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Les jeunes réalisateurs algériens en force
Festival de Carthage
Publié dans Le Midi Libre le 02 - 12 - 2014

La jeune génération de cinéastes algériens, tous genres de cinéma confondus, sera présente en force à la compétition officielle des 25es Journées cinématographiques de Carthage (JCC), ouvertes samedi en début de soirée à Tunis.
La jeune génération de cinéastes algériens, tous genres de cinéma confondus, sera présente en force à la compétition officielle des 25es Journées cinématographiques de Carthage (JCC), ouvertes samedi en début de soirée à Tunis.
Avec six oeuvres en compétition dans les catégories documentaire, court et long métrages de fiction, les cinéastes algériens retenus pour la course au Tanit d'or présentent pour la plupart leur première ou leur seconde production. Cette année, l'Algérie est le seul pays à présenter deux films en compétition, à savoir El Wahrani (L'Oranais), de Lyès Salem, et Loubia hamra, de Narimane Mari, qui seront en lice avec 13 autres longs métrages, dont Bidoun 2, du Tunisien Jilani Saadi, C'est eux les chiens, du Marocain Hicham Lasri ou encore Omar, du Palestinien Hani Abu Assad.
Dans la catégorie court métrage, Anis Djaâd et Karim Moussaoui, deux jeunes réalisateurs algériens qui se distinguent par leurs productions, présenteront, respectivement, Passage à niveau et Les jours d'avant au côté d'une vingtaine d'autres films. El oued, el oued, de Abdennour Zahzah, et Chantier A, co-réalisé par Tarek Sami, Lucie Dèche et Karim Loualiche se disputeront le Grand prix du documentaire avec des oeuvres comme Nelson Mandela et moi, du Sudafricain Khalo Matabane, Infiltrators du Palestinien Khaled Jarrar ou encore Un retour, du Tunisien Abdallah Yahia.
Ces jeunes réalisateurs participant aux 25e JCC, un évènement dédié au cinéma arabe et africain, ont pour la plupart déjà obtenu plusieurs distinctions nationales et internationales. Hors compétition, Baraket, de Djamila Sahraoui et Enemy way de Rachid Bouchareb seront projetés dans la section Cinémas du monde alors que Esstouh (Les terrasses) de Merzak Allouache et Danbé la tête haute de Boualem Guerdjou seront projetés en séance spéciale.
Initiée pour rendre compte du dynamisme cinématographique dans la région, la section Tarchikat, dédiée aux "essais qui échappent à la catégorisation", connaîtra la projection, entre autres, de Chroniques équivoques, de Lamine Ammar Khodja, C'est dans la boîte, de Djamil Beloucif, et Tarzan, Don Quichotte et nous, de Hassen Ferhani.
Le réalisateur Nadir Moknèche fera partie du jury des compétitions du court et du long métrage, présidé par l'acteur américain Dany Glover, alors que le cinéaste Abdelkrim Bahloul sera membre du jury de la compétition nationale dédiée aux productions tunisiennes. En plus de la soixantaine de films de la compétition internationale, des oeuvres tunisiennes et des sections parallèles, les organisateurs des JCC prévoient des cycles-hommage à des cinéastes comme le documentariste sénégalais Samba Felix N'diaye ou le conteur, écrivain et réalisateur Nacer Khemir et une section Festival des enfants.
Des rencontres sur le rôle des cinémathèques ou la place des cinémas arabes et africains dans les salles européennes sont également au programme des JCC, en plus de la tenue d'un forum méditerranéen de l'audiovisuel. Un atelier visant à soutenir des projets africains et arabes en phase de post-production se tiendra également en marge des JCC. Intitulé Takmil (finition), cet atelier offre des bourses aux jeunes cinéastes pour finaliser leurs productions après approbation du jury.
