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Pathologies psychiatriques ou perversion ?
Meurtres d'enfants
Publié dans Le Midi Libre le 30 - 12 - 2012

Il ne s'agit plus de trafic d'organes où de kidnapping contre demande de rançons. Ce sont là des actes de pervertion et de pathologies purement psychiatriques !
Il ne s'agit plus de trafic d'organes où de kidnapping contre demande de rançons. Ce sont là des actes de pervertion et de pathologies purement psychiatriques !
Yasser, Chaïma, Soundous... ce sont les prénoms d'enfants devenus une tragique référence pour les parents qui vivent dans l'angoisse depuis l'annonce de ces horribles crimes toujours vivaces dans les esprits. La situation est autant dramatique que préoccupante pour les parents qui ne savent comment protéger leurs enfants. En effet, comment dire à son enfant qu'un garçon de son âge a été assassiné à deux pas de chez lui ? Comment lui expliquer que cet enfant n'est pas le seul à avoir été tué, que dans un autre quartier un autre enfant a été kidnappé et que ses parents sont sans nouvelles de lui?
Dans ce sens Mina, heureuse mamy de deux petites-filles depuis déjà 6 ans, préfère être franche avec les fillettes, du moins avec l'aînée l'autre étant encore bébé : « Moi je préfère leur dire la vérité afin de les mettre en garde. Je vais bien sûr choisir mes mots, d'ailleurs on leur a dit pour Chaïma. On leur a expliqué que la petite fille qui a ouvert la porte à un étranger a été kidnappée, et que le vilain monsieur lui a fait du mal et qu'on l'a retrouvée morte. Cependant l'idée de la mort est une notion abstraite dans leurs petites têtes. C'est terrible et cela me désole d'essayer de leur faire comprendre que la vie n'a rien à voir avec les contes de fée de leurs livres et qu'il y a des prédateurs qui rodent un peu partout. En tant que grand-mère j'aimerai tant que ni leurs yeux ni leurs oreilles ne soient confrontées à la laideur et qu'il y ait toujours du rêve dans leurs petites têtes, mais j'ai également la mission de les protéger... C'est vraiment terrible ne ne pas entendre les rires et les cris des enfants dans les rues en ces vacances d'hiver, mais qui peut en vouloir aux parents d'être méfiants ?, nous dit-elle.
« Je vais prévenir mes petits-enfants et leur faire prendre conscience du danger de la mort. Je vais leur apprendre à se méfier des étrangers, et n'accepter rien qui vienne d'eux, et surtout ne jamais les suivre où que ce soit, car ça se termine toujours mal. Néanmoins reste toujours le problème des proches, comme les voisins, sœurs, frères, etc. Là c'est un problème épineux car c'est un danger inattendu et inconcevable pour une société musulmane où les familles sont pudiques et unies. Mais là aussi il faut remonter à la source pour pouvoir déterminer les causes de ce phénomène » nous déclare Noureddine un papy intellectuel qui s'inquiète quant à l'avenir de cette société. Mohammed, un citoyen scandalisé par ce qui se passe nous déclare « Le feuilleton de la barbarie contre les enfants ne semble pas avoir de fin, c'est horrible ce qui se passe dans notre pays, tous nos enfants sont en danger, les fondements de notre société sont ébranlés, c'est l'alerte générale, que les pouvoirs publics s'en mêlent pour arrêter ce génocide d'enfants victimes d'un laxisme flagrant. Bientôt, on va assister à des droits de criminels ! Encore une fillette de 6 ans, froidement étranglée cette fois-ci. On pleure toujours Chaïma, les larmes ne sont pas encore séchées... et rebelote ! »
Les enfants pas assez protégés
Les enfants tués ou kidnappés occupent les unes de tous les quotidiens nationaux depuis le début de ce mois de décembre. Jeudi 27 décembre à Draria, à une dizaine de kilomètres au sud-ouest d'Alger, une fillette de six ans a été retrouvée morte assassinée. Portée disparue depuis plusieurs heures, Soundous est morte par strangulation dans la maison familiale. Selon les indications fournies par la Gendarmerie nationale, le meurtrier présumé n'est autre que la femme de son oncle.
