Le FIOFA a rendu ces hommages posthumes en signe de reconnaissance et de grand respect à ces noms qui ont illuminé à jamais les scènes cinématographiques de leur pays respectif et du monde arabe en général. Le FIOFA a rendu ces hommages posthumes en signe de reconnaissance et de grand respect à ces noms qui ont illuminé à jamais les scènes cinématographiques de leur pays respectif et du monde arabe en général. La 8e édition du Festival d'Oran du film arabe (FOFA) s'est ouverte, mercredi dernier en début de soirée au Centre des conventions d'Oran, en présence du ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, du ministre de la Communication, Hamid Grine, du président de l'Autorité de régulation audiovisuelle, Miloud Chorfi, des autorités locales et d'un grand nombre d'invités et d'une pléiade de vedettes nationales et arabes du monde des arts et de la culture, à l'exemple de Leïla Aloui, Yahia El Fakhrani, Sabah el Djazaîri et de la Franco-Italienne Claudia Cardinale, ainsi que de l'ensemble de la famille du septième art. Après les traditionnels discours officiels prononcés par le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi et du commissaire du festival, Brahim Sedikki, ainsi que la prise de parole de l'ensemble des artistes invités d'honneur, l'orchestre symphonique national sous la conduite du maestro Farid Aoumar, s'est invité à honorer cet événement par un concert de haute facture en exécutant un répertoire de musiques de films algériens, riche et varié dans une symbiose parfaite. La soirée ne s'est pas limitée à cela, puisque plusieurs figures du 7e art national et arabeont été honorées à titre posthume. Il s'agit du défunt militant cinéaste Amar Laskri, des comédiens Sid-Ali kouiret, Fatiha Berber, Faten Hamama (Egypte), l'auteure- cinéaste Assia Djebar et le journaliste critique syrien Qusseï Salah Derwich. Leur apport et contribution inestimables au cinéma arabe ont été salués par les organisateurs et les festivaliers. Les noms et les visages de ces personnalités resteront à jamais gravés dans la mémoire collective. Le FIOFA a rendu ces hommages posthumes en signe de reconnaissance et de grand respect à ces noms qui ont illuminé à jamais les scènes cinématographiques de leur pays respectif et du monde arabe en général. Les organisateurs du FIOFA ont également désigné le cinéaste Mohamed Lakhdar Hamina, président d'honneur de cette 8e édition en lui rendant également un hommage particulier et appuyé à l'occasion des 40 ans de la palme d'or qu'il a arraché, en 1975, au festival international de Cannes, pour son film Chroniques des années de braise. Lakhdar Hamina est jusqu'à présent, l'unique cinéaste arabe et africain à obtenir cette haute distinction de ce prestigieux festival international se déroulant à la Croisette. 17 pays arabes participent aux compétitions officielles avec 38 films en lice dans les trois sections : long et court métrages et documentaire. En hors compétition, dans le cadre de la célébration du 60e anniversaire du déclenchement de la Révolution du 1er novembre 1954, il sera proposé au public cinéphile oranais quelque 14 films nationaux dont les toutes dernières productions comme Colonel Lotfi d'Ahmed Rachedi, Crépuscule des ombres de mohamed Lakhdar. Echos du festival *S'il y a bien un "film", à avoir volé la vedette lors de cet événement, c'est sans nul doute celui de l'artiste chanteur Abdou Driassa intitulé Gifler une journaliste. Ce dernier a osé lever la main sur une femme qui a approché son père pour une éventuelle déclaration sur le déroulement de l'événement. Cela dans une situation qui n'honore ni sa famille, ni sa corporation, car il était soûl, et devant toutes les personnalités présentes, Abdou l'a fait ! Les concernés prendront-ils acte ? Wait and see. *D'importants moyens techniques des entreprises de la télévision nationale (EPTV) et de la télédiffusion (TDA) ont été mobilisés pour la bonne transmission de cette cérémonie qui a été proposée aux pays membres de l'Union des télévisions arabes. *Plus de 300 journalistes, dont 57 étrangers, sont accrédités pour couvrir le FIOFA 2015 en plus de 10 télévisions étrangères et 15 autres chaînes privées nationales. 