L ' Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS) a divulgué son rapport de l'année 2014 listant les pays producteurs de résine de cannabis. C'est sans surprise que l'on apprend que le Maroc reste toujours le premier producteur de résine de cannabis sur le continent africain et l'un des premiers au monde, selon l'Organe international de contrôle des stupéfiants OICS). L ' Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS) a divulgué son rapport de l'année 2014 listant les pays producteurs de résine de cannabis. C'est sans surprise que l'on apprend que le Maroc reste toujours le premier producteur de résine de cannabis sur le continent africain et l'un des premiers au monde, selon l'Organe international de contrôle des stupéfiants OICS). "Le Maroc reste toujours le premier producteur de résine de cannabis sur le continent et l'un des premiers au monde, même s'il semble, d'après certaines informations, que la production y soit en recul", a affirmé l'OICS dans son nouveau rapport de l'année 2014, dont l'APS a obtenu une copie. Selon ce rapport, l'"Afrique du Nord, qui a enregistré une augmentation des saisies de résine, demeure la sous-région de ce continent où sont saisies les plus grandes quantités de cette substance". Sans le mentionner explicitement, le rapport vise notamment l'Algérie où selon, le bilan algérien des services de lutte contre les stupéfiants, publié le mois de février dernier "près de 182 tonnes de résines de cannabis ont été saisies en 2014 en Algérie". Les saisies les plus importantes qui ont été réalisées dans la sous-région (Afrique du Nord), selon l'OICS, ont été signalées par l'Algérie (où elles sont passées de 53 tonnes en 2011 à plus de 211 tonnes en 2013). Ce bilan, laisse constater que "80,80 % des quantités du cannabis saisies ont été enregistrées dans la région ouest du pays", soulignant que "plus de 105 tonnes de ce type de drogue ont été saisies aux frontières". "La résine de cannabis fait aussi l'objet d'une contrebande, à destination principalement de l'Europe", a souligné cet organe. Il a souligné que le cannabis "reste une drogue illicite très préoccupante" en Afrique et sa production, son trafic et son abus "continuent de poser de graves problèmes". Le rapport de l'OICS confirme que la filière marocaine est très largement mise en cause dans le trafic de drogue en Algérie. Le directeur général de l'Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie (ONLDT), Mohamed Benhalla a affirmé, en novembre dernier que la totalité des quantités de résine de cannabis saisies, qui représente la plus grande quantité des drogues saisies en Algérie, provient du pays voisin, le Maroc. Le premier responsable de l'ONLDT a notamment indiqué que "la résine de cannabis qui représente la plus grande quantité des drogues saisies en Algérie, provient du pays voisin, le Maroc, c'est connu universellement". De même, il a précisé que l'Algérie demeure "un pays de transit". Selon le bilan des services de lutte de l'année 2014, il s'avère que "80,80% du cannabis saisi ont été enregistrés dans la région ouest du pays", a ajouté le même responsable, révélant que plus de 105 tonnes de ce type de drogue ont été saisies aux frontières. Le même constat accablant culpabilisant le royaume chérifien a été dressé par l'Office des Nations unies pour la drogue et le crime (ONUDC) pour l'année 2014, à savoir que la superficie consacrée à la culture de cannabis au Maroc est estimée à 57 000 hectares contre 10.000 hectares en Afghanistan. Ces chiffres viennent corroborer le rapport élaboré par l'Observatoire européen de toxicomanie et de drogue, publié à l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre la drogue et le trafic illicite, le 26 juin 2014. En effet, selon ce rapport, le Maroc a maintenu sa place en tant que principal pays exportateur de résine de cannabis (hachich) vers les pays européens. Grâce aux efforts menés par les services de lutte, près de 182 tonnes de résines de cannabis ont été saisies en 2014 en Algérie, contre plus de 211 tonnes en 2013. Ce qui équivaut à une baisse de 13 %. Sur la base de ses activités, l'OICS publie un rapport annuel qui est présenté au Conseil économique et social de l'ONU par l'intermédiaire de la Commission des stupéfiants. Ce rapport examine de près la situation en matière de contrôle des drogues dans les diverses régions du monde. "Le Maroc reste toujours le premier producteur de résine de cannabis sur le continent et l'un des premiers au monde, même s'il semble, d'après certaines informations, que la production y soit en recul", a affirmé l'OICS dans son nouveau rapport de l'année 2014, dont l'APS a obtenu une copie. Selon ce rapport, l'"Afrique du Nord, qui a enregistré une augmentation des saisies de résine, demeure la sous-région de ce continent où sont saisies les plus grandes quantités de cette substance". Sans le mentionner explicitement, le rapport vise notamment l'Algérie où selon, le bilan algérien des services de lutte contre les stupéfiants, publié le mois de février dernier "près de 182 tonnes de résines de cannabis ont été saisies en 2014 en Algérie". Les saisies les plus importantes qui ont été réalisées dans la sous-région (Afrique du Nord), selon l'OICS, ont été signalées par l'Algérie (où elles sont passées de 53 tonnes en 2011 à plus de 211 tonnes en 2013). Ce bilan, laisse constater que "80,80 % des quantités du cannabis saisies ont été enregistrées dans la région ouest du pays", soulignant que "plus de 105 tonnes de ce type de drogue ont été saisies aux frontières". "La résine de cannabis fait aussi l'objet d'une contrebande, à destination principalement de l'Europe", a souligné cet organe. Il a souligné que le cannabis "reste une drogue illicite très préoccupante" en Afrique et sa production, son trafic et son abus "continuent de poser de graves problèmes". Le rapport de l'OICS confirme que la filière marocaine est très largement mise en cause dans le trafic de drogue en Algérie. Le directeur général de l'Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie (ONLDT), Mohamed Benhalla a affirmé, en novembre dernier que la totalité des quantités de résine de cannabis saisies, qui représente la plus grande quantité des drogues saisies en Algérie, provient du pays voisin, le Maroc. Le premier responsable de l'ONLDT a notamment indiqué que "la résine de cannabis qui représente la plus grande quantité des drogues saisies en Algérie, provient du pays voisin, le Maroc, c'est connu universellement". De même, il a précisé que l'Algérie demeure "un pays de transit". Selon le bilan des services de lutte de l'année 2014, il s'avère que "80,80% du cannabis saisi ont été enregistrés dans la région ouest du pays", a ajouté le même responsable, révélant que plus de 105 tonnes de ce type de drogue ont été saisies aux frontières. Le même constat accablant culpabilisant le royaume chérifien a été dressé par l'Office des Nations unies pour la drogue et le crime (ONUDC) pour l'année 2014, à savoir que la superficie consacrée à la culture de cannabis au Maroc est estimée à 57 000 hectares contre 10.000 hectares en Afghanistan. Ces chiffres viennent corroborer le rapport élaboré par l'Observatoire européen de toxicomanie et de drogue, publié à l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre la drogue et le trafic illicite, le 26 juin 2014. En effet, selon ce rapport, le Maroc a maintenu sa place en tant que principal pays exportateur de résine de cannabis (hachich) vers les pays européens. Grâce aux efforts menés par les services de lutte, près de 182 tonnes de résines de cannabis ont été saisies en 2014 en Algérie, contre plus de 211 tonnes en 2013. Ce qui équivaut à une baisse de 13 %. Sur la base de ses activités, l'OICS publie un rapport annuel qui est présenté au Conseil économique et social de l'ONU par l'intermédiaire de la Commission des stupéfiants. Ce rapport examine de près la situation en matière de contrôle des drogues dans les diverses régions du monde.
