Le commissariat du Festival international du théâtre d'Alger (Fita) a publié récemment les travaux du séminaire scientifique organisé à Béjaïa du 25 au 27 octobre 2011, en marge de la 3e édition du Fita. L'ouvrage (280 pages) intitulé "Expériences théâtrales: parcours et empreintes" comprend notamment les interventions et les événements importants du séminaire animé par des dramaturges et des critiques algériens et arabes ainsi que les activités qui ont marqué l'édition de Bejaia qui s'est tenue du 20 au 30 octobre dernier. L'introduction signée Abdennacer Khelaf, responsable de cette publication évoque la polémique engagée entre les praticiens du 4e art et ses théoriciens autour du théâtre arabe. Sous le titre "Expériences théâtrales nationales et arabes", le livre propose des interventions ayant abordé différentes expériences du théâtre arabe. Un intervenant jordanien, Mansour Amayra, a évoqué notamment l'expérience de Abdelkader Alloula dans le théâtre narratif et de Taoufik Hakim et Youcef Idris dans le théâtre populaire. Dan son évocation du "goual" de Alloula, Lakhdar Mansouri de l'université d'Oran, considère que "ce dernier a réussi toutes ses oeuvres car il a su profiter de ses expériences dans la consécration d'un nouveau théâtre qui puise sa force du patrimoine et des arts populaires que l'Algérie a eu à Algérie". Selon lui, le Goual dans le théâtre de Alloula est un personnage central porteur de nombreuses valeurs inspirées du patrimoine populaire du Maghreb arabe. L'ouvrage présente en conclusion les recommandations du séminaire axées notamment sur l'importance de la recherche scientifique dans le théâtre arabe et la nécessité d'encourager la coopération entre les jeunes chercheurs en matière d'études théâtrales. Le commissariat du Festival international du théâtre d'Alger (Fita) a publié récemment les travaux du séminaire scientifique organisé à Béjaïa du 25 au 27 octobre 2011, en marge de la 3e édition du Fita. L'ouvrage (280 pages) intitulé "Expériences théâtrales: parcours et empreintes" comprend notamment les interventions et les événements importants du séminaire animé par des dramaturges et des critiques algériens et arabes ainsi que les activités qui ont marqué l'édition de Bejaia qui s'est tenue du 20 au 30 octobre dernier. L'introduction signée Abdennacer Khelaf, responsable de cette publication évoque la polémique engagée entre les praticiens du 4e art et ses théoriciens autour du théâtre arabe. Sous le titre "Expériences théâtrales nationales et arabes", le livre propose des interventions ayant abordé différentes expériences du théâtre arabe. Un intervenant jordanien, Mansour Amayra, a évoqué notamment l'expérience de Abdelkader Alloula dans le théâtre narratif et de Taoufik Hakim et Youcef Idris dans le théâtre populaire. Dan son évocation du "goual" de Alloula, Lakhdar Mansouri de l'université d'Oran, considère que "ce dernier a réussi toutes ses oeuvres car il a su profiter de ses expériences dans la consécration d'un nouveau théâtre qui puise sa force du patrimoine et des arts populaires que l'Algérie a eu à Algérie". Selon lui, le Goual dans le théâtre de Alloula est un personnage central porteur de nombreuses valeurs inspirées du patrimoine populaire du Maghreb arabe. L'ouvrage présente en conclusion les recommandations du séminaire axées notamment sur l'importance de la recherche scientifique dans le théâtre arabe et la nécessité d'encourager la coopération entre les jeunes chercheurs en matière d'études théâtrales.
