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Invité de l'émission de Frédéric Haziza sur RadioJ Giesbert déverse sa haine contre Zohran Mamdani, et accuse les Juifs qui ont voté pour lui de « dégénérescence mentale »
Invité de l'émission de Frédéric Haziza sur Radio J, Franz-Olivier Giesbert a une nouvelle fois sombré dans la haine et l'obsession islamophobe. Fidèle à ses outrances coutumières, il a affirmé que l'élection de Zohran Mamdani, jeune élu d'origine ougando-indienne et musulman pratiquant, serait la preuve de « l'influence des Frères musulmans en Occident » et de « la dégénérescence mentale d'une grande partie de la population, dont les 38 % de Juifs qui ont voté pour lui » Ce genre de propos n'est pas seulement infâme, il est ignoble. Franz-Olivier Giesbert ne débat pas : il accuse, il diffame, il essentialise. Dans son univers mental saturé de fantasmes, toute personne musulmane devient automatiquement suspecte, dissimulatrice, terroriste en puissance. Croire, prier, exprimer sa foi — c'est déjà, pour lui, « pratiquer la taqiya », c'est-à-dire mentir pour mieux infiltrer la société. C'est la mécanique bien connue du racisme d'Etat et de plateau : on ne juge plus des faits, on prête des intentions, on condamne sans preuve. Il ne s'agit plus que de salir, de caricaturer, d'entretenir la peur. Et tout cela, tranquillement, sur une antenne nationale, sans la moindre contradiction. Ce déferlement de haine religieuse, prononcé dans le confort feutré d'un studio de Radio J, est indigne du débat public. Giesbert n'exprime pas une opinion : il distille du poison.n