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Sensibilisation sur le dépistage précoce
CNAS, Journées portes ouvertes sur le cancer du sein
Publié dans Le Midi Libre le 16 - 01 - 2013

Du 15 au 23 du mois en cours la Cnas organise, à Alger, des journées portes ouvertes sur l'opération nationale de dépistage précoce du cancer de sein, cela à travers l'ensemble de ses agences.
Du 15 au 23 du mois en cours la Cnas organise, à Alger, des journées portes ouvertes sur l'opération nationale de dépistage précoce du cancer de sein, cela à travers l'ensemble de ses agences.
La Cnas continue sa campagne de dépistage précoce du cancer des sein au profit des femmes assurées et les ayants droit. Cette campagne entre dans le cadre des réformes du secteur de la sécurité sociale, à l'instar de l'amélioration de la qualité des prestations, de la modernisation de la sécurité sociale. Pour cela des centres sont implantés au niveau de Jijel, Constantine, Maghnia et Laghouat, équipés en matériel de haute technologie : IRM, scanners, mammographies, échographe, panoramiques dentaires, échodopler, radiologie conventionnelle. Pour la campagne de dépistage du cancer du sein des guichets spécialisés ont été mis en place pour la prise de rendez-vous au niveau du siège de chaque agence CNAS 2013 sera donc l'année de la sensibilisation autour de la prévention contre le cancer du sein. Le programme est d'ailleurs déjà élaboré et comportera plusieurs activités destinées aux assurées sociales et les ayants droit d'assurés sociaux. Il s'agit de sensibiliser les femmes, notamment celles âgées de 40 ans et plus, quant à l'importance du dépistage précoce du cancer du sein. Le dépistage se fera gratuitement et il y aura même le remboursement des frais de transport pour les femmes obligées de se déplacer sur de longues distances. Le directeur de la Cnas d'Alger a informé que «l'opération de sensibilisation comporte la distribution de dépliants et d'affiches ainsi que la diffusion de spots sur les écrans se trouvant aux niveaux des centres de paiement».
Le docteur Melouka Slimane a expliqué, à l'occasion d'une conférence de presse, qu'un fichier national des assurées leur permet de d'adresser des convocations aux femmes concernées par le dépistage. «Depuis janvier 2010, l'opération a touché 6.000 femmes. Une femme sur deux vient de sa propre initiative. Pour les femmes de 40 ans et plus, l'opération de dépistage est effectuée gratuitement avec remboursement des frais de transport. Pour celles qui sont âgées de moins de 40 ans, il y a des frais à payer mais qui seront remboursés pour celles qui cotisent à la Sécurité sociale...» «Seules 8.000 femmes sont prises en charge sur les 28.000 malades nécessitant un traitement en radiothérapie», a encore une fois tiré la sonnette d'alarme, le professeur Kamel Bouzid, chef du service d'oncologie du CHU Mustapha Pacha. Ainsi 60% des femmes ne reçoivent pas ce type de traitement, faute de place dans un agenda tellement «serré» que les rendez-vous les plus proches sont obtenus pour le deuxième trimestre de l'année 2014. Pourtant, l'on sait que le facteur temps est l'un des alliés les plus précieux de la guérison. «Le cancer dépisté précocement peut être guéri à 100%. Mais lorsqu'il atteint les stades 3 et 4, le coût de son traitement est de 5 millions de dinars/an pour chaque malade. Trois malades sur cinq décèdent dans