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Peine capitale pour l'horrible bru (2e partie et fin)
Meurtre
Publié dans Le Midi Libre le 13 - 06 - 2012

Résumé : Quinze jours après son mariage, Ratiba (23 ans) commence à créer des problèmes à sa belle-mère.
Résumé : Quinze jours après son mariage, Ratiba (23 ans) commence à créer des problèmes à sa belle-mère.
Le lendemain, Brahim se rendit à son travail sans adresser le moindre regard à sa mère, parce qu'il était convaincu qu'elle voulait déstabiliser sa vie conjugale. Pour lui, il n'y avait pas le moindre doute sur les mauvaises intentions de sa mère que seule la jalousie avait pu lui dicter.
Quand Ratiba se fut levée, elle aussi avait décidé de bouder sa belle-mère. Les deux femmes s'étaient croisées plus de vingt fois dans le couloir du F4 sans qu'elles ne se disent quoi que ce soit. A la fin, Keltoum, n'y tenant plus, rompit le mur de glace.
- Qu'est-ce que je t'ai fait, ma fille ? Pourquoi me boudes-tu ?
- Ne m'adresse pas la parole ! répondit la bru. J'en ai marre de vivre avec des fous et des mouchards !
- Des fous et des mouchards ? Non, ma fille, nous ne sommes ni des fous ni des mouchards. Mais reconnais que tu es dans le tort. Tu ne laves ni la vaisselle ni le linge de cette maison et tu veux que je me taise ?
- Tu as gagné, vieille femme de l'Enfer. Je m'acquitterai des tâches que l'on me confie dans cette maison mais désormais, je ferai ce que je veux.
- Tu as le droit de faire ce que tu veux, ma fille mais dans les limites de ce qui t'est permis. Par exemple, tu n'as pas le droit de me traiter de «vieille femme de l'Enfer». Je suis quand même la mère de ton époux.
Ratiba n'avait pas entendu ces derniers mots ; elle était déjà sortie de la cuisine pour rentrer dans sa chambre d'où elle ne ressortit qu'au bout d'un quart-d'heure vêtue d'un jogging qui lui moulait tout le corps.
Sa belle-mère s'était juré de ne lui adresser la parole que si elle consentait à lui demander de lui pardonner son insolence. Mais la tenue indécente qu'elle venait d'enfiler l'avait mise hors d'elle et l'avait incitée à déroger à la promesse qu'elle s'était faite. Elle toisa sa belle-fille et lui lança d'une voix irritée :
- C'est quoi cette tenue ya benti ? Elle est impudique... Tu n'as pas peur que ton beau-père te voie ?
- Il n'a qu'à ne pas regarder dans ma direction... Et puis de toutes les manières, je vais sortir...
- Quoi ? Tu vas sortir dans cette
tenue ?
- Oui... Je vais juste chez la voisine d'en dessous. Elle se sent seule quand son mari et ses enfants ne sont pas à la
maison.
- Mais pas dans cette tenue... Imagine que tu croises des gens dans la cage d'escaliers ! Qu'est-ce qu'ils penseront de toi ? Et puis, cette voisine est une femme à problèmes...
- C'est toi qui es une femme à problèmes, vieille femme de l'Enfer !
Ce disant, Ratiba ouvrit la porte et s'en alla.
Quand Brahim fut revenu, sa mère s'approcha de lui avec la ferme intention de lui faire part du comportement indigne de son épouse mais comme celui-ci semblait toujours la bouder, elle se ravisa, se contentant juste de lui demander si la journée n'avait pas été trop pénible pour lui.
- Merci, mère... la journée s'est très bien passée, Dieu merci. Je croyais que tu allais encore inventer quelque grossier mensonge au sujet de Ratiba.
La malheureuse mère pâlit, baissa les yeux et tourna les talons pour aller couver sa tristesse à la cuisine où elle se mit à éplucher des oignons.
Ainsi, quand son vieil époux la trouverait avec des yeux larmoyants, il n'accuserait pas sa belle-fille de lui avoir causé du chagrin. Encouragée par la passivité de sa belle-mère qui n'aimait pas les histoires, le comportement de Ratiba, au fil des mois, devint de plus en plus exécrable. Maintenant, elle ne se contentait plus de descendre chez sa voisine d'en-dessous. Elle rendait visite à toutes les voisines de l'immeuble ainsi qu'à celles des immeubles alentour. Ses amies se comptaient par dizaines.
Plus d'une fois, il lui était arrivé de se rendre en ville avec des voisines à la moralité plus que douteuse. Et bien sûr, Keltoum n'osait pas parler de tout cela à son fils. Pourquoi ? Peut-être parce qu'elle était convaincue que sa bru, qui était d'une malice satanique, s'arrangerait toujours pour retourner l'accusation contre elle.
Et puis, survint ce jour fatidique, après trois mois de mariage où Ratiba s'était mise à hurler dans la cage d'escaliers pour solliciter l'aide des voisins. Ceux-ci accoururent, lui demandèrent ce qu'elle avait et en guise de réponse, elle pointa un doigt à l'intérieur de la maison sans pouvoir parler en raison de sa crise de larmes. Ils y entrèrent et ils trouvèrent Keltoum, sa belle-mère, baignant dans une mare de sang au milieu de la cuisine.
