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Samouraï, zunpakutô, scramasaxe... ces nouvelles armes de la mort
Lutte anti-criminalité à travers le pays
Publié dans Le Midi Libre le 30 - 09 - 2012

Les unités de recherche criminelle, relevant de la DGSN, ont depuis l'année 2010 et jusqu'au premier semestre de l'année 2012, interpellé 9.000 dealers tous en possession d'armes blanches. Ces opérations coup-de-poing ont permis, également, la récupération de 9.159 armes blanches, parmi elles - le plus inquiétant - des armes de nouvelles générations. Très dangereuses ces dagues, sabres... circulent de plus en plus dans les villes algériennes.
Dague à pousser, samouraï ou encore zunpakutô (épées trancheuses d'âmes), scramasaxe, une arme blanche franque (coutelas semi-long), il s'agit là de noms d'armes blanches de nouvelles générations circulant dans les milieux de la criminalité. Devant cette menace, les policiers de la recherche criminelle ont intensifié leurs opérations. Des efforts qui ont payé, puisqu'en l'espace de deux ans et demi, 9.159 armes blanches ont pu être récupérées. Plus de 9.000 individus, des étudiants parfois, des chômeurs surtout, et le plus inquiétant même des mineurs ont été arrêtés en possession de ces terribles armes. La DGSN, à ce sujet, vient encore une fois de tirer la sonnette d'alarme particulièrement à la lumière des saisies opérées. En effet, nonobstant les 9.159 armes saisies, combien d'autres armes restent-elles en circulation ? Au prix de 1.000 à 5.000 dinars l'unité, selon la marque et « l'efficacité », le sabre a investi les cités et les quartiers chauds à travers le pays. L'ensemble du territoire s'est transformé en « paradis » pour les armes blanches. D'où viennent-elles ? comment arrivent-elles dans ces lieux mal famés ? En 2010 2.918 affaires liées au port d'arme blanche ont été traitées contre 3.552 en 2011, soit une augmentation de 634 affaires, tandis que 2.689 autres affaires similaires ont été traitées rien que pour le premier semestre de l'année en cours. Les opérations de police ont ciblé, hormis les cités et quartiers chauds, les marchés informels là où il est aussi enregistré une forte circulation d'armes blanches. Les policiers y ont récupéré plusieurs centaines de ces nouvelles armes. Un constat alarmant ayant poussé les policiers à intensifier leurs opérations au grand soulagement des citoyens.
Les unités de recherche criminelle, relevant de la DGSN, ont depuis l'année 2010 et jusqu'au premier semestre de l'année 2012, interpellé 9.000 dealers tous en possession d'armes blanches. Ces opérations coup-de-poing ont permis, également, la récupération de 9.159 armes blanches, parmi elles - le plus inquiétant - des armes de nouvelles générations. Très dangereuses ces dagues, sabres... circulent de plus en plus dans les villes algériennes.
Dague à pousser, samouraï ou encore zunpakutô (épées trancheuses d'âmes), scramasaxe, une arme blanche franque (coutelas semi-long), il s'agit là de noms d'armes blanches de nouvelles générations circulant dans les milieux de la criminalité. Devant cette menace, les policiers de la recherche criminelle ont intensifié leurs opérations. Des efforts qui ont payé, puisqu'en l'espace de deux ans et demi, 9.159 armes blanches ont pu être récupérées. Plus de 9.000 individus, des étudiants parfois, des chômeurs surtout, et le plus inquiétant même des mineurs ont été arrêtés en possession de ces terribles armes. La DGSN, à ce sujet, vient encore une fois de tirer la sonnette d'alarme particulièrement à la lumière des saisies opérées. En effet, nonobstant les 9.159 armes saisies, combien d'autres armes restent-elles en circulation ? Au prix de 1.000 à 5.000 dinars l'unité, selon la marque et « l'efficacité », le sabre a investi les cités et les quartiers chauds à travers le pays. L'ensemble du territoire s'est transformé en « paradis » pour les armes blanches. D'où viennent-elles ? comment arrivent-elles dans ces lieux mal famés ? En 2010 2.918 affaires liées au port d'arme blanche ont été traitées contre 3.552 en 2011, soit une augmentation de 634 affaires, tandis que 2.689 autres affaires similaires ont été traitées rien que pour le premier semestre de l'année en cours. Les opérations de police ont ciblé, hormis les cités et quartiers chauds, les marchés informels là où il est aussi enregistré une forte circulation d'armes blanches. Les policiers y ont récupéré plusieurs centaines de ces nouvelles armes. Un constat alarmant ayant poussé les policiers à intensifier leurs opérations au grand soulagement des citoyens.


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