Les distributeurs de lait menacent encore une fois de recourir à la grève. Ils veulent obtenir une plus grande marge bénéficiaire, de réduire les charges d'impôts et adapter le registre de commerce à leurs activités. Les distributeurs de lait menacent encore une fois de recourir à la grève. Ils veulent obtenir une plus grande marge bénéficiaire, de réduire les charges d'impôts et adapter le registre de commerce à leurs activités. C'est depuis le début de l'année que les distributeurs de lait sont en agitation. Plusieurs fois reportée, la grève parait l'ultime recours face à une situation qu'ils qualifient de "désastreuse". Au premier plan, note l'un des représentants de la filière au niveau d'Alger, il "y a l'histoire de la marge bénéficiairedérisoire qui se situe actuellement à 0,70 DA alors qu'ils avaient espéré au moins qu cette marge augmente à 0,90 DA". Mais pour l'ensemble des distributeurs ils préfèrent que la marge soit plus correcte afin de ne pas enregistrer de pertes sèches. Rappelons que le décret de 2001 du ministère du Commerce a fixé la marge bénéficiaire de la distribution du lait à 2 DA. Mais pour les représentants de cette filière "il n'est pas question de céder et nous avons adressé nos revendications au ministère et s'il ne répond pas, nous déclencheront la grève". Pourtant, le département de Bakhti Belaieb a promis d'accompagner le secteur de la distribution du lait en leur accordant des enveloppes financières, mais ces derniers n'en veulent pas. Ils estiment qu'avec le coût du carburant et les taxes qu'ils paient, ils se noient dans les difficultés. La plupart de ces distributeurs travaillent avec des moyens de transport vétustes, dans le registre du commerce, il y a la mention "activités de transport de marchandises". Pour eux, la tutelle doit changer cette appellation en la conformant à "distributeur de lait". Le même ministère s'est engagé à faire adapter cette législation. Mais des jours après, les distributeurs assurent que rien n'est venu. Ils attendent donc une réponse pour mettre un terme à leur menace de débrayage au cas où la réponse serait favorable. C'est depuis le début de l'année que les distributeurs de lait sont en agitation. Plusieurs fois reportée, la grève parait l'ultime recours face à une situation qu'ils qualifient de "désastreuse". Au premier plan, note l'un des représentants de la filière au niveau d'Alger, il "y a l'histoire de la marge bénéficiairedérisoire qui se situe actuellement à 0,70 DA alors qu'ils avaient espéré au moins qu cette marge augmente à 0,90 DA". Mais pour l'ensemble des distributeurs ils préfèrent que la marge soit plus correcte afin de ne pas enregistrer de pertes sèches. Rappelons que le décret de 2001 du ministère du Commerce a fixé la marge bénéficiaire de la distribution du lait à 2 DA. Mais pour les représentants de cette filière "il n'est pas question de céder et nous avons adressé nos revendications au ministère et s'il ne répond pas, nous déclencheront la grève". Pourtant, le département de Bakhti Belaieb a promis d'accompagner le secteur de la distribution du lait en leur accordant des enveloppes financières, mais ces derniers n'en veulent pas. Ils estiment qu'avec le coût du carburant et les taxes qu'ils paient, ils se noient dans les difficultés. La plupart de ces distributeurs travaillent avec des moyens de transport vétustes, dans le registre du commerce, il y a la mention "activités de transport de marchandises". Pour eux, la tutelle doit changer cette appellation en la conformant à "distributeur de lait". Le même ministère s'est engagé à faire adapter cette législation. Mais des jours après, les distributeurs assurent que rien n'est venu. Ils attendent donc une réponse pour mettre un terme à leur menace de débrayage au cas où la réponse serait favorable.