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Des œuvres d'art en vannerie signées par des inadaptés mentaux
Tizi-Ouzou
Publié dans Le Midi Libre le 30 - 07 - 2012

Tisser de l'osier pour créer des objets de vannerie est un métier qui exige beaucoup de patience et d'attention. Une patience dont font preuve des inadaptés mentaux de la wilaya de Tizi-Ouzou, qui ont appris à fabriquer de véritables œuvres d'art avec ce matériau.
Tisser de l'osier pour créer des objets de vannerie est un métier qui exige beaucoup de patience et d'attention. Une patience dont font preuve des inadaptés mentaux de la wilaya de Tizi-Ouzou, qui ont appris à fabriquer de véritables œuvres d'art avec ce matériau.
Des tabourets, des corbeilles de fruits ou à pain, des veilleuses et autres objets de décoration sont patiemment tissés par de petites mains d'handicapés qui "affichent un intérêt et un plaisir à apprendre ce métier artisanal", affirme Mme Houria Antitene, fondatrice et vice-présidente de l'Association des parentes
d'enfants inadaptés mentaux (APEIM) de Tizi-Ouzou.
L'Association encadre et prend en charge les enfants inadaptés mentaux non scolarisés qui apprennent le métier de vannier, a-t-elle souligné à cet égard.
Créée en 1994, l'Association a pensé qu'apprendre aux inadaptés mentaux un métier "contribuerait à leur insertion professionnelle, avoir une petite rentrée financière et renforcer leur confiance en soi en se rendant utile",
a expliqué Mme Antitene.
Pour concrétiser ce projet, l'APEIM n'a pas attendu qu'une subvention lui soit accordée, mais elle a tout simplement fait appel au dispositif de l'Agence nationale de gestion du micro-crédit (ANGEM) pour l'obtention d'un crédit pour l'achat de la matière première nécessaire pour cette activité artisanale.
La première vente des objets, dont des tabourets tissés et des corbeilles à fruits ou à pain, fabriqués par les handicapés, a permis de rembourser une partie du crédit et à acheter de la matière première, a-t-elle ajouté.
La commercialisation des objets fabriqués par ces vanniers se fait, notamment, lors des différents salons de l'artisanat où l'APEIM dispose d'un stand.
Les objets exposés n'ont rien à envier à ceux confectionnés par des artisans affirmés, même si parfois quelques irrégularités de tissage de l'osier sont visibles. "Mais cela leur donne un charme et une note d'originalité", a estimé Mme Antitene, qui a souligné que lorsque les visiteurs sont informés que ces objet sont l'œuvre d'inadaptés mentaux, "ils n'hésitent pas à mettre la main à la poche pour en acheter".
Même des enfants inadaptés mentaux âgés d'à peine cinq ans participent à ce projet en fabriquant des bijoux de fantaisie et autres objets
de décoration, tels des tableaux, des coffres, des fleurs, etc.
L'APEIM, dont le siège se trouve au niveau du lotissement Salhi, prend en charge 75 enfants, dont les plus jeunes sont âgés de 04 ans, souffrant de trisomie, d'infirmité motrice cérébrale et de déficience mentale associée à des troubles
du comportement.
Leur encadrement est assuré par 8 éducatrices spécialisées, un psychologue et un orthophoniste.
Pour une meilleure prise en charge des enfants, la Direction de l'éducation a affecté à cette association 5 salles de classes au niveau de l'école primaire Zemirli-Akli, toujours au lotissement Salhi.
APSTisser de l'osier pour créer des objets de vannerie est un métier qui exige beaucoup de patience et d'attention. Une patience dont font preuve des inadaptés mentaux de la wilaya de Tizi-Ouzou, qui ont appris à fabriquer de véritables œuvres d'art avec ce matériau.
Des tabourets, des corbeilles de fruits ou à pain, des veilleuses et autres objets de décoration sont patiemment tissés par de petites mains d'handicapés qui "affichent un intérêt et un plaisir à apprendre ce métier artisanal", affirme Mme Houria Antitene, fondatrice et vice-présidente de l'Association des parentes
d'enfants inadaptés mentaux (APEIM) de Tizi-Ouzou.