Ce drame intervient quelques jours après un autre crime qui a bouleversé l'opinion publique. Vendredi dernier, Chaïma, 8 ans, est kidnappée devant la porte de son domicile avant d'être retrouvée sans vie dans un cimetière à Mahelma. Son assassin présumé serait un jeune voisin à peine âgé de 20 ans, toujours en fuite et activement recherché par les services de sécurité. La fillette a subi des violences affreuses avant de rendre l'âme. La médiatisation de ce drame a provoqué l'indignation dans le pays. C'est toute la question des kidnappings d'enfants qui refait surface.
Durcir l'arsenal juridique !
Pourquoi donc ces crimes contre les enfants ? Il convient de rappeler que le cas du petit Yasser, disparu il y a presque une année, et qui depuis n'a pas donné signe de vie a ému tout le pays. Mais comment rester insensible face à un tel drame qui ne fait que s'amplifier. Si l'Etat, certes, ne peut pas mettre un policier derrière chacun enfant, néanmoins des décisions fermes doivent être prises. A commencer par le durcissement des peines, tel que suggéré par Farouk Ksentini, président de la Commission nationale consultative pour la protection et la promotion des droits de l'homme. « Le pays a fortement besoin d'une loi sur la récidive des criminels », insistait Ksentini.
Une chose est sûre, aucune organisation des services de sécurité ne se met en place à temps et de manière efficace pour épargner de telles atrocités à nos enfants. En cas de disparition d'enfant « il faut réagir dans le quart d'heure qui suit et déclencher immédiatement le plan de recherche. Il faut mettre en place un périmètre de sécurité et un dispositif de communication. On ne peut pas attendre une heure. Cette organisation manque encore et quand elle se met en place, elle se fait tardivement », déplore Mustapha Khiati, président de la Forem. Rihab nous dira concernant l'assassinat de la petite Chaïma « J'ai entendu dire à la radio qu'il ne faut pas appliquer la peine capitale, et qu' il faut torturer le criminel par une prison à vie. Nous sommes des musulmans le Coran est clair et net sur cela la loi divine dit que le tueur doit être tué et peut-être que ces criminels seront moins tentés de tuer ou de violer en sachant que c'est la peine de mort qui les attends ».
Lila, bouleversé par la mort atroce de la petite Chaïma s'exprime : « Je n'arrive pas à oublier son visage angélique, je contemple sa photo tous les jours depuis cette soirée du 20 décembre, toute la société devrait pleurer sur sa tombe et lui demander pardon de ne pas avoir su la protéger... puis l'accompagner à sa dernière demeure trop tôt ! Chaïma a été assassinée tout simplement parce qu'elle est coupable d'être une enfant, c'est son seul tort, sa seule faute ! Les adultes, ceux qui ont gelé la peine de mort en 1993, par leur acte inconsidéré favorisent le terrain aux criminels et aux pédophiles qui peuvent agir sans être inquiétés pourtant la peine de mort n'est pas abolie du code pénal ! ». Aujourd'hui, les enlèvements d'enfants en plus de leur caractère abominable reviennent de manière trop récurrente pour ne pas soulever des questionnements.
Sont-ce là des actes ou des comportements de personnes souffrant de pathologies psychiatriques ? Toujours est-il que ces actes interpellent les pouvoirs publics qui ont en charge la sécurité du citoyen, et par là même celle des enfants bien plus vulnérables ! Si d'aucuns appellent au durcissement de l'arsenal juridique, dont l'application de la peine capitale à l'encontre de ses criminels, une politique beaucoup plus globale doit être menée ! Cela commence, par exemple, par la mise en place d'un service d'Etat dédié à la protection infantile et l'accompagnement des familles ! Les systèmes d'alerte ont prouvé leur efficacité dans d'autres pays soumis à de tels événements.
