Des dizaines de supporters algériens ont créé une folle ambiance à l'aéroport international de Ouagadougou, où ils ont atterri jeudi à l'aube en provenance d'Alger pour soutenir leur sélection nationale de football face à son homologue burkinabé samedi en barrage aller qualificatif à la Coupe du monde 2014 au Brésil. Des dizaines de supporters algériens ont créé une folle ambiance à l'aéroport international de Ouagadougou, où ils ont atterri jeudi à l'aube en provenance d'Alger pour soutenir leur sélection nationale de football face à son homologue burkinabé samedi en barrage aller qualificatif à la Coupe du monde 2014 au Brésil. Il s'agit en fait d'un deuxième groupe de supporters ayant rejoint la capitale burkinabé à bord d'un vol régulier de la compagnie nationale Air Algérie. Déjà, dans la même heure de mardi, les premiers fans au nombre d'une vingtaine, avaient rallié Ouagadougou. Certains d'entre eux d'ailleurs, n'ont pas hésité à se déplacer à l'aéroport pour accueillir leurs compatriotes. Du coup, ils vont profiter de l'arrivée du "renfort" pour donner à leur manière, le coup d'envoi de la première manche entre les deux formations à partir de l'aéroport de Ouaga. Pour ces fans, la fête a ainsi commencé dès leur descente d'avion. Ils n'ont d'ailleurs même pas attendu d'accomplir les formalités d'usage pour quitter les lieux afin d'annoncer la couleur. Munis de drapeaux algériens et autres banderoles aux couleurs de certains clubs du pays, à l'image de celles de l'USM El Harrach ou l'USM Blida, les supporters ont brisé le silence régnant à l'aéroport, suscitant la curiosité voire l'admiration des employés de l'aéroport et de quelques voyageurs locaux se trouvant sur place. "Rio, on arrive", lancent ces supporters de différents âges, exhibant le drapeau du Brésil, comme pour dire aux Burkinabé que c'est l'Algérie qui ira au pays du célèbre Pelé l'été prochain. Les chaînes de télévisions algériennes privées, présentes en force à Ouaga, se sont empressées pour couvrir l'évènement. Il n'y a pas l'ombre de doute, selon ces supporters. Il ne s'agit là que du "prélude" d'un séjour, certes court, mais riche en couleurs qu'ils préparent dans la capitale burkinabée. Il faut dire que le tout se déroulera dans la discipline, puisque les premiers représentants de la galerie algérienne tiennent au respect de l'autre. Cela leur a déjà permis de s'offrir la sympathie des Ouagalais, et aussi des étrangers ayant débarqué à Ouagadougou à bord du même avion. L'exemple de cette dame américaine propriétaire d'une entreprise dans la capitale burkinabé en est édifiant. Elle n'a d'ailleurs pas voulu quitter l'aéroport avant que le "spectacle" ne s'achève, donnant rendez-vous aux fans algériens samedi au niveau de la tribune numéro 18 (celle réservée à la galerie algérienne) pour faire continuer la fête. La capitale burkinabé sera encore animée avec l'arrivée, le jour du match, d'un millier de supporters algériens. Ils vont sûrement donner encore du piment au rendez-vous après que leurs compatriotes se sont chargés de créer un avant goût de ce que seront les choses à l'arrivée de tous les fans des Verts concernés par le déplacement du Burkina Faso. Ces premiers "amoureux" de Bougherra et ses camarades ont eu ainsi le mérite de lancer le match, puisque leurs homologues locaux ne semblent toujours pas emballés par les débats de samedi, même s'ils promettent de remplir les gradins du stade le jour "J". Il s'agit en fait d'un deuxième groupe de supporters ayant rejoint la capitale burkinabé à bord d'un vol régulier de la compagnie nationale Air Algérie. Déjà, dans la même heure de mardi, les premiers fans au nombre d'une vingtaine, avaient rallié Ouagadougou. Certains d'entre eux d'ailleurs, n'ont pas hésité à se déplacer à l'aéroport pour accueillir leurs compatriotes. Du coup, ils vont profiter de l'arrivée du "renfort" pour donner à leur manière, le coup d'envoi de la première manche entre les deux formations à partir de l'aéroport de Ouaga. Pour ces fans, la fête a ainsi commencé dès leur descente d'avion. Ils n'ont d'ailleurs même pas attendu d'accomplir les formalités d'usage pour quitter les lieux afin d'annoncer la couleur. Munis de drapeaux algériens et autres banderoles aux couleurs de certains clubs du pays, à l'image de celles de l'USM El Harrach ou l'USM Blida, les supporters ont brisé le silence régnant à l'aéroport, suscitant la curiosité voire l'admiration des employés de l'aéroport et de quelques voyageurs locaux se trouvant sur place. "Rio, on arrive", lancent ces supporters de différents âges, exhibant le drapeau du Brésil, comme pour dire aux Burkinabé que c'est l'Algérie qui ira au pays du célèbre Pelé l'été prochain. Les chaînes de télévisions algériennes privées, présentes en force à Ouaga, se sont empressées pour couvrir l'évènement. Il n'y a pas l'ombre de doute, selon ces supporters. Il ne s'agit là que du "prélude" d'un séjour, certes court, mais riche en couleurs qu'ils préparent dans la capitale burkinabée. Il faut dire que le tout se déroulera dans la discipline, puisque les premiers représentants de la galerie algérienne tiennent au respect de l'autre. Cela leur a déjà permis de s'offrir la sympathie des Ouagalais, et aussi des étrangers ayant débarqué à Ouagadougou à bord du même avion. L'exemple de cette dame américaine propriétaire d'une entreprise dans la capitale burkinabé en est édifiant. Elle n'a d'ailleurs pas voulu quitter l'aéroport avant que le "spectacle" ne s'achève, donnant rendez-vous aux fans algériens samedi au niveau de la tribune numéro 18 (celle réservée à la galerie algérienne) pour faire continuer la fête. La capitale burkinabé sera encore animée avec l'arrivée, le jour du match, d'un millier de supporters algériens. Ils vont sûrement donner encore du piment au rendez-vous après que leurs compatriotes se sont chargés de créer un avant goût de ce que seront les choses à l'arrivée de tous les fans des Verts concernés par le déplacement du Burkina Faso. Ces premiers "amoureux" de Bougherra et ses camarades ont eu ainsi le mérite de lancer le match, puisque leurs homologues locaux ne semblent toujours pas emballés par les débats de samedi, même s'ils promettent de remplir les gradins du stade le jour "J".
