Les villageois ne désarmement toujours pas. Les habitants du village Immakhoukhen sont revenus, ce jeudi, à la charge en fermant le siège de l'APC pour protester contre les promesses non tenues des élus locaux notamment du P/APC. Les villageois ne désarmement toujours pas. Les habitants du village Immakhoukhen sont revenus, ce jeudi, à la charge en fermant le siège de l'APC pour protester contre les promesses non tenues des élus locaux notamment du P/APC. Ils sont des dizaines à se déplacer au siège de l'hôtel de ville qu'ils ferment pour exiger le bitumage de la piste qui relie leur village au reste du monde. Le portail principal du siège de l'APC a été cadenassé empêchant ainsi l'accès au personnel et aux citoyens. Tous les services de la commune étaient paralysés. Une réunion a été tenue en milieu de journée et a regroupé une délégation de manifestants, d'élus locaux, et de représentants des services de forêts. Les responsables locaux se sont engagés alors à lancer les travaux d'aménagement de la route de village dans un délai d'une semaine. Faute de quoi, les villageois réinvestiront le terrain au cas où les travaux d'aménagement de la route ne sont pas entamés. Parallèlement à cette action de protestation, les collégiens du nouveau CEM du chef-lieu ne décolèrent pas et se sont rassemblés, avant-hier, devant le siège de l'APC pour mettre la pression sur les responsables locaux afin de prendre en charge leur revendication relative au bitumage de la route menant à leur établissement. Les collégiens ont dénoncé la promesse non tenue du P/APC faite au début de la semaine, soit le jour de leur première action de rue. Les assurances des autorités locales quant au lancement des travaux de bitumage de cette piste d'une longueur de 100 mètres, n'ont pas apaisé les esprits des manifestants qui menacent de revenir à la charge juste après le congé hivernal. Devant la multiplication des actions de protestation, ces derniers jours, le P/APC a «accusé» certains élus d'être derrière ces mouvements citoyens qui viseraient à le «renverser» de la présidence de la commune. Ils sont des dizaines à se déplacer au siège de l'hôtel de ville qu'ils ferment pour exiger le bitumage de la piste qui relie leur village au reste du monde. Le portail principal du siège de l'APC a été cadenassé empêchant ainsi l'accès au personnel et aux citoyens. Tous les services de la commune étaient paralysés. Une réunion a été tenue en milieu de journée et a regroupé une délégation de manifestants, d'élus locaux, et de représentants des services de forêts. Les responsables locaux se sont engagés alors à lancer les travaux d'aménagement de la route de village dans un délai d'une semaine. Faute de quoi, les villageois réinvestiront le terrain au cas où les travaux d'aménagement de la route ne sont pas entamés. Parallèlement à cette action de protestation, les collégiens du nouveau CEM du chef-lieu ne décolèrent pas et se sont rassemblés, avant-hier, devant le siège de l'APC pour mettre la pression sur les responsables locaux afin de prendre en charge leur revendication relative au bitumage de la route menant à leur établissement. Les collégiens ont dénoncé la promesse non tenue du P/APC faite au début de la semaine, soit le jour de leur première action de rue. Les assurances des autorités locales quant au lancement des travaux de bitumage de cette piste d'une longueur de 100 mètres, n'ont pas apaisé les esprits des manifestants qui menacent de revenir à la charge juste après le congé hivernal. Devant la multiplication des actions de protestation, ces derniers jours, le P/APC a «accusé» certains élus d'être derrière ces mouvements citoyens qui viseraient à le «renverser» de la présidence de la commune.
