Bastardo de Nejib Belkadhi, un film traitant de problèmes sociaux liés aux catégories marginalisées de la société tunisienne, avec pour toile de fond un quartier périphérique de Tunis, a remporté le grand prix du long-métrage du 20e Festival international du cinéma méditerranéen organisé du 29 mars au 5 avril à Tétouan (nord du Maroc).Le jury présidé par le cinéaste syrien Mohamed Malas a, par ailleurs, attribué le "Prix du jury" au film marocain Secrets d'oreillers de Jilali Farhati, le "Prix des droits de l'homme" à Palestine Stereo du Palestinien Rashid Masharawi et le "Prix de la première œuvre Azzedine-Meddour" (du nom du défunt réalisateur algérien) à Miele de l'Italienne Valeria Golino. Bastardo de Nejib Belkadhi, un film traitant de problèmes sociaux liés aux catégories marginalisées de la société tunisienne, avec pour toile de fond un quartier périphérique de Tunis, a remporté le grand prix du long-métrage du 20e Festival international du cinéma méditerranéen organisé du 29 mars au 5 avril à Tétouan (nord du Maroc).Le jury présidé par le cinéaste syrien Mohamed Malas a, par ailleurs, attribué le "Prix du jury" au film marocain Secrets d'oreillers de Jilali Farhati, le "Prix des droits de l'homme" à Palestine Stereo du Palestinien Rashid Masharawi et le "Prix de la première œuvre Azzedine-Meddour" (du nom du défunt réalisateur algérien) à Miele de l'Italienne Valeria Golino. Dans le genre court-métrage, le jury présidé par le cinéaste espagnol Ismael Martin a décerné le Grand prix au film Volti de l'Italien Antonio de Palo, le Prix du jury à Washingtonia de la Grecque Konstantina Kotzamani, le Prix de l'innovation à Schoolyard, avant de remettre une mention spéciale au film Sans réponses de l'Espagnol Miguel Parra. Quant à la catégorie documentaire, le jury, présidé par la réalisatrice égyptienne Marianne Khoury, a attribué le Grand prix à A World Not Ours du Palestinien Mahdi Fleifel et remis le Prix du jury ex aequo à Doaa Aziza de l'Egyptien Saad Hendawi (Egypte) et Un homme médiocre en cette époque de prétendus surhommes de l'Italien Angelo Caperna. Le festival a vu la participation de 38 films, représentant une dizaine de pays méditerranéens, dans les compétitions officielles des catégories long-métrage, court-métrage et documentaire, outre les films projetés hors compétition. Organisé annuellement, le festival de Tetouan s'est fixé pour objectif la promotion et la mise en valeur des cinématographies des pays du bassin méditerranéen. Dans le genre court-métrage, le jury présidé par le cinéaste espagnol Ismael Martin a décerné le Grand prix au film Volti de l'Italien Antonio de Palo, le Prix du jury à Washingtonia de la Grecque Konstantina Kotzamani, le Prix de l'innovation à Schoolyard, avant de remettre une mention spéciale au film Sans réponses de l'Espagnol Miguel Parra. Quant à la catégorie documentaire, le jury, présidé par la réalisatrice égyptienne Marianne Khoury, a attribué le Grand prix à A World Not Ours du Palestinien Mahdi Fleifel et remis le Prix du jury ex aequo à Doaa Aziza de l'Egyptien Saad Hendawi (Egypte) et Un homme médiocre en cette époque de prétendus surhommes de l'Italien Angelo Caperna. Le festival a vu la participation de 38 films, représentant une dizaine de pays méditerranéens, dans les compétitions officielles des catégories long-métrage, court-métrage et documentaire, outre les films projetés hors compétition. Organisé annuellement, le festival de Tetouan s'est fixé pour objectif la promotion et la mise en valeur des cinématographies des pays du bassin méditerranéen.