, en passant par la préservation de l'intégrité territoriale et de la souveraineté du Mali ». Les travaux de la réunion ministérielle du Forum global de lutte contre le terrorisme se poursuivent à huis clos jeudi à Istanbul. La secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, qui copréside la réunion du Forum avec le ministre des Affaires étrangères de Turquie, Ahmet Davutoglu, a réaffirmé à l'ouverture du forum l'importance de cette rencontre pour lutter efficacement contre le terrorisme, qui demeure une « menace réelle » en dépit des « résultats positifs » relevés dans certains pays touchés de plein fouet par le phénomène. Elle a plaidé en faveur d'un déploiement des efforts de tous les pays pour faire face à ce fléau dans le cadre d'un partenariat global, comme le FGCT (regroupant une trentaine de pays, dont l'Algérie), initié par les Etats-Unis.
L'UA se tourne vers l'Onu
Tandis que l'Algérie plaide pour une « la promotion d'une solution politique grâce à un dialogue entre le gouvernement et les rebelles du Nord qui prenne en charge les revendications légitimes de ces populations, et la lutte contre le terrorisme et le crime organisé », le Groupe de soutien et de suivi sur le Mali, créé par l'UA, œuvre lui à « la mobilisation rapide d'un appui adéquat des Nations unies », qui passerait par « une requête formelle » de l'UA fixant le « mandat précis » d'une opération militaire destinée à rétablir l'intégrité territoriale du Mali. Selon le document final de ce Groupe, réuni jeudi soir à Abidjan, des responsables des Nations unies, de l'UA et de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao), l'Union africaine (UA) vont saisir l'Onu pour obtenir son appui à une intervention militaire dans le nord du Mali, contrôlé depuis plus de deux mois par des groupes armés. Le recours de l'UA au Conseil de sécurité de l'Onu « va ouvrir la voie au déploiement d'une force internationale dans le nord du Mali », contrôlé par les rebelles touaregs et des groupes armés, a-t-on indiqué. Les participants ont jugé nécessaire de « mobiliser tous les moyens appropriés, y compris militaires », pour aider l'Etat malien à reprendre cette région
« dans les plus brefs délais possibles » et
« combattre les groupes terroristes et criminels » qui y sévissent. Le chef de l'Etat béninois et président en exercice de l'UA, Thomas Boni Yayi, avait lancé le 30 mai l'idée d'une saisine du Conseil de sécurité de l'Onu en vue de la création d'une « force » africaine d'intervention au Mali. Pour rappel, l'Union africaine a décidé, à la demande de l'organisation ouest-africaine (Cédéao), de transférer prochainement le dossier de la crise malienne au Conseil de sécurité de l'Onu. Mis sur pied par l'UA, le Groupe de soutien et de suivi sur le Mali est une structure rassemblant les pays africains directement concernés par la crise au Mali et les partenaires au développement. Il est à rappeler également que le rebelles touaregs du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) ainsi que des groupes armés, dont certains affiliés à Al Qaïda ont profité du coup d'Etat commis le 22 mars dernier au Mali contre le président Amadou Toumani Touré (ATT), pour prendre le contrôle du nord du pays. Au Nord, la « fusion » entre le MNLA et Ançar Eddine bat de l'aile. Selon des médias, des rebelles touaregs et des islamistes se sont affrontés dans la nuit de jeudi à vendredi près de Kidal, une ville du Nord du Mali. Des combattants de la rébellion touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) et du groupe islamiste Ançar Dine « se sont affrontés » dans la nuit en périphérie de Kidal, a indiqué à l'agence de presse, par téléphone un fonctionnaire de la ville, évoquant des tirs nourris d'armes automatiques. C'est la première fois qu'est rapporté un affrontement direct entre ces groupes depuis plus de deux mois que l'immense région Nord est contrôlée par le MNLA et surtout Ançar Dine et son allié jihadiste d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). Des combats sur fond tribal qui ne s'arrêteront pas de sitôt, rendant plus
« complexe » la recherche d'une « solution politique ». Tout indique que le passage par « une force étrangère » pour
« libérer » le nord du Mali de l'emprise du MNLA et des groupes armés est un « mal » nécessaire, si ce n'est la question des otages (7 diplomates algériens et d'autres occidentaux retenus par le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), (MUJOA) au Mali).


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