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Bensalah défend l'utilité du Sénat
CLÔTURE DE LA SESSION D'AUTOMNE DU PARLEMENT
Publié dans Le Midi Libre le 04 - 02 - 2013


Le président du Conseil de la nation,
Abdelkader Bensalah, a plaidé en
faveur du maintien du Conseil de la
nation dans l'édifice institutionnel du
pays. Abdelkader Bensalah a en effet mis
en évidence le rôle joué par le sénat depuis
sa création en critiquant ceux qui considèrent
que la chambre haute du Parlement
est juste intervenue pour pallier une situation
politique conjoncturelle urgente. Le
président du Conseil de la nation, qui s'exprimait
lors de la séance de clôture de la
session d'automne, a ajouté que «les jours
et l'expérience vécus depuis sa création (le
sénat , qui est entré en fonction au mois de
janvier 1998, a été crée lors de la révision
constitutionnelle de 1996 NDLR ) démontre
les limites de cette thèse et la vision
étroite des tenants de cette thèse,(...)Le
Conseil de la nation a été effectivement
une institution constitutionnelle utile qui
a pleinement assumé son rôle. La mission
qu'il a assumée depuis la date de sa création
a aussi prouvé son utilité sur le plan
politique et législatif, ce qui a contribué à
la promotion de l'action parlementaire, à
l'exercice pluraliste et à l'équilibre institutionnel
et, partant, la stabilité des institutions
constitutionnelles, voire même la
stabilité du pays». Pour Bensalah, le
Conseil n'a pas voulu être une chambre
d'enregistrement comme il n'a pas voulu
aussi être un mécanisme de blocage.
D'aucuns se sont interrogés sur les motifs
de ces propos de Bensalah à ce moment
précis. Des propos qui ne semblent pas
être anodins puisque ils interviennent au
moment ou le pays s'apprête à réviser la
Constitution en vigueur e tous les regards
sont en effet braqués sur le président de la
République. Abdelaziz Bouteflika a déjà
annoncé son intention de procéder à la
révision de la loi fondamentale. Une révision
qui devrait intervenir dans le courant
de cette année. Il faut dire que depuis la
création du sénat, ce dernier n'a jamais eu
les faveurs de certains cercles politiques
qui sont allés jusqu'à demander son annulation
lors de la révision de la
Constitution. Une thèse qui ne semble
pas, cependant, faire l'unanimité et tout
porte à croire que le Conseil de la nation,
qui ne légifère pas et se contente juste de
dire oui ou non aux projets de lois qui lui
sont soumis après leur approbation par
l'APN, ne disparaîtra pas du paysage institutionnel
du pays à la faveur de la révision
constitutionnelle. Par ailleurs, Abdelkader
Bensalah, qui a dressé un bilan positif de
l'action du sénat lors de la session d'automne
du Parlement, n'a pas manqué de
revenir sur l'attaque terroriste du site
gazier de Tiguentourine, à In Amenas dans
la wilaya d'Illizi. Pour Bensalah, «cette
attaque terroriste est un acte de guerre qu
visait à tester les capacités de l'Algérie et
sa résistance face au terrorisme. Mais la
réponse ferme et rapide est venue du peuple
algérien ainsi que des forces armées et
des services de sécurité».
Le président de l'Assemblée populaire
nationale (APN), Mohamed Larbi Ould
Khelifa, a lui aussi évoqué cet acte terroriste.
« En évoquant notre Armée
nationale populaire, je voudrais réitérer, en
mon nom et au nom de mes collègues
députés, l'expression de notre fierté quant
au courage de notre armée et de nos services
de sécurité. Ils méritent toute l'estime
et le respect car ils ont réussi, dans ces
moments critiques, à mettre en échec l'attentat
criminel que le terrorisme transnational
a planifié et tenté de perpétrer sur le
site gazier d'In Amenas ». Il est à noter
que le président de l'APN, a, dans son discours
de clôture de la session d'automne de
l'institution qu'il préside, dressé lui aussi
un bilan positif de la session qui vient de
s'achever.
