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"L'Algérie est notre 1er partenaire économique et commercial dans le Maghreb"
Aloisia Worgetter, Ambassadeur d'Autriche à Alger, au Midi Libre et à Beur tv
Publié dans Le Midi Libre le 15 - 05 - 2014

Avec l'ouverture récente de la ligne aérienne Alger-Vienne, les relations économiques et commerciales entre l'Algérie et l'Autriche vont connaître un essor certain, en ce sens que, cela va faciliter le flux des délégations et des investisseurs et hommes d'affaires pour un meilleur partenariat.
Avec l'ouverture récente de la ligne aérienne Alger-Vienne, les relations économiques et commerciales entre l'Algérie et l'Autriche vont connaître un essor certain, en ce sens que, cela va faciliter le flux des délégations et des investisseurs et hommes d'affaires pour un meilleur partenariat.
Aussi, le gouvernement fédéral de l'Autriche envisage de développer des rapports privilégiés avec l'Algérie, d'où l'opportunité pour les entreprises autrichiennes de tisser des réseaux de coopération dense avec les sociétés algériennes pour un échange d'expériences, mais également pour le transfert de savoir-faire, d'expertise et de technologie.
Midi Libre : Notre chaîne Beur tv crée des liens entre le Maghreb et l'Europe et aujourd'hui, nous avons une grande communauté maghrébine en Autriche. Mais, avant il y avait une présence française en Autriche ?
Aloisia Worgetter : Nous sommes contents d'avoir des relations privilégiées avec l'Algérie. Entre 1945 et 1955, tout juste après la Seconde Guerre mondiale, il y avait les quatre pays alliés représentés en Autriche, y compris la communauté française composée de beaucoup de ressortissants maghrébins. Ils étaient dans la partie ouest de l'Autriche et ils venaient nous donner des aperçus sur l'histoire pour savoir s'ils vivaient en Autriche à cette époque.
Vous êtes en poste en Algérie, mais également pour le Niger. Vous représentez l'Autriche en Afrique ?
Avec mon arrivée en Algérie, l'Autriche a décidé de couvrir le Niger et l'Algérie, parce que nous avons vu, ces dernières années, la rationalité de cette approche sur le Sahara du nord et le Sahara du sud et l'importance de l'Algérie sur le Sahel. Il est utile de parler avec les responsables algériens pour connaître la situation qui prévaut dans le Sud.
C'est la nature de ma présence en Algérie pour gérer également les relations avec le Niger. Heureusement qu'il y a une ligne aérienne reliant Alger à Niamey alors qu'il existe, aujourd'hui, Alhamdou Lil Allah une liaison directe Alger-Vienne.
Cela va faciliter beaucoup les visas pour les Nigériens qui veulent aller en Autriche, car le Niger est un pays nucléaire ; Alors avec les ressources riches en uranium, ils sont intéressés de visiter l'Autriche sachant que l'Agence internationale de l'énergie atomique est installée à Vienne. Cette communication sera plus facile en faisant une escale à Alger.
Peut-on avoir des chiffres ? L'ambassade est une représentation diplomatique et politique. Mais, il y a un service commercial, économique et culturel et aujourd'hui, un service des visas sachant que l'Autriche fait partie de l'espace Schengen.
Nous sommes contents, car il y a des gens qui nous disent à l'ambassade qu'ils ont un visa Schengen et s'ils peuvent se rendre en Autriche. Les Algériens ont réfléchi et ont voulu savoir si l'Autriche est partie intégrante de l'espace Schengen ou non. Nous avons fait des aménagements pour accueillir les gens qui veulent aller en Autriche.
Sur le plan économique, durant les trois dernières années, l'Algérie est devenue le premier pays partenaire sur notre liste concernant les relations économiques et commerciales dans le Maghreb. Cela montre l'importance croissante de l'Algérie en Afrique du Nord et pour l'Autriche économiquement. Nous avons de grandes entreprises autrichiennes qui travaillent en Algérie et les relations austro-algériennes vont s'intensifier avec l'installation en Algérie d'une société pétrolière autrichienne. Avec de grandes superficies à explorer, l'Algérie aura un partenaire autrichien d'ici le mois de septembre.