les 5 ans qui suivent», a-t-il ajouté.Le professeur Kamel Bouzid, a fait plusieurs déclarations afin de remuer les consciences des autorités quant à l'urgence d'une amélioration de la prise en charge des malades cancéreux. «Un tiers des Algériennes qui consultent pour une tumeur au sein quand la maladie est à un stade avancé décède au bout de quelques mois», avait averti dernièrement le chef service du centre Pierre et Marie Curie lors de la réunion organisée par l'Association médicale arabe de lutte contre le cancer (AMMAC) et la Société algérienne d'oncologie (SAOM) en précisant qu'environ 9.000 nouveaux cas sont découverts chaque année en Algérie. En dépit du progrès de la science, cette maladie continue de faire des ravages, selon le dernier chiffre donné par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière lors du congrès d'oncologie. Il était question de 44.000 nouveaux cas dont 9.000 cancers du sein. Ce ne sont pas les effets d'annonce qui ont manqué, les dotations en budget ou les «réformes». Il a même été récemment promis l'acquisition de matériels, dont plus d'une cinquantaine d'accélérateurs, ou encore la mise en service de 17 centres anti-cancer sur le territoire national. Annonces dont la concrétisation est plus que jamais attendue. Mais face à la faiblesse de la prise en charge, le professeur Bouzid propose quelques solutions. Un transfert à l'étranger par exemple. Il suggère ainsi des conventions avec des pays tels que la Turquie, le Maroc ou la Tunisie qui «sont en progrès» en la matière tant dans le secteur privé que public. «Le transfert de 20 000 malades est possible dans la mesure où 40 000 hadjis sont transportés chaque année», estime le Pr Bouzid .
Le Professeur M'hamed Afiane, Chef du service de radiothérapie au CPMC, en dépit de son emploi du temps chargé nous reçus et consacrés quelques minutes de son précieux temps précieux consacré entièrement au service de ses patients à propos desquels il nous dira : «Tous les patient doivent être soignés, on n'a pas à choisir et faire des priorités selon le stade de la maladie ou la gravité. C'est à partir des données de l'enquête nationale sur le cancer que l'on a constaté que le cancer du sein représente 25% du cancer en général. Pratiquement 16 % dans le cas homme femme confondus . Et c'est en augmentation par rapports à l'année précédente. Ce genre de maladie se traite par la chirurgie, la chimiothérapie et par la radiothérapie.» le Pr Afiane, qui est également président du comité national, affirme : « Il y a toujours un manque de moyens au niveau de la radiothérapie car 80 à 90% des malades du cancer du sein nécessitent une radiothérapie ». Pour rappel l'année passée sur les ondes de la Chaine 3 le spécialiste avait relevé que le service radiothérapie du CPMC tourne actuellement au "maximum" de ses capacités, précisant que le service fonctionne chaque jour de 6 h à 22 h. Notant que de nombreux équipements vétustes s'y trouvant ont été renouvelés, le Pr Afiane a fait savoir que 160 malades transitent quotidiennement par le service de radiothérapie du CPMC, ajoutant que 80 % des traitements offerts par ce centre sont curatifs. Il a toutefois reconnu que le service radiothérapie du CPMC, tel qu'il est conçu aujourd'hui, est "saturé" dans la mesure où, a-t-il dit, de nombreux malades s'y présentent et viennent souvent de régions lointaines de la capitale.
