Depuis le début de l'année 2014 on compte déjà une quarantaine de morts sur les routes et plus d'une centaine de blessés. L'accident le plus meurtrier a eu lieu sur la RN 56 où 11 personnes ont perdu la vie et 22 autres ont été blessées suite à un choc entre un bus de voyageurs et un camion sur la route de Ouargla. Depuis le début de l'année 2014 on compte déjà une quarantaine de morts sur les routes et plus d'une centaine de blessés. L'accident le plus meurtrier a eu lieu sur la RN 56 où 11 personnes ont perdu la vie et 22 autres ont été blessées suite à un choc entre un bus de voyageurs et un camion sur la route de Ouargla. Le bus, qui venait d'Alger, transportait une soixantaine de passagers. Arrivée sur la RN 56, non loin du chef-lieu de Ouargla, plus exactement dans la commune de Hassi Ben Abdellah, le bus a percuté violement un camion qui venait dans le sens inverse. Depuis le début de l'année plus de 125 accidents ont été enregistrés sur les routes, ce qui donne une moyenne de 25 accidents par jour. Dans la seule journée du 4 janvier 20 accidents de la circulation routière (4 mortels et 12 corporels), ont été constatés par les unités de la Gendarmerie nationale à travers 12 wilayas du pays. Ils ont causé le décès de 5 personnes et des blessures à 25 autres. Face à cette hécatombe qui se poursuit sur nos routes, les pouvoirs publics semblent impuissants malgré l'armada de solutions apportées. Annoncé à maintes reprises au cours de l'année 2013, le permis à points ne semble toujours pas prêt à entrer en vigueur et ce, pour des raisons purement techniques, selon plusieurs sources proches du ministère des Transports. En attendant la mise en application du permis à points qui pourrait, peu-être, contribuer à diminuer le taux de décès sur nos routes, le « terrorisme » routier continuera. De son côté, la cellule de communication de la Protection civile a enregistré, durant la période du 4 au 5 janvier passé, plusieurs dizaines d'accidents de la circulation dont 9 mortels ayant causé le décès de 18 personnes et engendré des blessures à 39 autres. Les blessés ont été secourus et évacués vers les hôpitaux par les secouristes de la Protection civile. Aussi, durant la période allant du 4 au 5 janvier dernier, les unités de la Protection civile ont effectué 1.892 interventions suite à des accidents de la circulation, accidents domestique, évacuations sanitaires, extinction d'incendies, dispositif de sécurité, etc. En outre, les secours de la Protection civile des wilayas de Batna, Blida et Bordj Bou-Arreridj sont intervenus pour le sauvetage et l'évacuation de 5 personnes à Batna, 4 à Blida et 4 à Bordj Bou Arreridj 13 incommodées par le monoxyde de carbone, une personne est malheureusement décédée asphyxiée par les émanations d'un chauffe-bain à la cité Ben Zerga dans la commune de Sobha. Les éléments de la Protection civile ont également procédé à l'extinction de deux incendies urbains au niveau des wilayas de Boumerdès et d'el Bayadh, ces incendies ont causé des brûlures de 2e degré à une personne au niveau de la wilaya d'El Bayadh à la rue Mohammedi-Rachid commune de Bougtob , traitée par les secours puis évacuée vers l'hôpital local. Le bus, qui venait d'Alger, transportait une soixantaine de passagers. Arrivée sur la RN 56, non loin du chef-lieu de Ouargla, plus exactement dans la commune de Hassi Ben Abdellah, le bus a percuté violement un camion qui venait dans le sens inverse. Depuis le début de l'année plus de 125 accidents ont été enregistrés sur les routes, ce qui donne une moyenne de 25 accidents par jour. Dans la seule journée du 4 janvier 20 accidents de la circulation routière (4 mortels et 12 corporels), ont été constatés par les unités de la Gendarmerie nationale à travers 12 wilayas du pays. Ils ont causé le décès de 5 personnes et des blessures à 25 autres. Face à cette hécatombe qui se poursuit sur nos routes, les pouvoirs publics semblent impuissants malgré l'armada de solutions apportées. Annoncé à maintes reprises au cours de l'année 2013, le permis à points ne semble toujours pas prêt à entrer en vigueur et ce, pour des raisons purement techniques, selon plusieurs sources proches du ministère des Transports. En attendant la mise en application du permis à points qui pourrait, peu-être, contribuer à diminuer le taux de décès sur nos routes, le « terrorisme » routier continuera. De son côté, la cellule de communication de la Protection civile a enregistré, durant la période du 4 au 5 janvier passé, plusieurs dizaines d'accidents de la circulation dont 9 mortels ayant causé le décès de 18 personnes et engendré des blessures à 39 autres. Les blessés ont été secourus et évacués vers les hôpitaux par les secouristes de la Protection civile. Aussi, durant la période allant du 4 au 5 janvier dernier, les unités de la Protection civile ont effectué 1.892 interventions suite à des accidents de la circulation, accidents domestique, évacuations sanitaires, extinction d'incendies, dispositif de sécurité, etc. En outre, les secours de la Protection civile des wilayas de Batna, Blida et Bordj Bou-Arreridj sont intervenus pour le sauvetage et l'évacuation de 5 personnes à Batna, 4 à Blida et 4 à Bordj Bou Arreridj 13 incommodées par le monoxyde de carbone, une personne est malheureusement décédée asphyxiée par les émanations d'un chauffe-bain à la cité Ben Zerga dans la commune de Sobha. Les éléments de la Protection civile ont également procédé à l'extinction de deux incendies urbains au niveau des wilayas de Boumerdès et d'el Bayadh, ces incendies ont causé des brûlures de 2e degré à une personne au niveau de la wilaya d'El Bayadh à la rue Mohammedi-Rachid commune de Bougtob , traitée par les secours puis évacuée vers l'hôpital local.