L'Algérie va aussi développer l e s autres secteurs, tel que l'automobile ?
Nous sommes très fiers que l'Autriche fasse partie de ce projet de la construction automobile en Algérie en coopération avec la SNVI qui va produire toutes sortes de voitures, y compris une voiture qui a une grande histoire autrichienne construite à Graz. Il y aura également une fabrication à Tiaret.
Il y a aussi des entreprises privées associées à ce projet ?
C'est pour un chaîne de télévision comme la vôtre qui s'intéresse à la communauté magrébine à l'étranger. Les années 90 ont été pour nous des cycles de formation, car il y avait une modernisation mondiale avec la globalisation qui se fait.
Les données ont changé et avec l'entrée de l'Autriche dans l'Union européenne, nous avons besoin des investisseurs privés. Nous avons eu la chance de trouver un investisseur privé de nationalité autrichienne installé au Canada et qui est revenu avec ses moyens et son amour pour sa patrie. Il a pris cette industrie (automobile) en main et il a développé son process de production qui fait vivre beaucoup de monde en Autriche. Il y a eu des contacts en Algérie pour faire de la sorte.
Ce lien public-privé à l'ère de la mondialisation, notamment au niveau européen, est une nécessité. Par exemple, la Belgique avec 150 milliards d'euros d'épargne prouve que la population a bien travaillé et a les moyens de soutenir le pays où les banques garantissent jusqu'à 100.000 euros, est-ce le cas en Autriche ?
Les Autrichiens, tout comme les Belges, sont de grands épargnants et les épargnants privés en Autriche, aujourd'hui sont de l'ordre de 61 % du produit intérieur brut autrichien. Alors, toutes les dettes publiques sont balancées avec cette épargne et nous avons peut-être, évité la crise, car tout le monde travaille beaucoup et nous avons eu une bonne gouvernance pour gérer la crise en étant dans l'Union européenne. Les Autrichiens ne sont pas trop dans les actions, mais ils ont une tradition d'épargne, c'est comme l'Algérie.
Aujourd'hui, en Algérie, i l y a de grandes organisations patronales à l'instar du Forum des chefs d'entreprise,qu'en pensez-vous ?
Il y a des initiatives, maintenant, notamment pour les sociétés spécialisées dans l'environnement. Je suis très contente qu'il existe, en Algérie, une conscience dans ce domaine.
Le domaine de l'agriculture entre aussi dans le domaine des échanges. On a vu une foire algérienne en Autriche...
Nous allons voir de nombreuses entreprises au salon de l'agriculture SIPSA (prévue à la Safex au courant du mois de mai) alors qu'un partenariat existe déjà entre des opérateurs de la région de Khenchela et des entrepreneurs de la région autrichienne du Tyrol qui ont signé en janvier dernier un très important accord de partenariat, notamment dans le secteur de l'agriculture, ainsi qu'un mémorandum d'entente entre l'Algérie et l'Autriche dans le domaine agricole. On parle également de l'élevage et de l'augmentation de la productivité et l'autonomie dans les aliments ainsi que le secteur forestier.
L'Ansej et d'autres entités en Algérie ont créé beaucoup d'emplois dans le secteur agricole. Aussi, nous avons un programme de formation pour les ingénieurs agronomes algériens. Le sud de Khenchela est un exemple de développement et l'Etat algérien a augmenté les investissements dans le secteur agricole et l'agroalimentaire.
Vous avez le niveau et nous avons les moyens et grâce à notre communauté en Autriche dont certains ont réussi en Europe et qui veulent intervenir dans leur pays d'origine au Maghreb.
Un opérateur algérien spécialisé dans l'huile d'olive est présent à Graz, il a pensé faire le va-et-vient entre nos deux pays ; Il y a de nombreux opérateurs algériens établis en Autriche dans les secteurs de l'industrie, de l'agroalimentaire, tandis que plusieurs Algériens travaillent dans l'enseignement de la langue, de la religion et dans le secteur des sciences.