Selon lui, «plus de 20.000 cancéreux attendent de recevoir des soins de radiothérapie au niveau national.»A. N. est la fille de L. N. atteinte du cancer du sein. «Je suis vraiment dépassée par les événements et je ne sais pas quoi faire ? Ma mère s'est vue diagnostiquer un cancer du sein après une biopsie effectuée le 10 mai. L'opération s'est déroulée le 21 mai. Jusque-là, aucun souci. Nous avons plutôt bien géré la situation,Bref, après le prélèvement des glandes sentinelles, nous avons attendu les résultats mais plus le temps passait, plus l'état de ma mère s'améliorait, si bien qu'elle était redevenue comme avant, et que nous nous attendions tous à ce que le rendez-vous des résultats ne soit qu'une formalité, expliquant combien de séances de radiothérapie elle aurait. Mais, le 8 juin donc résultats... Et là, la grosse claque. Les ganglions sont touchés et le chirurgien a programmé directement une nouvelle opération pour lundi prochain ! Cette rapidité me rassure quant au sérieux de la prise en charge, mais m'inquiète beaucoup également, car ça fait penser à une situation d'urgence ! Je n'imagine même pas la suite des événements ! Croyez-moi c'est très dur d'avoir un proche atteint de cette maladie »
La Cnas continue sa campagne de dépistage précoce du cancer des sein au profit des femmes assurées et les ayants droit. Cette campagne entre dans le cadre des réformes du secteur de la sécurité sociale, à l'instar de l'amélioration de la qualité des prestations, de la modernisation de la sécurité sociale. Pour cela des centres sont implantés au niveau de Jijel, Constantine, Maghnia et Laghouat, équipés en matériel de haute technologie : IRM, scanners, mammographies, échographe, panoramiques dentaires, échodopler, radiologie conventionnelle. Pour la campagne de dépistage du cancer du sein des guichets spécialisés ont été mis en place pour la prise de rendez-vous au niveau du siège de chaque agence CNAS 2013 sera donc l'année de la sensibilisation autour de la prévention contre le cancer du sein. Le programme est d'ailleurs déjà élaboré et comportera plusieurs activités destinées aux assurées sociales et les ayants droit d'assurés sociaux. Il s'agit de sensibiliser les femmes, notamment celles âgées de 40 ans et plus, quant à l'importance du dépistage précoce du cancer du sein. Le dépistage se fera gratuitement et il y aura même le remboursement des frais de transport pour les femmes obligées de se déplacer sur de longues distances. Le directeur de la Cnas d'Alger a informé que «l'opération de sensibilisation comporte la distribution de dépliants et d'affiches ainsi que la diffusion de spots sur les écrans se trouvant aux niveaux des centres de paiement».
Le docteur Melouka Slimane a expliqué, à l'occasion d'une conférence de presse, qu'un fichier national des assurées leur permet de d'adresser des convocations aux femmes concernées par le dépistage. «Depuis janvier 2010, l'opération a touché 6.000 femmes. Une femme sur deux vient de sa propre initiative. Pour les femmes de 40 ans et plus, l'opération de dépistage est effectuée gratuitement avec remboursement des frais de transport. Pour celles qui sont âgées de moins de 40 ans, il y a des frais à payer mais qui seront remboursés pour celles qui cotisent à la Sécurité sociale...» «Seules 8.000 femmes sont prises en charge sur les 28.000 malades nécessitant un traitement en radiothérapie», a encore une fois tiré la sonnette d'alarme, le professeur Kamel Bouzid, chef du service d'oncologie du CHU Mustapha Pacha. Ainsi 60% des femmes ne reçoivent pas ce type de traitement, faute de place dans un agenda tellement «serré» que les rendez-vous les plus proches sont obtenus pour le deuxième trimestre de l'année 2014. Pourtant, l'on sait que le facteur temps est l'un des alliés les plus précieux de la guérison. «Le cancer dépisté précocement peut être guéri à 100%. Mais lorsqu'il atteint les stades 3 et 4, le coût de son traitement est de 5 millions de dinars/an pour chaque malade. Trois malades sur cinq décèdent dans les 5 ans qui suivent», a-t-il ajouté.Le professeur Kamel Bouzid, a fait plusieurs déclarations afin de remuer les consciences des autorités quant à l'urgence d'une amélioration de la prise en charge des malades cancéreux. «Un tiers des Algériennes qui consultent pour une tumeur au sein quand la maladie est à un stade avancé décède au bout de quelques mois», avait averti dernièrement le chef service du centre Pierre et Marie Curie lors de la réunion organisée par l'Association médicale arabe de lutte contre le cancer (AMMAC) et la Société algérienne d'oncologie (SAOM) en précisant qu'environ 9.000 nouveaux cas sont découverts chaque année en Algérie. En dépit du progrès de la science, cette maladie continue de faire des ravages, selon le dernier chiffre donné par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière lors du congrès d'oncologie. Il était question de 44.000 nouveaux cas dont 9.000 cancers du sein. Ce ne sont pas les effets d'annonce qui ont manqué, les dotations en budget ou les «réformes». Il a même été récemment promis l'acquisition de matériels, dont plus d'une cinquantaine d'accélérateurs, ou encore la mise en service de 17 centres anti-cancer sur le territoire national. Annonces dont la concrétisation est plus que jamais attendue. Mais face à la faiblesse de la prise en charge, le professeur Bouzid propose quelques solutions. Un transfert à l'étranger par exemple. Il suggère ainsi des conventions avec des pays tels que la Turquie, le Maroc ou la Tunisie qui «sont en progrès» en la matière tant dans le secteur privé que public. «Le transfert de 20 000 malades est possible dans la mesure où 40 000 hadjis sont transportés chaque année», estime le Pr Bouzid .
