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« Le golf, un sport d'exception sans infrastructure »
Slim Othmani, président de la Fédération algérienne de golf, au Midi Libre
Publié dans Le Midi Libre le 14 - 12 - 2013

Animé d'une réelle volonté de raviver le golf en Algérie, Slim Othmani, président de la Fédération algérienne de golf, nous dresse, dans un entretien exclusif, un bilan plutot négatif de la discipline en Algérie.
Animé d'une réelle volonté de raviver le golf en Algérie, Slim Othmani, président de la Fédération algérienne de golf, nous dresse, dans un entretien exclusif, un bilan plutot négatif de la discipline en Algérie.
Manque d‘infrastructures et d‘organisation, des promesses non tenues, c‘est plutôt un chantier difficile dans lequel s‘est aventuré ce passionné de golf. Composée d‘une équipe courageuse, un plan d‘action et de développement de la discipline, a été, néanmoins, mis en place par la fédération. M. Othmani est à la tête de l‘institution pour un mandat de trois années.
Midi Libre : Vous êtes, depuis quelques mois, à la tête de la Fédération algérienne de golf. Quel bilan pouvez-vous faire de la discipline, aujourd‘hui, en Algérie ?
Slim Othmani : Effectivement, je suis le président de la Fédération algérienne de golf et cela depuis quelques mois. Je dois avouer que j‘ai trouvé une situation assez critique au niveau de la fédération. Je m‘attendais à ce que la situation soit dégradée mais pas à ce point !
Aucune structure n‘a été mise en place et la fédération n‘avait aucune perspective ni aucun plan de développement de cette discipline. Me rendant à l‘évidence, je me suis dit qu‘il fallait commencer par les bases. Redonner une structure à cette fédération fut donc ma priorité, à commencer par la mise en œuvre, comme pour tous les sports, d‘un système de licences. En effet cette fédération fonctionnait sans licenciés, aussi étrange que cela puisse paraitre.
Deuxièmement, nous nous sommes intéressés à un plan de développement stratégique de la discipline avec un focus sur les prochaines générations, les moins de 16 ans (filles et garçons). Mais tout cela, pour réussir, devra s‘appuyer sur une infrastructure qui réponde aux normes. Or, à ce jour, en Algérie, nous faisons partie des très rares pays dans le monde qui n‘ont pas d‘infrastructure golfique. Rares sont les pays où il n‘y a pas de parcours de golf à l‘instar de certaines îles trop petites pour supporter un golf (100 hectares minimum) soit ce sont des pays qui sont en train de construire des parcours de golf. En Algérie le terrain où l‘on peut, potentiellement, bricoler, pour ne pas dire jouer, est dans un état de délabrement avancé.
Ainsi une de nos premières actions fut d‘ouvrir les discussions avec le ministre de la Jeunesse et des Sports, concernant l‘avenir de cette discipline. Et la question fut directement posée au ministre de la Jeunesse et des Sports, de savoir si nous allions pouvoir disposer d‘une infrastructure digne de ce nom, pour permettre l‘épanouissement de cette discipline.
Quelle a été la réponse du ministre ?
Monsieur Tahmi nous a rassuré dans le fait que nous allions avoir une infrastructure dans un délai très court et que les projets étaient en voie de réalisation ayant bénéficié d‘instructions spécifiques de la part du président de la République. A notre grand étonnement ces projets n‘existent pas et ne voient toujours pas le jour.
L‘OCO (Office du complexe olympique), qui gère l‘espace actuel de Dely-Brahim, dédié au golf, nous a conforté dans le fait qu‘un projet de réhabilitation de ce parcours compact a été approuvé mais que la recherche de financement tarde à se concrétiser. Nous avons pensé que le financement était du ressort du ministère de la Jeunesse et des Sports, compte tenu de l‘usage multidisciplinaire qu‘il est fait de cet espace.