Quand elle put parler, elle expliqua qu'elle était sortie pour acheter un paquet de café et qu'à son retour, elle avait trouvé sa belle-mère affalée sur le sol, se vidant de son sang et agonisant, «victime de voleurs probablement», avait-elle pris soin de préciser.
Mais à la suite d'une longue investigation, les enquêteurs finirent par la soupçonner du meurtre et l'accuser.
Au cours de l'audience qui avait eu lieu récemment à la Cour d'Alger, le père de Brahim raconta que sa belle-fille avait fait subir le martyre à sa défunte épouse. «Une fois, elle l'a même giflée mais elle n'a pas osé en parler à notre fils...».
Brahim, à son tour, reconnut que plus d'une fois c'était sa mère qui faisait des concessions à son épouse alors que normalement c'était le contraire qui devait se produire. «Elle m'a aveuglée au point où j'en voulais à ma mère alors qu'il suffisait d'ouvrir bien les yeux pour réaliser qu'elle était un ange et que le monstre c'était mon épouse.»
Des voisins témoignèrent aussi contre Ratiba pour dire qu'elle était la personnification même de la méchanceté et qu'ils ne comprenaient pas pourquoi Brahim ne s'était pas séparé d'elle.
Deux voisines avaient même déclaré avoir été volées par Ratiba à qui elles avaient l'habitude d'ouvrir la porte de leur maison.
En plus de ces témoignages accablants, la police avait trouvé les empreintes digitales de Ratiba sur la moitié d'une bouteille de limonade et un couteau de cuisine.
Ce qui s'était passé était très clair selon la cour : à la suite d'une dispute, Ratiba avait frappé sa belle-mère avec une bouteille de limonade vide. Ayant pris conscience de la gravité de son geste, elle décida de la tuer pour l'empêcher de parler. Elle prit alors un couteau qu'elle lui planta 26 fois en différents endroits du corps.
Puis avant d'aller ameuter le quartier et faire croire que sa belle-mère avait été tuée par des voleurs, elle prit soin d'enlever ses vêtements tachés de sang et d‘enfiler d'autres.
Mais comme elle n‘avait pas eu le temps de se débarrasser des vêtements compromettants, elle les fourra dans un sac en plastique qu'elle dissimula dans la salle de bains derrière la machine à laver. Mais ledit sac en plastique avait été découvert par les enquêteurs qui en firent une des nombreuses preuves de la culpabilité de la jeune épouse.
Cette dernière persista à clamer son innocence sans, toutefois, convaincre personne.
La peine capitale a été requise contre elle.
Le lendemain, Brahim se rendit à son travail sans adresser le moindre regard à sa mère, parce qu'il était convaincu qu'elle voulait déstabiliser sa vie conjugale. Pour lui, il n'y avait pas le moindre doute sur les mauvaises intentions de sa mère que seule la jalousie avait pu lui dicter.
Quand Ratiba se fut levée, elle aussi avait décidé de bouder sa belle-mère. Les deux femmes s'étaient croisées plus de vingt fois dans le couloir du F4 sans qu'elles ne se disent quoi que ce soit. A la fin, Keltoum, n'y tenant plus, rompit le mur de glace.
- Qu'est-ce que je t'ai fait, ma fille ? Pourquoi me boudes-tu ?
- Ne m'adresse pas la parole ! répondit la bru. J'en ai marre de vivre avec des fous et des mouchards !
- Des fous et des mouchards ? Non, ma fille, nous ne sommes ni des fous ni des mouchards. Mais reconnais que tu es dans le tort. Tu ne laves ni la vaisselle ni le linge de cette maison et tu veux que je me taise ?
- Tu as gagné, vieille femme de l'Enfer. Je m'acquitterai des tâches que l'on me confie dans cette maison mais désormais, je ferai ce que je veux.
- Tu as le droit de faire ce que tu veux, ma fille mais dans les limites de ce qui t'est permis. Par exemple, tu n'as pas le droit de me traiter de «vieille femme de l'Enfer». Je suis quand même la mère de ton époux.
Ratiba n'avait pas entendu ces derniers mots ; elle était déjà sortie de la cuisine pour rentrer dans sa chambre d'où elle ne ressortit qu'au bout d'un quart-d'heure vêtue d'un jogging qui lui moulait tout le corps.
Sa belle-mère s'était juré de ne lui adresser la parole que si elle consentait à lui demander de lui pardonner son insolence. Mais la tenue indécente qu'elle venait d'enfiler l'avait mise hors d'elle et l'avait incitée à déroger à la promesse qu'elle s'était faite. Elle toisa sa belle-fille et lui lança d'une voix irritée :
- C'est quoi cette tenue ya benti ? Elle est impudique... Tu n'as pas peur que ton beau-père te voie ?
- Il n'a qu'à ne pas regarder dans ma direction... Et puis de toutes les manières, je vais sortir...
