Tous, d'une seule voix, ont dénoncé les incidents qui ont obligé le directeur de campagne du candidat Bouteflika à annuler son meeting à la maison de la culture de Béjaïa. Tous, d'une seule voix, ont dénoncé les incidents qui ont obligé le directeur de campagne du candidat Bouteflika à annuler son meeting à la maison de la culture de Béjaïa. Les incidents qui se sont produits à Béjaïa ont été qualifiés de ''regrettables'' par la quasi-totalité des candidats à l'élection présidentielle du 17 avril 2014. En ce sens qu'ils ne contribuent en aucune façon au caractère démocratique que doit revêtir la campagne menée par les six candidats. Tous, d'une seule voix, ont dénoncé les incidents qui ont obligé le directeur de campagne du candidat Bouteflika à annuler son meeting à la maison de la culture de Béjaïa. Ali Benflis, qui a souvent été pointé du doigt, a déploré que cette campagne se déroule dans ''un climat tendu'' et souhaite que la fin de la compétition électorale "fasse prévaloir le débat d'idées et la confrontation de programmes''. Même son de cloche avec une octave de plus chez la secrétaire générale du PT, Louisa Hanoune, qui a qualifié ces incidents de ''dérives inacceptables''. Le mouvement Barakat, opposé au 4e mandat du président Bouteflika, à qui on fait porter le chapeau de ces évènements a dégagé toute responsabilié et rappelle que son mouvement ''est à caractère résolument pacifique et démocratique et condamne toute violence d'où qu'elle vienne''. Il est vrai que dans notre société le fair-play n'est pas l'apanage des Algériens en général. Que ce soit dans les compétitions sportives et plus particulièrement dans les stades, il est monnaie courante de voir les supporters chauvins mal se conduire. Des pratiques qui aujourd'hui ont ''déteint'' et entaché le déroulement de la campagne. Tout le monde a le droit de s'exprimer qu'il soit pour X ou pour Y, pour le boycott, la transition, etc. Tout désaccord doit se manifester dans la sérénité et dans le respect des diversités d'opinions. Alors les réponses aux questions sont ailleurs. Cherchez l'intrus. Les incidents qui se sont produits à Béjaïa ont été qualifiés de ''regrettables'' par la quasi-totalité des candidats à l'élection présidentielle du 17 avril 2014. En ce sens qu'ils ne contribuent en aucune façon au caractère démocratique que doit revêtir la campagne menée par les six candidats. Tous, d'une seule voix, ont dénoncé les incidents qui ont obligé le directeur de campagne du candidat Bouteflika à annuler son meeting à la maison de la culture de Béjaïa. Ali Benflis, qui a souvent été pointé du doigt, a déploré que cette campagne se déroule dans ''un climat tendu'' et souhaite que la fin de la compétition électorale "fasse prévaloir le débat d'idées et la confrontation de programmes''. Même son de cloche avec une octave de plus chez la secrétaire générale du PT, Louisa Hanoune, qui a qualifié ces incidents de ''dérives inacceptables''. Le mouvement Barakat, opposé au 4e mandat du président Bouteflika, à qui on fait porter le chapeau de ces évènements a dégagé toute responsabilié et rappelle que son mouvement ''est à caractère résolument pacifique et démocratique et condamne toute violence d'où qu'elle vienne''. Il est vrai que dans notre société le fair-play n'est pas l'apanage des Algériens en général. Que ce soit dans les compétitions sportives et plus particulièrement dans les stades, il est monnaie courante de voir les supporters chauvins mal se conduire. Des pratiques qui aujourd'hui ont ''déteint'' et entaché le déroulement de la campagne. Tout le monde a le droit de s'exprimer qu'il soit pour X ou pour Y, pour le boycott, la transition, etc. Tout désaccord doit se manifester dans la sérénité et dans le respect des diversités d'opinions. Alors les réponses aux questions sont ailleurs. Cherchez l'intrus.
