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"Le vent tourne en faveur de Bachar Al Assad"
Syrie, le New York Times l'a affirmé
Publié dans Le Midi Libre le 20 - 07 - 2013

Le vent est en train de ''tourner en faveur'' du président syrien Bachar Al Assad qui a renforcé sa position en Syrie face aux groupes armés, tandis que les Etats-Unis et les autres puissances occidentales, qui ont réclamé son départ, ''montrent de nouvelles réticences'' à livrer les armes à ces groupes, a affirmé le New York Times dans son édition du jeudi.
Le vent est en train de ''tourner en faveur'' du président syrien Bachar Al Assad qui a renforcé sa position en Syrie face aux groupes armés, tandis que les Etats-Unis et les autres puissances occidentales, qui ont réclamé son départ, ''montrent de nouvelles réticences'' à livrer les armes à ces groupes, a affirmé le New York Times dans son édition du jeudi.
La dynamique qui était favorable aux rebelles "s'est inversée'', selon le quotidien new yorkais qui relève qu'au cours des dernières semaines, les rebelles, qui ont commencé à reconnaître la nouvelle réalité, ont non seulement perdu du terrain sur le champ de bataille mais se sont également aliénés la population syrienne qu'ils disent vouloir libérer, alors que les puissances occidentales se montrent circonspects quant à la livraison des armes.
Bien que peu s'attendent à ce que M. Assad puisse réaffirmer son autorité sur l'ensemble de la Syrie, même ses plus farouches ennemis reconnaissent que sa position est plus forte qu'elle ne l'a été il y a quelques mois, note le journal américain.
Tout en observant que les groupes armés sont loin d'être unifiés, se tournant, parfois, les armes les uns contre les autres, le quotidien rapporte qu'environ 60% de la population syrienne vivent dans les zones contrôlées par le gouvernement, tandis que les rebelles contrôlent 60 à 70% du territoire du fait qu'ils sont plus présents dans les zones rurales moins peuplées.
Pour ce journal américain, tout au long de plus de deux années de combats, les prouesses militaires des deux côtés ont été fortement liées à la "fiabilité'' de leurs bailleurs de fonds internationaux respectifs.
A ce propos, il note que M. Assad a reçu un soutien militaire et financier continu de la Russie et de l'Iran, auquel s'ajoute l'apport des hommes du Hezbollah libanais rompus à la guérilla urbaine. Pour leur part, les nombreux groupes rebelles se rivalisaient pour des soutiens "irréguliers'' de l'Arabie saoudite, du Qatar et de bailleurs de fonds privés, qui accordent leur soutien selon "leurs propres intérêts idéologiques'', soutient New York Times.
Cette situation, explique-t-il, a exacerbé les tensions entre les groupes rebelles, à laquelle s'est greffée la montée des groupes affiliés d'Al Qaïda comme ceux du "Front Nousra'' et de "l'Etat islamique d'Irak et de la Syrie'' qui ont fait "éclater la cause syrienne", tandis que les combattants syriens considèrent que les djihadistes internationaux n'ont rejoint la bataille que pour servir leurs propres objectifs.
La dynamique qui était favorable aux rebelles "s'est inversée'', selon le quotidien new yorkais qui relève qu'au cours des dernières semaines, les rebelles, qui ont commencé à reconnaître la nouvelle réalité, ont non seulement perdu du terrain sur le champ de bataille mais se sont également aliénés la population syrienne qu'ils disent vouloir libérer, alors que les puissances occidentales se montrent circonspects quant à la livraison des armes.
Bien que peu s'attendent à ce que M. Assad puisse réaffirmer son autorité sur l'ensemble de la Syrie, même ses plus farouches ennemis reconnaissent que sa position est plus forte qu'elle ne l'a été il y a quelques mois, note le journal américain.
Tout en observant que les groupes armés sont loin d'être unifiés, se tournant, parfois, les armes les uns contre les autres, le quotidien rapporte qu'environ 60% de la population syrienne vivent dans les zones contrôlées par le gouvernement, tandis que les rebelles contrôlent 60 à 70% du territoire du fait qu'ils sont plus présents dans les zones rurales moins peuplées.
Pour ce journal américain, tout au long de plus de deux années de combats, les prouesses militaires des deux côtés ont été fortement liées à la "fiabilité'' de leurs bailleurs de fonds internationaux respectifs.
A ce propos, il note que M. Assad a reçu un soutien militaire et financier continu de la Russie et de l'Iran, auquel s'ajoute l'apport des hommes du Hezbollah libanais rompus à la guérilla urbaine. Pour leur part, les nombreux groupes rebelles se rivalisaient pour des soutiens "irréguliers'' de l'Arabie saoudite, du Qatar et de bailleurs de fonds privés, qui accordent leur soutien selon "leurs propres intérêts idéologiques'', soutient New York Times.
Cette situation, explique-t-il, a exacerbé les tensions entre les groupes rebelles, à laquelle s'est greffée la montée des groupes affiliés d'Al Qaïda comme ceux du "Front Nousra'' et de "l'Etat islamique d'Irak et de la Syrie'' qui ont fait "éclater la cause syrienne", tandis que les combattants syriens considèrent que les djihadistes internationaux n'ont rejoint la bataille que pour servir leurs propres objectifs.


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