Récemment, nous avons appris que des Algériens sont intéressés par le secteur du tourisme, car il y aura beaucoup de touristes algériens en Autriche qui vont visiter Vienne sachant que le secteur du tourisme a une part importante dans le PIB.
Aussi, le gouvernement fédéral de l'Autriche envisage de développer des rapports privilégiés avec l'Algérie, d'où l'opportunité pour les entreprises autrichiennes de tisser des réseaux de coopération dense avec les sociétés algériennes pour un échange d'expériences, mais également pour le transfert de savoir-faire, d'expertise et de technologie.
Midi Libre : Notre chaîne Beur tv crée des liens entre le Maghreb et l'Europe et aujourd'hui, nous avons une grande communauté maghrébine en Autriche. Mais, avant il y avait une présence française en Autriche ?
Aloisia Worgetter : Nous sommes contents d'avoir des relations privilégiées avec l'Algérie. Entre 1945 et 1955, tout juste après la Seconde Guerre mondiale, il y avait les quatre pays alliés représentés en Autriche, y compris la communauté française composée de beaucoup de ressortissants maghrébins. Ils étaient dans la partie ouest de l'Autriche et ils venaient nous donner des aperçus sur l'histoire pour savoir s'ils vivaient en Autriche à cette époque.
Vous êtes en poste en Algérie, mais également pour le Niger. Vous représentez l'Autriche en Afrique ?
Avec mon arrivée en Algérie, l'Autriche a décidé de couvrir le Niger et l'Algérie, parce que nous avons vu, ces dernières années, la rationalité de cette approche sur le Sahara du nord et le Sahara du sud et l'importance de l'Algérie sur le Sahel. Il est utile de parler avec les responsables algériens pour connaître la situation qui prévaut dans le Sud.
C'est la nature de ma présence en Algérie pour gérer également les relations avec le Niger. Heureusement qu'il y a une ligne aérienne reliant Alger à Niamey alors qu'il existe, aujourd'hui, Alhamdou Lil Allah une liaison directe Alger-Vienne.
Cela va faciliter beaucoup les visas pour les Nigériens qui veulent aller en Autriche, car le Niger est un pays nucléaire ; Alors avec les ressources riches en uranium, ils sont intéressés de visiter l'Autriche sachant que l'Agence internationale de l'énergie atomique est installée à Vienne. Cette communication sera plus facile en faisant une escale à Alger.
Peut-on avoir des chiffres ? L'ambassade est une représentation diplomatique et politique. Mais, il y a un service commercial, économique et culturel et aujourd'hui, un service des visas sachant que l'Autriche fait partie de l'espace Schengen.
Nous sommes contents, car il y a des gens qui nous disent à l'ambassade qu'ils ont un visa Schengen et s'ils peuvent se rendre en Autriche. Les Algériens ont réfléchi et ont voulu savoir si l'Autriche est partie intégrante de l'espace Schengen ou non. Nous avons fait des aménagements pour accueillir les gens qui veulent aller en Autriche.
Sur le plan économique, durant les trois dernières années, l'Algérie est devenue le premier pays partenaire sur notre liste concernant les relations économiques et commerciales dans le Maghreb. Cela montre l'importance croissante de l'Algérie en Afrique du Nord et pour l'Autriche économiquement. Nous avons de grandes entreprises autrichiennes qui travaillent en Algérie et les relations austro-algériennes vont s'intensifier avec l'installation en Algérie d'une société pétrolière autrichienne. Avec de grandes superficies à explorer, l'Algérie aura un partenaire autrichien d'ici le mois de septembre.
L'Algérie va aussi développer l e s autres secteurs, tel que l'automobile ?