Ce n‘est visiblement pas le cas et nous ne pouvons espérer voir une discipline golfique digne de ce nom avant quelques années. Je me permet, au passage, de saluer l‘extraordinaire effort du personnel de la structure de Dely Brahim et de l‘actuel DG de l‘OCO pour les efforts et la qualité de communication qui nous ont permis de redonner un visage honorable à cette espace, dans la limite de leurs moyens et de leur savoir-faire golfique.
En tout état de cause l‘équipe de la fédération ne baisse pas les bras et anime cette discipline, au mieux avec les faibles moyens dont elle dispose. A ce titre nous recevons régulièrement des messages d‘encouragement de félicitation de la part de joueurs étrangers ou Algériens pour tous les efforts déployés qui ont permis de redonner vie et espoir à ce sport. Je saisis l‘occasion pour les remercier de ces messages mais aussi pour leur indulgence vis-à-vis de la médiocrité du parcours que nous mettons à leur disposition.
Nous sommes honteux du fait de n‘être pas capables, ne serait-ce que de faire le minimum, et d‘aménager cette infrastructure pour qu‘elle réponde aux normes et aux attentes des pratiquants de cette discipline.
J‘aime bien utiliser cette image pour nous décrire : nous sommes une fédération de natation avec une piscine sans eau et des athlètes qui continuent à nager !
L‘infrastructure de Dely Brahim a souvent fait objet de tentatives de détournement de sa réelle vocation. Qu‘en pensez-vous ?
L‘infrastructure de Dely Brahim a toujours été convoitée mais le moment est venu de lui redonner, de façon organisée et autoritaire, sa vocation initiale à savoir un terrain de golf compact (non professionnel) en attendant de voir se construire un parcours digne de ce nom à l‘instar de tous les pays du pourtour méditerranéen sans exception aucune.
Historiquement le terrain appartenait à la fédération de golf. Ce n‘est pas le cas aujourd‘hui, on aurait pu faire des choses extraordinaires. Il a été confisqué à la fédération de façon arbitraire par un ministre il y a quelques années, je ne sais pas pourquoi d‘ailleurs, je pense qu‘il devait y avoir des convoitises sur le parcours et pour le protéger il l‘a remis à l‘Office du complexe olympique.
Ce parcours a complètement perdu sa vocation, et l‘actuelle direction du parcours peine à contenir les sportifs du dimanche au bras longs qui s‘improvisent joggeurs sur le parcours et qui cherchent à s‘imposer d‘autorité au staff.
Aujourd‘hui il y a une infrastructure qui permet de développer une discipline, il y a une fédération organisée, il y a un ministère qui a visiblement la volonté d‘agir, alors de deux choses l‘une, soit le ministère a les moyens de développer et de mettre à niveau cette discipline et il le fait, soit il n‘en a pas les moyens et de ce fait restitue à la fédération cette infrastructure, qui elle va trouver les moyens financiers pour mettre à niveau ce terrain.
Malgré tous ces problèmes vous parlez de plan de développement stratégique notamment pour les enfants. Il consiste en quoi ce plan ?
Sur les petits bouts de terrains que nous avons, nous pouvons faire des d‘initiations au profit des enfants pour leur donner le goût à la pratique du golf. De plus ce qui est intéressant dans notre discipline c‘est que nous avons des joueurs qui évoluent à l‘étranger, qui ne viennent jamais en Algérie, qui ont la nationalité algérienne et qui peuvent représenter, de façon très honorable, l‘Algérie dans les compétitions internationales.
Au même titre que d‘autres disciplines, nous avons identifié ces joueurs mais nous avons aussi des entraîneurs de classe internationale qui peuvent parfaitement accompagner ces joueurs, pour avoir une équipe nationale véritablement solide. Mis à part un ou deux joueurs locaux, la précédente équipe nationale n‘était absolument pas représentative du niveau requis pour prétendre défendre le drapeau national.