Les 25es JCC se tiendront dans neuf salles de cinéma de Tunis. Pour la première fois, cette année, d'autres six autres villes tunisiennes accueilleront ces Journées qui se poursuivront jusqu'au 6 décembre. Organisées depuis leur création en 1966 tous les deux ans, en alternance avec le Fespaco, autre grand rendez-vous cinématographique en Afrique, les JCC se tiendront désormais annuellement.
Avec six oeuvres en compétition dans les catégories documentaire, court et long métrages de fiction, les cinéastes algériens retenus pour la course au Tanit d'or présentent pour la plupart leur première ou leur seconde production. Cette année, l'Algérie est le seul pays à présenter deux films en compétition, à savoir El Wahrani (L'Oranais), de Lyès Salem, et Loubia hamra, de Narimane Mari, qui seront en lice avec 13 autres longs métrages, dont Bidoun 2, du Tunisien Jilani Saadi, C'est eux les chiens, du Marocain Hicham Lasri ou encore Omar, du Palestinien Hani Abu Assad.
Dans la catégorie court métrage, Anis Djaâd et Karim Moussaoui, deux jeunes réalisateurs algériens qui se distinguent par leurs productions, présenteront, respectivement, Passage à niveau et Les jours d'avant au côté d'une vingtaine d'autres films. El oued, el oued, de Abdennour Zahzah, et Chantier A, co-réalisé par Tarek Sami, Lucie Dèche et Karim Loualiche se disputeront le Grand prix du documentaire avec des oeuvres comme Nelson Mandela et moi, du Sudafricain Khalo Matabane, Infiltrators du Palestinien Khaled Jarrar ou encore Un retour, du Tunisien Abdallah Yahia.
Ces jeunes réalisateurs participant aux 25e JCC, un évènement dédié au cinéma arabe et africain, ont pour la plupart déjà obtenu plusieurs distinctions nationales et internationales. Hors compétition, Baraket, de Djamila Sahraoui et Enemy way de Rachid Bouchareb seront projetés dans la section Cinémas du monde alors que Esstouh (Les terrasses) de Merzak Allouache et Danbé la tête haute de Boualem Guerdjou seront projetés en séance spéciale.
Initiée pour rendre compte du dynamisme cinématographique dans la région, la section Tarchikat, dédiée aux "essais qui échappent à la catégorisation", connaîtra la projection, entre autres, de Chroniques équivoques, de Lamine Ammar Khodja, C'est dans la boîte, de Djamil Beloucif, et Tarzan, Don Quichotte et nous, de Hassen Ferhani.
Le réalisateur Nadir Moknèche fera partie du jury des compétitions du court et du long métrage, présidé par l'acteur américain Dany Glover, alors que le cinéaste Abdelkrim Bahloul sera membre du jury de la compétition nationale dédiée aux productions tunisiennes. En plus de la soixantaine de films de la compétition internationale, des oeuvres tunisiennes et des sections parallèles, les organisateurs des JCC prévoient des cycles-hommage à des cinéastes comme le documentariste sénégalais Samba Felix N'diaye ou le conteur, écrivain et réalisateur Nacer Khemir et une section Festival des enfants.
Des rencontres sur le rôle des cinémathèques ou la place des cinémas arabes et africains dans les salles européennes sont également au programme des JCC, en plus de la tenue d'un forum méditerranéen de l'audiovisuel. Un atelier visant à soutenir des projets africains et arabes en phase de post-production se tiendra également en marge des JCC. Intitulé Takmil (finition), cet atelier offre des bourses aux jeunes cinéastes pour finaliser leurs productions après approbation du jury.
Les 25es JCC se tiendront dans neuf salles de cinéma de Tunis. Pour la première fois, cette année, d'autres six autres villes tunisiennes accueilleront ces Journées qui se poursuivront jusqu'au 6 décembre. Organisées depuis leur création en 1966 tous les deux ans, en alternance avec le Fespaco, autre grand rendez-vous cinématographique en Afrique, les JCC se tiendront désormais annuellement.


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