- Quoi ? Tu vas sortir dans cette
tenue ?
- Oui... Je vais juste chez la voisine d'en dessous. Elle se sent seule quand son mari et ses enfants ne sont pas à la
maison.
- Mais pas dans cette tenue... Imagine que tu croises des gens dans la cage d'escaliers ! Qu'est-ce qu'ils penseront de toi ? Et puis, cette voisine est une femme à problèmes...
- C'est toi qui es une femme à problèmes, vieille femme de l'Enfer !
Ce disant, Ratiba ouvrit la porte et s'en alla.
Quand Brahim fut revenu, sa mère s'approcha de lui avec la ferme intention de lui faire part du comportement indigne de son épouse mais comme celui-ci semblait toujours la bouder, elle se ravisa, se contentant juste de lui demander si la journée n'avait pas été trop pénible pour lui.
- Merci, mère... la journée s'est très bien passée, Dieu merci. Je croyais que tu allais encore inventer quelque grossier mensonge au sujet de Ratiba.
La malheureuse mère pâlit, baissa les yeux et tourna les talons pour aller couver sa tristesse à la cuisine où elle se mit à éplucher des oignons.
Ainsi, quand son vieil époux la trouverait avec des yeux larmoyants, il n'accuserait pas sa belle-fille de lui avoir causé du chagrin. Encouragée par la passivité de sa belle-mère qui n'aimait pas les histoires, le comportement de Ratiba, au fil des mois, devint de plus en plus exécrable. Maintenant, elle ne se contentait plus de descendre chez sa voisine d'en-dessous. Elle rendait visite à toutes les voisines de l'immeuble ainsi qu'à celles des immeubles alentour. Ses amies se comptaient par dizaines.
Plus d'une fois, il lui était arrivé de se rendre en ville avec des voisines à la moralité plus que douteuse. Et bien sûr, Keltoum n'osait pas parler de tout cela à son fils. Pourquoi ? Peut-être parce qu'elle était convaincue que sa bru, qui était d'une malice satanique, s'arrangerait toujours pour retourner l'accusation contre elle.
Et puis, survint ce jour fatidique, après trois mois de mariage où Ratiba s'était mise à hurler dans la cage d'escaliers pour solliciter l'aide des voisins. Ceux-ci accoururent, lui demandèrent ce qu'elle avait et en guise de réponse, elle pointa un doigt à l'intérieur de la maison sans pouvoir parler en raison de sa crise de larmes. Ils y entrèrent et ils trouvèrent Keltoum, sa belle-mère, baignant dans une mare de sang au milieu de la cuisine.
Quand elle put parler, elle expliqua qu'elle était sortie pour acheter un paquet de café et qu'à son retour, elle avait trouvé sa belle-mère affalée sur le sol, se vidant de son sang et agonisant, «victime de voleurs probablement», avait-elle pris soin de préciser.
Mais à la suite d'une longue investigation, les enquêteurs finirent par la soupçonner du meurtre et l'accuser.
Au cours de l'audience qui avait eu lieu récemment à la Cour d'Alger, le père de Brahim raconta que sa belle-fille avait fait subir le martyre à sa défunte épouse. «Une fois, elle l'a même giflée mais elle n'a pas osé en parler à notre fils...».
Brahim, à son tour, reconnut que plus d'une fois c'était sa mère qui faisait des concessions à son épouse alors que normalement c'était le contraire qui devait se produire. «Elle m'a aveuglée au point où j'en voulais à ma mère alors qu'il suffisait d'ouvrir bien les yeux pour réaliser qu'elle était un ange et que le monstre c'était mon épouse.»
Des voisins témoignèrent aussi contre Ratiba pour dire qu'elle était la personnification même de la méchanceté et qu'ils ne comprenaient pas pourquoi Brahim ne s'était pas séparé d'elle.
Deux voisines avaient même déclaré avoir été volées par Ratiba à qui elles avaient l'habitude d'ouvrir la porte de leur maison.
En plus de ces témoignages accablants, la police avait trouvé les empreintes digitales de Ratiba sur la moitié d'une bouteille de limonade et un couteau de cuisine.
Ce qui s'était passé était très clair selon la cour : à la suite d'une dispute, Ratiba avait frappé sa belle-mère avec une bouteille de limonade vide. Ayant pris conscience de la gravité de son geste, elle décida de la tuer pour l'empêcher de parler. Elle prit alors un couteau qu'elle lui planta 26 fois en différents endroits du corps.
Puis avant d'aller ameuter le quartier et faire croire que sa belle-mère avait été tuée par des voleurs, elle prit soin d'enlever ses vêtements tachés de sang et d‘enfiler d'autres.
Mais comme elle n‘avait pas eu le temps de se débarrasser des vêtements compromettants, elle les fourra dans un sac en plastique qu'elle dissimula dans la salle de bains derrière la machine à laver. Mais ledit sac en plastique avait été découvert par les enquêteurs qui en firent une des nombreuses preuves de la culpabilité de la jeune épouse.
Cette dernière persista à clamer son innocence sans, toutefois, convaincre personne.
La peine capitale a été requise contre elle.


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