Un groupe de jeunes bénévoles activant dans plusieurs domaines au sein de l'association Nass El Khir ont décidé de «toiletter» le jardin public du chef-lieu de daïra de Redjas à Mila en collaboration avec d'autres jeunes gens venus de Ferdjioua et de Chelghoum Laïd. Un groupe de jeunes bénévoles activant dans plusieurs domaines au sein de l'association Nass El Khir ont décidé de «toiletter» le jardin public du chef-lieu de daïra de Redjas à Mila en collaboration avec d'autres jeunes gens venus de Ferdjioua et de Chelghoum Laïd. Même les services de la commune ont mis le pied à l'étrier mobilisant des engins et des travailleurs pour le désherbage et le drainage des eaux stagnantes. Cette action salutaire a permis de sauvegarder le patrimoine sylvicole local qui compte plusieurs essences rares. Le jardin public de Redjas est considéré comme un site écologique remarquable par la richesse des essences qu'il abrite dans ce chef-lieu de daïra qui dispose également d'autres sites naturels et touristiques importants, rapporte l'APS. Selon le président de l'assemblée populaire communale de Rejdas, Abdelhamid Kimouche, la commune a réservé d'importantes sommes pour aménager les espaces verts dans cette ville qui a gardé le charme du passé, avec sa vieille horloge qui continue de donner l'heure, invariablement. Le responsable de l'association Nass el Kheir de Redjas a fait savoir qu'un appel a été lancé sur Facebook pour mobiliser la jeunesse en faveur de cette initiative qui sera suivie par le nettoyage du cimetière des chouhada, ainsi que certaines cités d'habitation, cette dernière opération devant donner lieu au concours du plus beau quartier de la commune. Selon divers historiens, la ville de Redjas a été fondée en 1885. Elle était par le passé rattachée à la tribu des Zouagha dont les terres ont été séquestrées avant l'installation du centre de colonisation de Redjas qui était tenu par Maurice Faure, l'un des plus gros colons de l'Est algérien. Redjas était le chef-lieu de la commune mixte de Zouagha. Après l'Indépendance, elle a été rattachée la commune d'Oued N'dja, chef-lieu de daïra depuis 1987. La wilaya de Mila enregistre durant la période estivale l'organisation de nombreuses campagnes de nettoyage et d'entretien de l'environnement, en particulier à Chelghoum Laïd, au sud de Mila, et sur l'axe routier de la RN 5 reliant Constantine à Alger. Même les services de la commune ont mis le pied à l'étrier mobilisant des engins et des travailleurs pour le désherbage et le drainage des eaux stagnantes. Cette action salutaire a permis de sauvegarder le patrimoine sylvicole local qui compte plusieurs essences rares. Le jardin public de Redjas est considéré comme un site écologique remarquable par la richesse des essences qu'il abrite dans ce chef-lieu de daïra qui dispose également d'autres sites naturels et touristiques importants, rapporte l'APS. Selon le président de l'assemblée populaire communale de Rejdas, Abdelhamid Kimouche, la commune a réservé d'importantes sommes pour aménager les espaces verts dans cette ville qui a gardé le charme du passé, avec sa vieille horloge qui continue de donner l'heure, invariablement. Le responsable de l'association Nass el Kheir de Redjas a fait savoir qu'un appel a été lancé sur Facebook pour mobiliser la jeunesse en faveur de cette initiative qui sera suivie par le nettoyage du cimetière des chouhada, ainsi que certaines cités d'habitation, cette dernière opération devant donner lieu au concours du plus beau quartier de la commune. Selon divers historiens, la ville de Redjas a été fondée en 1885. Elle était par le passé rattachée à la tribu des Zouagha dont les terres ont été séquestrées avant l'installation du centre de colonisation de Redjas qui était tenu par Maurice Faure, l'un des plus gros colons de l'Est algérien. Redjas était le chef-lieu de la commune mixte de Zouagha. Après l'Indépendance, elle a été rattachée la commune d'Oued N'dja, chef-lieu de daïra depuis 1987. La wilaya de Mila enregistre durant la période estivale l'organisation de nombreuses campagnes de nettoyage et d'entretien de l'environnement, en particulier à Chelghoum Laïd, au sud de Mila, et sur l'axe routier de la RN 5 reliant Constantine à Alger.