100 journalistes et techniciens des médias lourds publics et plus d'une soixantaine de journalistes locaux doivent également rendre compte du déroulement de cet évènement cinématographique. *Pour confirmer sa vocation de capitale du 7e art arabe, Oran vient de se doter d'une "place du cinéma" au quartier populaire d'El Hamri, avec l'inauguration d'une statue représentant un cinéaste derrière sa caméra et d'un mur sur lequel ont été placardées 60 affiches des plus prestigieux films algériens. Les organisateurs du FIOFA, par cette initiative, ont voulu faire sortir le cinéma dans la rue au grand bonheur des passants. *L'Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) organise, parallèlement au Festival international du film arabe, un atelier du scénario "Méditalent" à Oran. L'occasion est donnée aux jeunes scénaristes de côtoyer les professionnels arabes et étrangers. La 8e édition du Festival d'Oran du film arabe (FOFA) s'est ouverte, mercredi dernier en début de soirée au Centre des conventions d'Oran, en présence du ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, du ministre de la Communication, Hamid Grine, du président de l'Autorité de régulation audiovisuelle, Miloud Chorfi, des autorités locales et d'un grand nombre d'invités et d'une pléiade de vedettes nationales et arabes du monde des arts et de la culture, à l'exemple de Leïla Aloui, Yahia El Fakhrani, Sabah el Djazaîri et de la Franco-Italienne Claudia Cardinale, ainsi que de l'ensemble de la famille du septième art. Après les traditionnels discours officiels prononcés par le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi et du commissaire du festival, Brahim Sedikki, ainsi que la prise de parole de l'ensemble des artistes invités d'honneur, l'orchestre symphonique national sous la conduite du maestro Farid Aoumar, s'est invité à honorer cet événement par un concert de haute facture en exécutant un répertoire de musiques de films algériens, riche et varié dans une symbiose parfaite. La soirée ne s'est pas limitée à cela, puisque plusieurs figures du 7e art national et arabeont été honorées à titre posthume. Il s'agit du défunt militant cinéaste Amar Laskri, des comédiens Sid-Ali kouiret, Fatiha Berber, Faten Hamama (Egypte), l'auteure- cinéaste Assia Djebar et le journaliste critique syrien Qusseï Salah Derwich. Leur apport et contribution inestimables au cinéma arabe ont été salués par les organisateurs et les festivaliers. Les noms et les visages de ces personnalités resteront à jamais gravés dans la mémoire collective. Le FIOFA a rendu ces hommages posthumes en signe de reconnaissance et de grand respect à ces noms qui ont illuminé à jamais les scènes cinématographiques de leur pays respectif et du monde arabe en général. Les organisateurs du FIOFA ont également désigné le cinéaste Mohamed Lakhdar Hamina, président d'honneur de cette 8e édition en lui rendant également un hommage particulier et appuyé à l'occasion des 40 ans de la palme d'or qu'il a arraché, en 1975, au festival international de Cannes, pour son film Chroniques des années de braise. Lakhdar Hamina est jusqu'à présent, l'unique cinéaste arabe et africain à obtenir cette haute distinction de ce prestigieux festival international se déroulant à la Croisette. 17 pays arabes participent aux compétitions officielles avec 38 films en lice dans les trois sections : long et court métrages et documentaire. En hors compétition, dans le cadre de la célébration du 60e anniversaire du déclenchement de la Révolution du 1er novembre 1954, il sera proposé au public cinéphile oranais quelque 14 films nationaux dont les toutes dernières productions comme Colonel Lotfi d'Ahmed Rachedi, Crépuscule des ombres de mohamed Lakhdar. Echos du festival *S'il y a bien un "film", à avoir volé la vedette lors de cet événement, c'est sans nul doute celui de l'artiste chanteur Abdou Driassa intitulé Gifler une journaliste. Ce dernier a osé lever la main sur une femme qui a approché son père pour une éventuelle déclaration sur le déroulement de l'événement. Cela dans une situation qui n'honore ni sa famille, ni sa corporation, car il était soûl, et devant toutes les personnalités présentes, Abdou l'a fait ! Les concernés prendront-ils acte ? Wait and see. *D'importants moyens techniques des entreprises de la télévision nationale (EPTV) et de la télédiffusion (TDA) ont été mobilisés pour la bonne transmission de cette cérémonie qui a été proposée aux pays membres de l'Union des télévisions arabes. *Plus de 300 journalistes, dont 57 étrangers, sont accrédités pour couvrir le FIOFA 2015 en plus de 10 télévisions étrangères et 15 autres chaînes privées nationales. 100 journalistes et techniciens des médias lourds publics et plus d'une soixantaine de journalistes locaux doivent également rendre compte du déroulement de cet évènement cinématographique. *Pour confirmer sa vocation de capitale du 7e art arabe, Oran vient de se doter d'une "place du cinéma" au quartier populaire d'El Hamri, avec l'inauguration d'une statue représentant un cinéaste derrière sa caméra et d'un mur sur lequel ont été placardées 60 affiches des plus prestigieux films algériens. Les organisateurs du FIOFA, par cette initiative, ont voulu faire sortir le cinéma dans la rue au grand bonheur des passants. *L'Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) organise, parallèlement au Festival international du film arabe, un atelier du scénario "Méditalent" à Oran. L'occasion est donnée aux jeunes scénaristes de côtoyer les professionnels arabes et étrangers.
