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L'EI est entré dans le musée de Palmyre
Syrie
Publié dans Le Midi Libre le 25 - 05 - 2015

Les joyaux sont intacts, pour le moment. Le groupe jihadiste Etat islamique (EI), qui a conquis cette semaine la célèbre cité antique de Palmyre, a pénétré jeudi 21 mai, dans le musée de la ville sans, toutefois, détruire les précieuses pièces archéologiques, a affirmé samedi 23 mai le chef des Antiquités syriennes.
Les joyaux sont intacts, pour le moment. Le groupe jihadiste Etat islamique (EI), qui a conquis cette semaine la célèbre cité antique de Palmyre, a pénétré jeudi 21 mai, dans le musée de la ville sans, toutefois, détruire les précieuses pièces archéologiques, a affirmé samedi 23 mai le chef des Antiquités syriennes.
Maamoun Abdelkarim a, par ailleurs, indiqué que l'EI avait planté son drapeau sur le toit de la citadelle mamelouk du XIIIe siècle qui domine la cité antique.
Les jihadistes sont entrés le même jour dans le musée, "ont brisé des répliques en plâtre représentant des personnes vivant il y a 100.000 ans et sont revenus vendredi, ont fermé les portes et ont mis des gardes devant", a-t-il indiqué lors d'une conférence de presse à Damas, affirmant détenir ces informations d'habitants de Palmyre.
Il a souligné qu'il "ne restait presque plus rien dans le musée", situé dans la ville en dehors du site archéologique. "Nous avons envoyé progressivement les pièces antiques à Damas, mais il y a des pièces énormes comme les sarcophages (à l'entrée du musée) qui pèsent 3 à 4 tonnes et que nous ne pouvons pas faire bouger. C'est cela qui nous inquiète", a-t-il dit, en référence à des sarcophages en haut relief romano-byzantins représentants généralement un chef de famille, sa femme et ses enfants. Maamoun Abdelkarim a par ailleurs précisé qu'il n'y avait pas eu, pour le moment, de mouvements de de l'EI sur le site archéologique.
Maamoun Abdelkarim a, par ailleurs, indiqué que l'EI avait planté son drapeau sur le toit de la citadelle mamelouk du XIIIe siècle qui domine la cité antique.
Les jihadistes sont entrés le même jour dans le musée, "ont brisé des répliques en plâtre représentant des personnes vivant il y a 100.000 ans et sont revenus vendredi, ont fermé les portes et ont mis des gardes devant", a-t-il indiqué lors d'une conférence de presse à Damas, affirmant détenir ces informations d'habitants de Palmyre.
Il a souligné qu'il "ne restait presque plus rien dans le musée", situé dans la ville en dehors du site archéologique. "Nous avons envoyé progressivement les pièces antiques à Damas, mais il y a des pièces énormes comme les sarcophages (à l'entrée du musée) qui pèsent 3 à 4 tonnes et que nous ne pouvons pas faire bouger. C'est cela qui nous inquiète", a-t-il dit, en référence à des sarcophages en haut relief romano-byzantins représentants généralement un chef de famille, sa femme et ses enfants. Maamoun Abdelkarim a par ailleurs précisé qu'il n'y avait pas eu, pour le moment, de mouvements de de l'EI sur le site archéologique.


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