Plus que quelques jours pour la fin des vacances. La rentrée sociale que d'aucuns prédisent «houleuse» est à quelques encablures. D'ailleurs, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en visite de travail et d'inspection, jeudi dernier, à Jijel l'a évoquée. Plus que quelques jours pour la fin des vacances. La rentrée sociale que d'aucuns prédisent «houleuse» est à quelques encablures. D'ailleurs, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en visite de travail et d'inspection, jeudi dernier, à Jijel l'a évoquée. Il y aura aussi la rentrée politique. Les partis politiques, du moins ceux qui ne sont pas sujets à des mouvements de dissidence, ont hiberné durant ce long «repos» forcé, du mois de Ramadhan et au congé annuel prolongé. Les autres à l'instar du FLN et du RND, majoritaires au Parlement tentent de remettre de l'ordre dans leurs rangs en prévision des échéances futures, dont l'élection présidentielle de 2014. Ces deux partis qui forment l'Alliance présidentielle sont dans le flou le plus total. L'Alliance présidentielle, créée pour soutenir le président de la République et son programme cessera-t-elle d'exister si le chef de l'Etat décide de ne pas postuler pour un quatrième mandat comme le prédisent de nombreux analystes politiques. Le FLN commence-t-il à voir le bout du tunnel. Il y a lieu de le croire ! Le retour du chef de l'Etat en Algérie y est-il pour quelque chose ? Il y a lieu de le croire aussi. Le président de la République qui reprend graduellement les affaires du pays en mains ne pourrait faire abstraction de la crise qui secoue le parti dont il est le président d'honneur et qui constitue le socle sur lequel se sont appuyés tout ses différents programmes socio-économiques. Un premier signe du début du dégel de la situation au sein du vieux parti. Une feuille de route est tracée. Abderrahmane Belayat n'est plus coordinateur du parti. Il a fini par faire une concession, lui qui s'est arcbouté à ce poste malgré les réserves de la majorité des membres du bureau politique. Il a jeté l'éponge et s'est rallié à la proposition émise par ses adversaires. Le FLN sera géré avec une direction collégiale. Autre concession de Belayat. Une actualisation de la liste des représentants du FLN au sein des instances de la Chambre basse du Parlement est à l'ordre du jour pour bientôt. Les deux points qui ont «pourri» l'atmosphère au sein du vieux parti durant de longs mois ont trouvé un semblant de solution. Certains membres du comité central font de la résistance. Il y a de penser qu'ils seront rappelés à l'ordre dans les prochains jours, autrement ils risquent «gros» s'ils persistent dans leur attitude. Au RND, les «redresseurs» continuent à s'agiter. Abdelkader Bensalah tient bon la barre. Secrétaire général par intérim depuis le départ de Ahmed Ouyahia, le président du Sénat est un habitué des arcanes de la politique. Réalisme, doigté et parfois de la fermeté quand les circonstances l'exigent, il a su par ces vertus à éviter que le RND ne sombre dans des crises sans fin qui risquaient de l'imploser. Il suit la feuille de route tracée pour amener le parti jusqu'au 4ème congrès prévu dans quelques mois. Il lui reste à «régler» le problème des coordinateurs de certaines wilayas qui sont contestés. Les autres partis, notamment les islamistes sont «occupés» par la crise en Egypte qui impacte leur activité. Ils manifestent leur «solidarité» et leur compassion avec les "Frères" égyptiens. Sur le plan interne, le gouvernement prépare «sérieusement» la rentrée sociale. La tripartie élargie qui est programmée au début du mois prochain va ratisser large sur le volet économique. Il s'agit de préparer l'économie nationale, notamment dans son volet exportation. Abdelmalek Sellal a parlé de «construction» de l'économie nationale pour sortir de la dépendance asphyxiante des hydrocarbures et pour affronter la mondialisation. Un vaste programme sur lequel Sellal s'est pleinement engagé. Il y aura aussi la rentrée politique. Les partis politiques, du moins ceux qui ne sont pas sujets à des mouvements de dissidence, ont hiberné durant ce long «repos» forcé, du mois de Ramadhan et au congé annuel prolongé. Les autres à l'instar du FLN et du RND, majoritaires au Parlement tentent de remettre de l'ordre dans leurs rangs en prévision des échéances futures, dont l'élection présidentielle de 2014. Ces deux partis qui forment l'Alliance présidentielle sont dans le flou le plus total. L'Alliance présidentielle, créée pour soutenir le président de la République et son programme cessera-t-elle d'exister si le chef de l'Etat décide de ne pas postuler pour un quatrième mandat comme le prédisent de nombreux analystes politiques. Le FLN commence-t-il à voir le bout du tunnel. Il y a lieu de le croire ! Le retour du chef de l'Etat en Algérie y est-il pour quelque chose ? Il y a lieu de le croire aussi. Le président de la République qui reprend graduellement les affaires du pays en mains ne pourrait faire abstraction de la crise qui secoue le parti dont il est le président d'honneur et qui constitue le socle sur lequel se sont appuyés tout ses différents programmes socio-économiques. Un premier signe du début du dégel de la situation au sein du vieux parti. Une feuille de route est tracée. Abderrahmane Belayat n'est plus coordinateur du parti. Il a fini par faire une concession, lui qui s'est arcbouté à ce poste malgré les réserves de la majorité des membres du bureau politique. Il a jeté l'éponge et s'est rallié à la proposition émise par ses adversaires. Le FLN sera géré avec une direction collégiale. Autre concession de Belayat. Une actualisation de la liste des représentants du FLN au sein des instances de la Chambre basse du Parlement est à l'ordre du jour pour bientôt. Les deux points qui ont «pourri» l'atmosphère au sein du vieux parti durant de longs mois ont trouvé un semblant de solution. Certains membres du comité central font de la résistance. Il y a de penser qu'ils seront rappelés à l'ordre dans les prochains jours, autrement ils risquent «gros» s'ils persistent dans leur attitude. Au RND, les «redresseurs» continuent à s'agiter. Abdelkader Bensalah tient bon la barre. Secrétaire général par intérim depuis le départ de Ahmed Ouyahia, le président du Sénat est un habitué des arcanes de la politique. Réalisme, doigté et parfois de la fermeté quand les circonstances l'exigent, il a su par ces vertus à éviter que le RND ne sombre dans des crises sans fin qui risquaient de l'imploser. Il suit la feuille de route tracée pour amener le parti jusqu'au 4ème congrès prévu dans quelques mois. Il lui reste à «régler» le problème des coordinateurs de certaines wilayas qui sont contestés. Les autres partis, notamment les islamistes sont «occupés» par la crise en Egypte qui impacte leur activité. Ils manifestent leur «solidarité» et leur compassion avec les "Frères" égyptiens. Sur le plan interne, le gouvernement prépare «sérieusement» la rentrée sociale. La tripartie élargie qui est programmée au début du mois prochain va ratisser large sur le volet économique. Il s'agit de préparer l'économie nationale, notamment dans son volet exportation. Abdelmalek Sellal a parlé de «construction» de l'économie nationale pour sortir de la dépendance asphyxiante des hydrocarbures et pour affronter la mondialisation. Un vaste programme sur lequel Sellal s'est pleinement engagé.