Les deux individus, ayant kidnappé et assassiné Mebrek Amirouche en janvier 2014 à Tizi-Ouzou, ont été condamnés à mort hier, par le tribunal criminel de Tizi Ouzou. Il s'agit de Madjid O., âgé de 47 ans et originaire de la commune de M'kira, dans la daïra de Tizi- Ghennif, à trente kilomètres au sud du cheflieu de la wilaya de Tizi-Ouzou et de Youcef A., âgé de 51 ans originaire de Ouacif. Les deux individus, ayant kidnappé et assassiné Mebrek Amirouche en janvier 2014 à Tizi-Ouzou, ont été condamnés à mort hier, par le tribunal criminel de Tizi Ouzou. Il s'agit de Madjid O., âgé de 47 ans et originaire de la commune de M'kira, dans la daïra de Tizi- Ghennif, à trente kilomètres au sud du cheflieu de la wilaya de Tizi-Ouzou et de Youcef A., âgé de 51 ans originaire de Ouacif. C'est d'ailleurs dans cette commune que cet accusé a été arrêté par les gendarmes le 31 janvier 2015. Le procès, qui a démarré avant-hier dimanche, a duré plusieurs heures où accusés, témoins et avocats ont défilé devant les jurés. L'un des accusés a nié en bloc toute implication dans cette affaire contrairement au deuxième qui a même avoué avoir été la personne qui a contacté par téléphone la famille de Amirouche Mebrek dans la commune d'Ath Zmenzer (daïra d'Ath- Douala) à 15 kilomètres de Tizi-Ouzou, pour exiger une rançon de 300 millions de centimes en contrepartie de la libération de l'otage. Mais ce dernier, pour rappel, a été retrouvé assassiné, cinq jours après sa disparition et ce, dans une rivière sise sur le territoire de la commune d'Agouni-Gueghrane (daïra des Ouadhias). Ce drame a provoqué, à l'époque, une vague d'indignation dans toute la région d'Ath-Zmenzer mais aussi à Ath-Douala et partout dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Le fait que l'otage ait été assassiné et ne soit pas relâché, au moment où tout le monde s'attendait au contraire, a engendré un grand choc chez la population de la région. Cette dernière s'est pourtant mobilisée de jour comme de nuit afin de faire pression sur les ravisseurs et les pousser à libérer sain et sauf l'otage qui était un jeune commerçant, rappelle-t-on. Le réquisitoire du procureur, prononcé dans la soirée de dimanche dernier, a été également la peine capitale. Les chefs d'accusation retenus contre les deux mis en cause sont : enlèvement et homicide volontaire avec préméditation. C'est d'ailleurs dans cette commune que cet accusé a été arrêté par les gendarmes le 31 janvier 2015. Le procès, qui a démarré avant-hier dimanche, a duré plusieurs heures où accusés, témoins et avocats ont défilé devant les jurés. L'un des accusés a nié en bloc toute implication dans cette affaire contrairement au deuxième qui a même avoué avoir été la personne qui a contacté par téléphone la famille de Amirouche Mebrek dans la commune d'Ath Zmenzer (daïra d'Ath- Douala) à 15 kilomètres de Tizi-Ouzou, pour exiger une rançon de 300 millions de centimes en contrepartie de la libération de l'otage. Mais ce dernier, pour rappel, a été retrouvé assassiné, cinq jours après sa disparition et ce, dans une rivière sise sur le territoire de la commune d'Agouni-Gueghrane (daïra des Ouadhias). Ce drame a provoqué, à l'époque, une vague d'indignation dans toute la région d'Ath-Zmenzer mais aussi à Ath-Douala et partout dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Le fait que l'otage ait été assassiné et ne soit pas relâché, au moment où tout le monde s'attendait au contraire, a engendré un grand choc chez la population de la région. Cette dernière s'est pourtant mobilisée de jour comme de nuit afin de faire pression sur les ravisseurs et les pousser à libérer sain et sauf l'otage qui était un jeune commerçant, rappelle-t-on. Le réquisitoire du procureur, prononcé dans la soirée de dimanche dernier, a été également la peine capitale. Les chefs d'accusation retenus contre les deux mis en cause sont : enlèvement et homicide volontaire avec préméditation.