L'Association encadre et prend en charge les enfants inadaptés mentaux non scolarisés qui apprennent le métier de vannier, a-t-elle souligné à cet égard.
Créée en 1994, l'Association a pensé qu'apprendre aux inadaptés mentaux un métier "contribuerait à leur insertion professionnelle, avoir une petite rentrée financière et renforcer leur confiance en soi en se rendant utile",
a expliqué Mme Antitene.
Pour concrétiser ce projet, l'APEIM n'a pas attendu qu'une subvention lui soit accordée, mais elle a tout simplement fait appel au dispositif de l'Agence nationale de gestion du micro-crédit (ANGEM) pour l'obtention d'un crédit pour l'achat de la matière première nécessaire pour cette activité artisanale.
La première vente des objets, dont des tabourets tissés et des corbeilles à fruits ou à pain, fabriqués par les handicapés, a permis de rembourser une partie du crédit et à acheter de la matière première, a-t-elle ajouté.
La commercialisation des objets fabriqués par ces vanniers se fait, notamment, lors des différents salons de l'artisanat où l'APEIM dispose d'un stand.
Les objets exposés n'ont rien à envier à ceux confectionnés par des artisans affirmés, même si parfois quelques irrégularités de tissage de l'osier sont visibles. "Mais cela leur donne un charme et une note d'originalité", a estimé Mme Antitene, qui a souligné que lorsque les visiteurs sont informés que ces objet sont l'œuvre d'inadaptés mentaux, "ils n'hésitent pas à mettre la main à la poche pour en acheter".
Même des enfants inadaptés mentaux âgés d'à peine cinq ans participent à ce projet en fabriquant des bijoux de fantaisie et autres objets
de décoration, tels des tableaux, des coffres, des fleurs, etc.
L'APEIM, dont le siège se trouve au niveau du lotissement Salhi, prend en charge 75 enfants, dont les plus jeunes sont âgés de 04 ans, souffrant de trisomie, d'infirmité motrice cérébrale et de déficience mentale associée à des troubles
du comportement.
Leur encadrement est assuré par 8 éducatrices spécialisées, un psychologue et un orthophoniste.
Pour une meilleure prise en charge des enfants, la Direction de l'éducation a affecté à cette association 5 salles de classes au niveau de l'école primaire Zemirli-Akli, toujours au lotissement Salhi.
Des tabourets, des corbeilles de fruits ou à pain, des veilleuses et autres objets de décoration sont patiemment tissés par de petites mains d'handicapés qui "affichent un intérêt et un plaisir à apprendre ce métier artisanal", affirme Mme Houria Antitene, fondatrice et vice-présidente de l'Association des parentes
d'enfants inadaptés mentaux (APEIM) de Tizi-Ouzou.
L'Association encadre et prend en charge les enfants inadaptés mentaux non scolarisés qui apprennent le métier de vannier, a-t-elle souligné à cet égard.
Créée en 1994, l'Association a pensé qu'apprendre aux inadaptés mentaux un métier "contribuerait à leur insertion professionnelle, avoir une petite rentrée financière et renforcer leur confiance en soi en se rendant utile",
a expliqué Mme Antitene.
Pour concrétiser ce projet, l'APEIM n'a pas attendu qu'une subvention lui soit accordée, mais elle a tout simplement fait appel au dispositif de l'Agence nationale de gestion du micro-crédit (ANGEM) pour l'obtention d'un crédit pour l'achat de la matière première nécessaire pour cette activité artisanale.
La première vente des objets, dont des tabourets tissés et des corbeilles à fruits ou à pain, fabriqués par les handicapés, a permis de rembourser une partie du crédit et à acheter de la matière première, a-t-elle ajouté.
La commercialisation des objets fabriqués par ces vanniers se fait, notamment, lors des différents salons de l'artisanat où l'APEIM dispose d'un stand.