Aussi des campagnes d'informations soutenues sont nécessaires pour un travail de prévention.
Il reste à espérer que ces différents échos feront mouche et que l'on ne sera plus condamné à pleurer nos enfants.
Yasser, Chaïma, Soundous... ce sont les prénoms d'enfants devenus une tragique référence pour les parents qui vivent dans l'angoisse depuis l'annonce de ces horribles crimes toujours vivaces dans les esprits. La situation est autant dramatique que préoccupante pour les parents qui ne savent comment protéger leurs enfants. En effet, comment dire à son enfant qu'un garçon de son âge a été assassiné à deux pas de chez lui ? Comment lui expliquer que cet enfant n'est pas le seul à avoir été tué, que dans un autre quartier un autre enfant a été kidnappé et que ses parents sont sans nouvelles de lui?
Dans ce sens Mina, heureuse mamy de deux petites-filles depuis déjà 6 ans, préfère être franche avec les fillettes, du moins avec l'aînée l'autre étant encore bébé : « Moi je préfère leur dire la vérité afin de les mettre en garde. Je vais bien sûr choisir mes mots, d'ailleurs on leur a dit pour Chaïma. On leur a expliqué que la petite fille qui a ouvert la porte à un étranger a été kidnappée, et que le vilain monsieur lui a fait du mal et qu'on l'a retrouvée morte. Cependant l'idée de la mort est une notion abstraite dans leurs petites têtes. C'est terrible et cela me désole d'essayer de leur faire comprendre que la vie n'a rien à voir avec les contes de fée de leurs livres et qu'il y a des prédateurs qui rodent un peu partout. En tant que grand-mère j'aimerai tant que ni leurs yeux ni leurs oreilles ne soient confrontées à la laideur et qu'il y ait toujours du rêve dans leurs petites têtes, mais j'ai également la mission de les protéger... C'est vraiment terrible ne ne pas entendre les rires et les cris des enfants dans les rues en ces vacances d'hiver, mais qui peut en vouloir aux parents d'être méfiants ?, nous dit-elle.
« Je vais prévenir mes petits-enfants et leur faire prendre conscience du danger de la mort. Je vais leur apprendre à se méfier des étrangers, et n'accepter rien qui vienne d'eux, et surtout ne jamais les suivre où que ce soit, car ça se termine toujours mal. Néanmoins reste toujours le problème des proches, comme les voisins, sœurs, frères, etc. Là c'est un problème épineux car c'est un danger inattendu et inconcevable pour une société musulmane où les familles sont pudiques et unies. Mais là aussi il faut remonter à la source pour pouvoir déterminer les causes de ce phénomène » nous déclare Noureddine un papy intellectuel qui s'inquiète quant à l'avenir de cette société. Mohammed, un citoyen scandalisé par ce qui se passe nous déclare « Le feuilleton de la barbarie contre les enfants ne semble pas avoir de fin, c'est horrible ce qui se passe dans notre pays, tous nos enfants sont en danger, les fondements de notre société sont ébranlés, c'est l'alerte générale, que les pouvoirs publics s'en mêlent pour arrêter ce génocide d'enfants victimes d'un laxisme flagrant. Bientôt, on va assister à des droits de criminels ! Encore une fillette de 6 ans, froidement étranglée cette fois-ci. On pleure toujours Chaïma, les larmes ne sont pas encore séchées... et rebelote ! »
Les enfants pas assez protégés
Les enfants tués ou kidnappés occupent les unes de tous les quotidiens nationaux depuis le début de ce mois de décembre. Jeudi 27 décembre à Draria, à une dizaine de kilomètres au sud-ouest d'Alger, une fillette de six ans a été retrouvée morte assassinée. Portée disparue depuis plusieurs heures, Soundous est morte par strangulation dans la maison familiale. Selon les indications fournies par la Gendarmerie nationale, le meurtrier présumé n'est autre que la femme de son oncle.