Nous sommes très fiers que l'Autriche fasse partie de ce projet de la construction automobile en Algérie en coopération avec la SNVI qui va produire toutes sortes de voitures, y compris une voiture qui a une grande histoire autrichienne construite à Graz. Il y aura également une fabrication à Tiaret.
Il y a aussi des entreprises privées associées à ce projet ?
C'est pour un chaîne de télévision comme la vôtre qui s'intéresse à la communauté magrébine à l'étranger. Les années 90 ont été pour nous des cycles de formation, car il y avait une modernisation mondiale avec la globalisation qui se fait.
Les données ont changé et avec l'entrée de l'Autriche dans l'Union européenne, nous avons besoin des investisseurs privés. Nous avons eu la chance de trouver un investisseur privé de nationalité autrichienne installé au Canada et qui est revenu avec ses moyens et son amour pour sa patrie. Il a pris cette industrie (automobile) en main et il a développé son process de production qui fait vivre beaucoup de monde en Autriche. Il y a eu des contacts en Algérie pour faire de la sorte.
Ce lien public-privé à l'ère de la mondialisation, notamment au niveau européen, est une nécessité. Par exemple, la Belgique avec 150 milliards d'euros d'épargne prouve que la population a bien travaillé et a les moyens de soutenir le pays où les banques garantissent jusqu'à 100.000 euros, est-ce le cas en Autriche ?
Les Autrichiens, tout comme les Belges, sont de grands épargnants et les épargnants privés en Autriche, aujourd'hui sont de l'ordre de 61 % du produit intérieur brut autrichien. Alors, toutes les dettes publiques sont balancées avec cette épargne et nous avons peut-être, évité la crise, car tout le monde travaille beaucoup et nous avons eu une bonne gouvernance pour gérer la crise en étant dans l'Union européenne. Les Autrichiens ne sont pas trop dans les actions, mais ils ont une tradition d'épargne, c'est comme l'Algérie.
Aujourd'hui, en Algérie, i l y a de grandes organisations patronales à l'instar du Forum des chefs d'entreprise,qu'en pensez-vous ?
Il y a des initiatives, maintenant, notamment pour les sociétés spécialisées dans l'environnement. Je suis très contente qu'il existe, en Algérie, une conscience dans ce domaine.
Le domaine de l'agriculture entre aussi dans le domaine des échanges. On a vu une foire algérienne en Autriche...
Nous allons voir de nombreuses entreprises au salon de l'agriculture SIPSA (prévue à la Safex au courant du mois de mai) alors qu'un partenariat existe déjà entre des opérateurs de la région de Khenchela et des entrepreneurs de la région autrichienne du Tyrol qui ont signé en janvier dernier un très important accord de partenariat, notamment dans le secteur de l'agriculture, ainsi qu'un mémorandum d'entente entre l'Algérie et l'Autriche dans le domaine agricole. On parle également de l'élevage et de l'augmentation de la productivité et l'autonomie dans les aliments ainsi que le secteur forestier.
L'Ansej et d'autres entités en Algérie ont créé beaucoup d'emplois dans le secteur agricole. Aussi, nous avons un programme de formation pour les ingénieurs agronomes algériens. Le sud de Khenchela est un exemple de développement et l'Etat algérien a augmenté les investissements dans le secteur agricole et l'agroalimentaire.
Vous avez le niveau et nous avons les moyens et grâce à notre communauté en Autriche dont certains ont réussi en Europe et qui veulent intervenir dans leur pays d'origine au Maghreb.
Un opérateur algérien spécialisé dans l'huile d'olive est présent à Graz, il a pensé faire le va-et-vient entre nos deux pays ; Il y a de nombreux opérateurs algériens établis en Autriche dans les secteurs de l'industrie, de l'agroalimentaire, tandis que plusieurs Algériens travaillent dans l'enseignement de la langue, de la religion et dans le secteur des sciences.
Récemment, nous avons appris que des Algériens sont intéressés par le secteur du tourisme, car il y aura beaucoup de touristes algériens en Autriche qui vont visiter Vienne sachant que le secteur du tourisme a une part importante dans le PIB.


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