C'est devant un parterre de journalistes, que le commissaire du Festival international de théâtre de Bejaia, Omar Fetmouche, a donné une conférence en compagnie de son équipe dirigeante au Théâtre régional Malek-Bouguermouh de Béjaïa. C'est devant un parterre de journalistes, que le commissaire du Festival international de théâtre de Bejaia, Omar Fetmouche, a donné une conférence en compagnie de son équipe dirigeante au Théâtre régional Malek-Bouguermouh de Béjaïa. Et ce, pour présenter les grands axes de ce que va être l ́édition de cette année 2013, dont le coup d ́envoi sera donné le 29 octobre et prendra fin vers le 5 du mois de novembre. « Cette année, le commissariat a introduit des nouveautés et des arrangements à la mesure de l ́événement, tout en prenant en compte les lacunes et les manques de l ́édition précédente », a souligné le commissaire du festival. Autrement dit, il veut une organisation digne de ce nom, un travail de perfection. « Cette édition se veut, par son caractère international, un lieu de rencontre, d ́échange et de partage grâce à une programmation relevée au profit du plus grand nombre et surtout de qualité », a-t-il precisé. Ainsi, les passionnés du 4e art prendront part à plusieurs représentations de différentes troupes étrangères venues du : Bénin, de la Guinée, du Sénégal), du Japon, du Kurdistan, de la France, d'Allemagne, de la Croatie, de l'Autriche, d'Italie, de la Belgique et les Etats-Unis... quant aux pays arabes, il s'agit du Koweit, de la Syrie, de l'Irak, de l'Egypte, de la Palestine, et du Liban...). Il est à noter que les différentes représentations se dérouleront à la grande salle du théâtre régional Malek-Bouguermouh, et la petite salle qui porte le nom de Boubekeur Makhouk, ainsi qu'à la grande salle de la maison de la culture Taous-Amrouche. Un programme intra-muros et un autre extra-muros. C'est-à-dire que les activités ne seront pas concentrées seulement au chef-lieu, mais avec une décentralisation sur huit wilayas du territoire national et quelques communes limitrophes de la wilaya. Par ailleurs, et en marge des représentations théâtrales, des hommages seront rendus aux grandes figures, à l'instar de Jouad el Assadi et M'hamed Ben Guettaf... En marge du festival, un colloque consacré au 4e art, sera organisé. Il portera sur la thématique suivante : « Avant théâtre : les formes de la représentation théâtrale dans le théâtre antique dans l'Afrique et en Asie centrale ». « Un colloque auquel prendront part universitaires, chercheurs et dramaturges pour traiter une thématique qui débattra des formes traditionnelles de la représentation théâtrale pour dire que le théâtre a bel et bien existé et commencé quelque part chez-nous du côté de la Numidie et de l'Afrique du Nord », nous confie le commissaire du festival. L'objectif consiste à établir « une approche anthropologique et ethnologique, permettant ainsi aux hommes de théâtre et chercheurs de se réapproprier la terminologie propre aux traditions et à la culture africaines et asiatiques », a-t-il ajouté. En outre, des conférences-débats sont aussi au programme à la Cinémathèque de Béjaïa avec des sommités du monde du théâtre à l'instar de Jouad el Assadi et le directeur général de l'Institut du théâtre international de l'Unesco. Pour l'activité théâtrale de proximité qui touchera huit wilayas d'Algérie et autres dix communes de la wilaya de Bejaia, un bus « dromadaire » est prévu pour sillonner quelque 20 villages avec des conteurs. Ce rendez-vous plein de couleurs, de sonorités et d'idées, nous permettra de construire des passerelles médiatrices de dialogue universelle et de tisser une toile, loin de toutes ces images fausses transmises par les canaux médiatiques étrangers», a tenu à préciser Omar Fetmouche avant de clôturer la séance de débat. Et ce, pour présenter les grands axes de ce que va être l ́édition de cette année 2013, dont le coup d ́envoi sera donné le 29 octobre et prendra fin vers le 5 du mois de novembre. « Cette année, le commissariat a introduit des nouveautés et des arrangements à la mesure de l ́événement, tout en prenant en compte les lacunes et les manques de l ́édition précédente », a souligné le commissaire du festival. Autrement dit, il veut une organisation digne de ce nom, un travail de perfection. « Cette édition se veut, par son caractère international, un lieu de rencontre, d ́échange et de partage grâce à une programmation relevée au profit du plus grand nombre et surtout de qualité », a-t-il precisé. Ainsi, les passionnés du 4e art prendront part à plusieurs représentations de différentes troupes étrangères venues du : Bénin, de la Guinée, du Sénégal), du Japon, du Kurdistan, de la France, d'Allemagne, de la Croatie, de l'Autriche, d'Italie, de la Belgique et les Etats-Unis... quant aux pays arabes, il s'agit du Koweit, de la Syrie, de l'Irak, de l'Egypte, de la Palestine, et du Liban...). Il est à noter que les différentes représentations se dérouleront à la grande salle du théâtre régional Malek-Bouguermouh, et la petite salle qui porte le nom de Boubekeur Makhouk, ainsi qu'à la grande salle de la maison de la culture Taous-Amrouche. Un programme intra-muros et un autre extra-muros. C'est-à-dire que les activités ne seront pas concentrées seulement au chef-lieu, mais avec une décentralisation sur huit wilayas du territoire national et quelques communes limitrophes de la wilaya. Par ailleurs, et en marge des représentations théâtrales, des hommages seront rendus aux grandes figures, à l'instar de Jouad el Assadi et M'hamed Ben Guettaf... En marge du festival, un colloque consacré au 4e art, sera organisé. Il portera sur la thématique suivante : « Avant théâtre : les formes de la représentation théâtrale dans le théâtre antique dans l'Afrique et en Asie centrale ». « Un colloque auquel prendront part universitaires, chercheurs et dramaturges pour traiter une thématique qui débattra des formes traditionnelles de la représentation théâtrale pour dire que le théâtre a bel et bien existé et commencé quelque part chez-nous du côté de la Numidie et de l'Afrique du Nord », nous confie le commissaire du festival. L'objectif consiste à établir « une approche anthropologique et ethnologique, permettant ainsi aux hommes de théâtre et chercheurs de se réapproprier la terminologie propre aux traditions et à la culture africaines et asiatiques », a-t-il ajouté. En outre, des conférences-débats sont aussi au programme à la Cinémathèque de Béjaïa avec des sommités du monde du théâtre à l'instar de Jouad el Assadi et le directeur général de l'Institut du théâtre international de l'Unesco. Pour l'activité théâtrale de proximité qui touchera huit wilayas d'Algérie et autres dix communes de la wilaya de Bejaia, un bus « dromadaire » est prévu pour sillonner quelque 20 villages avec des conteurs. Ce rendez-vous plein de couleurs, de sonorités et d'idées, nous permettra de construire des passerelles médiatrices de dialogue universelle et de tisser une toile, loin de toutes ces images fausses transmises par les canaux médiatiques étrangers», a tenu à préciser Omar Fetmouche avant de clôturer la séance de débat.