Le ménage est à présent fait et nous allons nous préparer à participer l‘année prochaine (2014) aux championnats panarabes toutes catégories ainsi qu‘aux championnats panarabes des moins de 16 ans (deux épreuves totalement distinctes). Une équipe réduite nous représentera dans chacune des épreuves, mais suffisamment préparé pour prétendre à un titre. Nous ne voulons plus de pseudo-équipe nationale, nous voulons une équipe qui gagne et qui s‘approche du niveau international de cette discipline. Le challenge est certes important mais nous sommes prêt à le releve...
Manque d‘infrastructures et d‘organisation, des promesses non tenues, c‘est plutôt un chantier difficile dans lequel s‘est aventuré ce passionné de golf. Composée d‘une équipe courageuse, un plan d‘action et de développement de la discipline, a été, néanmoins, mis en place par la fédération. M. Othmani est à la tête de l‘institution pour un mandat de trois années.
Midi Libre : Vous êtes, depuis quelques mois, à la tête de la Fédération algérienne de golf. Quel bilan pouvez-vous faire de la discipline, aujourd‘hui, en Algérie ?
Slim Othmani : Effectivement, je suis le président de la Fédération algérienne de golf et cela depuis quelques mois. Je dois avouer que j‘ai trouvé une situation assez critique au niveau de la fédération. Je m‘attendais à ce que la situation soit dégradée mais pas à ce point !
Aucune structure n‘a été mise en place et la fédération n‘avait aucune perspective ni aucun plan de développement de cette discipline. Me rendant à l‘évidence, je me suis dit qu‘il fallait commencer par les bases. Redonner une structure à cette fédération fut donc ma priorité, à commencer par la mise en œuvre, comme pour tous les sports, d‘un système de licences. En effet cette fédération fonctionnait sans licenciés, aussi étrange que cela puisse paraitre.
Deuxièmement, nous nous sommes intéressés à un plan de développement stratégique de la discipline avec un focus sur les prochaines générations, les moins de 16 ans (filles et garçons). Mais tout cela, pour réussir, devra s‘appuyer sur une infrastructure qui réponde aux normes. Or, à ce jour, en Algérie, nous faisons partie des très rares pays dans le monde qui n‘ont pas d‘infrastructure golfique. Rares sont les pays où il n‘y a pas de parcours de golf à l‘instar de certaines îles trop petites pour supporter un golf (100 hectares minimum) soit ce sont des pays qui sont en train de construire des parcours de golf. En Algérie le terrain où l‘on peut, potentiellement, bricoler, pour ne pas dire jouer, est dans un état de délabrement avancé.
Ainsi une de nos premières actions fut d‘ouvrir les discussions avec le ministre de la Jeunesse et des Sports, concernant l‘avenir de cette discipline. Et la question fut directement posée au ministre de la Jeunesse et des Sports, de savoir si nous allions pouvoir disposer d‘une infrastructure digne de ce nom, pour permettre l‘épanouissement de cette discipline.
Quelle a été la réponse du ministre ?
Monsieur Tahmi nous a rassuré dans le fait que nous allions avoir une infrastructure dans un délai très court et que les projets étaient en voie de réalisation ayant bénéficié d‘instructions spécifiques de la part du président de la République. A notre grand étonnement ces projets n‘existent pas et ne voient toujours pas le jour.
L‘OCO (Office du complexe olympique), qui gère l‘espace actuel de Dely-Brahim, dédié au golf, nous a conforté dans le fait qu‘un projet de réhabilitation de ce parcours compact a été approuvé mais que la recherche de financement tarde à se concrétiser. Nous avons pensé que le financement était du ressort du ministère de la Jeunesse et des Sports, compte tenu de l‘usage multidisciplinaire qu‘il est fait de cet espace.
Ce n‘est visiblement pas le cas et nous ne pouvons espérer voir une discipline golfique digne de ce nom avant quelques années. Je me permet, au passage, de saluer l‘extraordinaire effort du personnel de la structure de Dely Brahim et de l‘actuel DG de l‘OCO pour les efforts et la qualité de communication qui nous ont permis de redonner un visage honorable à cette espace, dans la limite de leurs moyens et de leur savoir-faire golfique.