Les objets exposés n'ont rien à envier à ceux confectionnés par des artisans affirmés, même si parfois quelques irrégularités de tissage de l'osier sont visibles. "Mais cela leur donne un charme et une note d'originalité", a estimé Mme Antitene, qui a souligné que lorsque les visiteurs sont informés que ces objet sont l'œuvre d'inadaptés mentaux, "ils n'hésitent pas à mettre la main à la poche pour en acheter".
Même des enfants inadaptés mentaux âgés d'à peine cinq ans participent à ce projet en fabriquant des bijoux de fantaisie et autres objets
de décoration, tels des tableaux, des coffres, des fleurs, etc.
L'APEIM, dont le siège se trouve au niveau du lotissement Salhi, prend en charge 75 enfants, dont les plus jeunes sont âgés de 04 ans, souffrant de trisomie, d'infirmité motrice cérébrale et de déficience mentale associée à des troubles
du comportement.
Leur encadrement est assuré par 8 éducatrices spécialisées, un psychologue et un orthophoniste.
Pour une meilleure prise en charge des enfants, la Direction de l'éducation a affecté à cette association 5 salles de classes au niveau de l'école primaire Zemirli-Akli, toujours au lotissement Salhi.
APSTisser de l'osier pour créer des objets de vannerie est un métier qui exige beaucoup de patience et d'attention. Une patience dont font preuve des inadaptés mentaux de la wilaya de Tizi-Ouzou, qui ont appris à fabriquer de véritables œuvres d'art avec ce matériau.
Des tabourets, des corbeilles de fruits ou à pain, des veilleuses et autres objets de décoration sont patiemment tissés par de petites mains d'handicapés qui "affichent un intérêt et un plaisir à apprendre ce métier artisanal", affirme Mme Houria Antitene, fondatrice et vice-présidente de l'Association des parentes
d'enfants inadaptés mentaux (APEIM) de Tizi-Ouzou.
L'Association encadre et prend en charge les enfants inadaptés mentaux non scolarisés qui apprennent le métier de vannier, a-t-elle souligné à cet égard.
Créée en 1994, l'Association a pensé qu'apprendre aux inadaptés mentaux un métier "contribuerait à leur insertion professionnelle, avoir une petite rentrée financière et renforcer leur confiance en soi en se rendant utile",
a expliqué Mme Antitene.
Pour concrétiser ce projet, l'APEIM n'a pas attendu qu'une subvention lui soit accordée, mais elle a tout simplement fait appel au dispositif de l'Agence nationale de gestion du micro-crédit (ANGEM) pour l'obtention d'un crédit pour l'achat de la matière première nécessaire pour cette activité artisanale.
La première vente des objets, dont des tabourets tissés et des corbeilles à fruits ou à pain, fabriqués par les handicapés, a permis de rembourser une partie du crédit et à acheter de la matière première, a-t-elle ajouté.
La commercialisation des objets fabriqués par ces vanniers se fait, notamment, lors des différents salons de l'artisanat où l'APEIM dispose d'un stand.
Les objets exposés n'ont rien à envier à ceux confectionnés par des artisans affirmés, même si parfois quelques irrégularités de tissage de l'osier sont visibles. "Mais cela leur donne un charme et une note d'originalité", a estimé Mme Antitene, qui a souligné que lorsque les visiteurs sont informés que ces objet sont l'œuvre d'inadaptés mentaux, "ils n'hésitent pas à mettre la main à la poche pour en acheter".
Même des enfants inadaptés mentaux âgés d'à peine cinq ans participent à ce projet en fabriquant des bijoux de fantaisie et autres objets
de décoration, tels des tableaux, des coffres, des fleurs, etc.
L'APEIM, dont le siège se trouve au niveau du lotissement Salhi, prend en charge 75 enfants, dont les plus jeunes sont âgés de 04 ans, souffrant de trisomie, d'infirmité motrice cérébrale et de déficience mentale associée à des troubles
du comportement.
Leur encadrement est assuré par 8 éducatrices spécialisées, un psychologue et un orthophoniste.
Pour une meilleure prise en charge des enfants, la Direction de l'éducation a affecté à cette association 5 salles de classes au niveau de l'école primaire Zemirli-Akli, toujours au lotissement Salhi.


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