Ce drame intervient quelques jours après un autre crime qui a bouleversé l'opinion publique. Vendredi dernier, Chaïma, 8 ans, est kidnappée devant la porte de son domicile avant d'être retrouvée sans vie dans un cimetière à Mahelma. Son assassin présumé serait un jeune voisin à peine âgé de 20 ans, toujours en fuite et activement recherché par les services de sécurité. La fillette a subi des violences affreuses avant de rendre l'âme. La médiatisation de ce drame a provoqué l'indignation dans le pays. C'est toute la question des kidnappings d'enfants qui refait surface.
Durcir l'arsenal juridique !
Pourquoi donc ces crimes contre les enfants ? Il convient de rappeler que le cas du petit Yasser, disparu il y a presque une année, et qui depuis n'a pas donné signe de vie a ému tout le pays. Mais comment rester insensible face à un tel drame qui ne fait que s'amplifier. Si l'Etat, certes, ne peut pas mettre un policier derrière chacun enfant, néanmoins des décisions fermes doivent être prises. A commencer par le durcissement des peines, tel que suggéré par Farouk Ksentini, président de la Commission nationale consultative pour la protection et la promotion des droits de l'homme. « Le pays a fortement besoin d'une loi sur la récidive des criminels », insistait Ksentini.
Une chose est sûre, aucune organisation des services de sécurité ne se met en place à temps et de manière efficace pour épargner de telles atrocités à nos enfants. En cas de disparition d'enfant « il faut réagir dans le quart d'heure qui suit et déclencher immédiatement le plan de recherche. Il faut mettre en place un périmètre de sécurité et un dispositif de communication. On ne peut pas attendre une heure. Cette organisation manque encore et quand elle se met en place, elle se fait tardivement », déplore Mustapha Khiati, président de la Forem. Rihab nous dira concernant l'assassinat de la petite Chaïma « J'ai entendu dire à la radio qu'il ne faut pas appliquer la peine capitale, et qu' il faut torturer le criminel par une prison à vie. Nous sommes des musulmans le Coran est clair et net sur cela la loi divine dit que le tueur doit être tué et peut-être que ces criminels seront moins tentés de tuer ou de violer en sachant que c'est la peine de mort qui les attends ».
Lila, bouleversé par la mort atroce de la petite Chaïma s'exprime : « Je n'arrive pas à oublier son visage angélique, je contemple sa photo tous les jours depuis cette soirée du 20 décembre, toute la société devrait pleurer sur sa tombe et lui demander pardon de ne pas avoir su la protéger... puis l'accompagner à sa dernière demeure trop tôt ! Chaïma a été assassinée tout simplement parce qu'elle est coupable d'être une enfant, c'est son seul tort, sa seule faute ! Les adultes, ceux qui ont gelé la peine de mort en 1993, par leur acte inconsidéré favorisent le terrain aux criminels et aux pédophiles qui peuvent agir sans être inquiétés pourtant la peine de mort n'est pas abolie du code pénal ! ». Aujourd'hui, les enlèvements d'enfants en plus de leur caractère abominable reviennent de manière trop récurrente pour ne pas soulever des questionnements.
Sont-ce là des actes ou des comportements de personnes souffrant de pathologies psychiatriques ? Toujours est-il que ces actes interpellent les pouvoirs publics qui ont en charge la sécurité du citoyen, et par là même celle des enfants bien plus vulnérables ! Si d'aucuns appellent au durcissement de l'arsenal juridique, dont l'application de la peine capitale à l'encontre de ses criminels, une politique beaucoup plus globale doit être menée ! Cela commence, par exemple, par la mise en place d'un service d'Etat dédié à la protection infantile et l'accompagnement des familles ! Les systèmes d'alerte ont prouvé leur efficacité dans d'autres pays soumis à de tels événements.
Aussi des campagnes d'informations soutenues sont nécessaires pour un travail de prévention.
Il reste à espérer que ces différents échos feront mouche et que l'on ne sera plus condamné à pleurer nos enfants.


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