Le président du Conseil de la nation,
Abdelkader Bensalah, a plaidé en
faveur du maintien du Conseil de la
nation dans l'édifice institutionnel du
pays. Abdelkader Bensalah a en effet mis
en évidence le rôle joué par le sénat depuis
sa création en critiquant ceux qui considèrent
que la chambre haute du Parlement
est juste intervenue pour pallier une situation
politique conjoncturelle urgente. Le
président du Conseil de la nation, qui s'exprimait
lors de la séance de clôture de la
session d'automne, a ajouté que «les jours
et l'expérience vécus depuis sa création (le
sénat , qui est entré en fonction au mois de
janvier 1998, a été crée lors de la révision
constitutionnelle de 1996 NDLR ) démontre
les limites de cette thèse et la vision
étroite des tenants de cette thèse,(...)Le
Conseil de la nation a été effectivement
une institution constitutionnelle utile qui
a pleinement assumé son rôle. La mission
qu'il a assumée depuis la date de sa création
a aussi prouvé son utilité sur le plan
politique et législatif, ce qui a contribué à
la promotion de l'action parlementaire, à
l'exercice pluraliste et à l'équilibre institutionnel
et, partant, la stabilité des institutions
constitutionnelles, voire même la
stabilité du pays». Pour Bensalah, le
Conseil n'a pas voulu être une chambre
d'enregistrement comme il n'a pas voulu
aussi être un mécanisme de blocage.
D'aucuns se sont interrogés sur les motifs
de ces propos de Bensalah à ce moment
précis. Des propos qui ne semblent pas
être anodins puisque ils interviennent au
moment ou le pays s'apprête à réviser la
Constitution en vigueur e tous les regards
sont en effet braqués sur le président de la
République. Abdelaziz Bouteflika a déjà
annoncé son intention de procéder à la
révision de la loi fondamentale. Une révision
qui devrait intervenir dans le courant
de cette année. Il faut dire que depuis la
création du sénat, ce dernier n'a jamais eu
les faveurs de certains cercles politiques
qui sont allés jusqu'à demander son annulation
lors de la révision de la
Constitution. Une thèse qui ne semble
pas, cependant, faire l'unanimité et tout
porte à croire que le Conseil de la nation,
qui ne légifère pas et se contente juste de
dire oui ou non aux projets de lois qui lui
sont soumis après leur approbation par
l'APN, ne disparaîtra pas du paysage institutionnel
du pays à la faveur de la révision
constitutionnelle. Par ailleurs, Abdelkader
Bensalah, qui a dressé un bilan positif de
l'action du sénat lors de la session d'automne
du Parlement, n'a pas manqué de
revenir sur l'attaque terroriste du site
gazier de Tiguentourine, à In Amenas dans
la wilaya d'Illizi. Pour Bensalah, «cette
attaque terroriste est un acte de guerre qu
visait à tester les capacités de l'Algérie et
sa résistance face au terrorisme. Mais la
réponse ferme et rapide est venue du peuple
algérien ainsi que des forces armées et
des services de sécurité».
Le président de l'Assemblée populaire
nationale (APN), Mohamed Larbi Ould
Khelifa, a lui aussi évoqué cet acte terroriste.
« En évoquant notre Armée
nationale populaire, je voudrais réitérer, en
mon nom et au nom de mes collègues
députés, l'expression de notre fierté quant
au courage de notre armée et de nos services
de sécurité. Ils méritent toute l'estime
et le respect car ils ont réussi, dans ces
moments critiques, à mettre en échec l'attentat
criminel que le terrorisme transnational
a planifié et tenté de perpétrer sur le
site gazier d'In Amenas ». Il est à noter
que le président de l'APN, a, dans son discours
de clôture de la session d'automne de
l'institution qu'il préside, dressé lui aussi
un bilan positif de la session qui vient de
s'achever.


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