En tout état de cause l‘équipe de la fédération ne baisse pas les bras et anime cette discipline, au mieux avec les faibles moyens dont elle dispose. A ce titre nous recevons régulièrement des messages d‘encouragement de félicitation de la part de joueurs étrangers ou Algériens pour tous les efforts déployés qui ont permis de redonner vie et espoir à ce sport. Je saisis l‘occasion pour les remercier de ces messages mais aussi pour leur indulgence vis-à-vis de la médiocrité du parcours que nous mettons à leur disposition.
Nous sommes honteux du fait de n‘être pas capables, ne serait-ce que de faire le minimum, et d‘aménager cette infrastructure pour qu‘elle réponde aux normes et aux attentes des pratiquants de cette discipline.
J‘aime bien utiliser cette image pour nous décrire : nous sommes une fédération de natation avec une piscine sans eau et des athlètes qui continuent à nager !
L‘infrastructure de Dely Brahim a souvent fait objet de tentatives de détournement de sa réelle vocation. Qu‘en pensez-vous ?
L‘infrastructure de Dely Brahim a toujours été convoitée mais le moment est venu de lui redonner, de façon organisée et autoritaire, sa vocation initiale à savoir un terrain de golf compact (non professionnel) en attendant de voir se construire un parcours digne de ce nom à l‘instar de tous les pays du pourtour méditerranéen sans exception aucune.
Historiquement le terrain appartenait à la fédération de golf. Ce n‘est pas le cas aujourd‘hui, on aurait pu faire des choses extraordinaires. Il a été confisqué à la fédération de façon arbitraire par un ministre il y a quelques années, je ne sais pas pourquoi d‘ailleurs, je pense qu‘il devait y avoir des convoitises sur le parcours et pour le protéger il l‘a remis à l‘Office du complexe olympique.
Ce parcours a complètement perdu sa vocation, et l‘actuelle direction du parcours peine à contenir les sportifs du dimanche au bras longs qui s‘improvisent joggeurs sur le parcours et qui cherchent à s‘imposer d‘autorité au staff.
Aujourd‘hui il y a une infrastructure qui permet de développer une discipline, il y a une fédération organisée, il y a un ministère qui a visiblement la volonté d‘agir, alors de deux choses l‘une, soit le ministère a les moyens de développer et de mettre à niveau cette discipline et il le fait, soit il n‘en a pas les moyens et de ce fait restitue à la fédération cette infrastructure, qui elle va trouver les moyens financiers pour mettre à niveau ce terrain.
Malgré tous ces problèmes vous parlez de plan de développement stratégique notamment pour les enfants. Il consiste en quoi ce plan ?
Sur les petits bouts de terrains que nous avons, nous pouvons faire des d‘initiations au profit des enfants pour leur donner le goût à la pratique du golf. De plus ce qui est intéressant dans notre discipline c‘est que nous avons des joueurs qui évoluent à l‘étranger, qui ne viennent jamais en Algérie, qui ont la nationalité algérienne et qui peuvent représenter, de façon très honorable, l‘Algérie dans les compétitions internationales.
Au même titre que d‘autres disciplines, nous avons identifié ces joueurs mais nous avons aussi des entraîneurs de classe internationale qui peuvent parfaitement accompagner ces joueurs, pour avoir une équipe nationale véritablement solide. Mis à part un ou deux joueurs locaux, la précédente équipe nationale n‘était absolument pas représentative du niveau requis pour prétendre défendre le drapeau national.
Le ménage est à présent fait et nous allons nous préparer à participer l‘année prochaine (2014) aux championnats panarabes toutes catégories ainsi qu‘aux championnats panarabes des moins de 16 ans (deux épreuves totalement distinctes). Une équipe réduite nous représentera dans chacune des épreuves, mais suffisamment préparé pour prétendre à un titre. Nous ne voulons plus de pseudo-équipe nationale, nous voulons une équipe qui gagne et qui s‘approche du niveau international de cette discipline. Le challenge est certes important mais nous sommes prêt à le releve...


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