Le Professeur M'hamed Afiane, Chef du service de radiothérapie au CPMC, en dépit de son emploi du temps chargé nous reçus et consacrés quelques minutes de son précieux temps précieux consacré entièrement au service de ses patients à propos desquels il nous dira : «Tous les patient doivent être soignés, on n'a pas à choisir et faire des priorités selon le stade de la maladie ou la gravité. C'est à partir des données de l'enquête nationale sur le cancer que l'on a constaté que le cancer du sein représente 25% du cancer en général. Pratiquement 16 % dans le cas homme femme confondus . Et c'est en augmentation par rapports à l'année précédente. Ce genre de maladie se traite par la chirurgie, la chimiothérapie et par la radiothérapie.» le Pr Afiane, qui est également président du comité national, affirme : « Il y a toujours un manque de moyens au niveau de la radiothérapie car 80 à 90% des malades du cancer du sein nécessitent une radiothérapie ». Pour rappel l'année passée sur les ondes de la Chaine 3 le spécialiste avait relevé que le service radiothérapie du CPMC tourne actuellement au "maximum" de ses capacités, précisant que le service fonctionne chaque jour de 6 h à 22 h. Notant que de nombreux équipements vétustes s'y trouvant ont été renouvelés, le Pr Afiane a fait savoir que 160 malades transitent quotidiennement par le service de radiothérapie du CPMC, ajoutant que 80 % des traitements offerts par ce centre sont curatifs. Il a toutefois reconnu que le service radiothérapie du CPMC, tel qu'il est conçu aujourd'hui, est "saturé" dans la mesure où, a-t-il dit, de nombreux malades s'y présentent et viennent souvent de régions lointaines de la capitale.
Selon lui, «plus de 20.000 cancéreux attendent de recevoir des soins de radiothérapie au niveau national.»A. N. est la fille de L. N. atteinte du cancer du sein. «Je suis vraiment dépassée par les événements et je ne sais pas quoi faire ? Ma mère s'est vue diagnostiquer un cancer du sein après une biopsie effectuée le 10 mai. L'opération s'est déroulée le 21 mai. Jusque-là, aucun souci. Nous avons plutôt bien géré la situation,Bref, après le prélèvement des glandes sentinelles, nous avons attendu les résultats mais plus le temps passait, plus l'état de ma mère s'améliorait, si bien qu'elle était redevenue comme avant, et que nous nous attendions tous à ce que le rendez-vous des résultats ne soit qu'une formalité, expliquant combien de séances de radiothérapie elle aurait. Mais, le 8 juin donc résultats... Et là, la grosse claque. Les ganglions sont touchés et le chirurgien a programmé directement une nouvelle opération pour lundi prochain ! Cette rapidité me rassure quant au sérieux de la prise en charge, mais m'inquiète beaucoup également, car ça fait penser à une situation d'urgence ! Je n'imagine même pas la suite des événements ! Croyez-moi c'est très dur d'avoir un proche atteint de cette maladie »


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