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Ould Abbès réunit le bureau politique demain
Fraîchement élu à la tète du FLN
Publié dans Le Midi Libre le 25 - 10 - 2016

Le nouveau secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbès, a convoqué une réunion du bureau politique pour demain.
Le nouveau secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbès, a convoqué une réunion du bureau politique pour demain.
C'est la première réunion organique que tiendra le nouveau SG, qui a remplacé samedi dernier Amar Saïdani. Djamel Ould Abbès, plusieurs fois ministre et actuellement sénateur du tiers présidentiel et vice-président du Conseil de la nation, décide de maintenir inchangée la composante du BP, préférant oeuvrer au redéploiement du FLN sur le terrain.
Pour ce faire, il ne perd pas son temps. Au lendemain de sa nomination, Ould Abbès a effectué une sortie sur le terrain, rendant hommage au groupe des 22 qui a déclenché la guerre de Libération nationale.
Attaché à la ligne historique et traditionnelle du parti, le nouveau SG du FLN oeuvre visiblement à effacer l'héritage du désormais ex-secrétaire général du FLN. Djamel Ould Abbès est aussi animé par une volonté de «réunifier» les rangs du FLN. Il avait d'ailleurs clairement invité les différents courants de frondeurs à regagner les rangs du FLN.
«La priorité du moment est l'unification du parti», a-t-il déclaré samedi lors de son intervention à l'issue de la réunion du comité central. Djamel Ould Abbès assure que les portes du parti «sont ouvertes à tout le monde» et particulièrement aux «anciens».
«Je suis disponible et prêt à écouter toutes les parties et tous les militants, à condition qu'ils se conforment au programme du parti qui stipule le soutien au président de la République et à son programme», a-t-il précisé. Conscient de la lourdeur de la tâche qui lui est assignée, à savoir remettre le FLN sur les rails, avant les législatives d'avril 2017, Djamel Ould Abbès semble ainsi mettre les bouchées doubles.
« Une grande annonce pour bientôt »
Djamel Ould Abbes, a affirmé également qu'il faut « s'attendre à une grande annonce pour bientôt » en réponse à une question sur ses déclarations faites la veille sur un soutien à Bouteflika pour 2019.
« Ce qui lie Saâdani à Bouteflika et ce qui nous lie à lui, c'est la fidélité. Et la sincérité, c'est notre force. Inchallah vous allez prendre connaissance de quelque chose d'important très bientôt», a-t-il dit en marge d'une visite à Rais Hamidou, dans la maison où s'est tenue la réunion le 23 octobre 1954 des « six historiques » qui ont décidé du déclenchement de la Révolution. Interrogé pour savoir s'il a reçu une lettre de félicitations de la part du président après sa désignation à la tête du parti en remplacement d'Amar Saâdani, Djamel Ould Abbes a évoqué le secret professionnel.
« Je suis médecin, j'applique la médecine en politique et la politique en médecine », a-t-il dit selon les propos diffusés sur le site facebook du parti. Par ailleurs, Djamel Ould Abbes a réitéré son appel « aux anciens responsables du parti, aux moudjahidine, aux fils de chouhada et aux fils de moudjahidine à rejoindre le parti » qui est « une grande maison ». « Pour être fort en 2017, on doit unir les rangs car rien ne nous sépare.
Le ciment, le point commun, c'est le programme du Président. Les portes sont ouvertes sans exclusive et sans condition », a-t-il ajouté en direction des « redresseurs ». Estimant que sa visite « a un poids moral, spirituel et politique fort », Djamel Ould Abbes a indiqué, en outre, que le « FLN est dépositaire de la mémoire et de l'histoire du peuple algérien ».
Abdelkrim Abada est l'un des anciens dirigeants du FLN.
Depuis quelques années, l'homme est également l'une des figures du mouvement de contestation de l'ex-parti unique. Il s'était opposé à Abdelaziz Belkhadem puis à Amar Saâdani. Il se dit désormais disposé à travailler avec Djamel Ould Abbas mais avec des conditions. Concernant la démission de Amar Saâdani , Abdelkrim Abada déclare avec beaucoup de certitude :
« Ce sont des lectures qu'on a fait. On savait qu'il était fini et on s'attendait cette décision de limogeage. Mais on ignorait quand cela allait avoir lieu. Le président du parti (Abdelaziz Bouteflika) a décidé de mettre un terme aux pratiques de Amar Saâdani qui a commis plusieurs erreurs et a provoqué des problèmes dans le pays avec son discours provocateur. Le président du parti a usé de ses prérogatives »
Il souligne notamment que Ould Abbès « est un militant et un moudjahid. On le connaît en tant que ministre et donc en tant que gestionnaire au sein du gouvernement. Mais la gestion du parti est une autre affaire. On va le tester. »
Des conditions pour travailler avec Ould Abbès
Abdelkrim Abada déclare qu'il est près à travailler avec lui mais « avec des conditions ». Car pour cet ancien militant de l'ex-part unique «il est nécessaire de travailler pour sauver le parti et ne pas continuer à travailler avec les anciennes pratiques. Il y a eu le passage de Abdelaziz Belkhadem et puis de Amar Saâdani à la tête du parti. Le parti doit être réhabilité et remis aux militants. Il faut consacrer la démocratie, la loi, et anéantir la corruption dans le parti ».
L'opposition continue si ...
Bien entendu Abada ne semble pas avoir des illusions. D'ailleurs il souligne à ce propos que « si la nouvelle direction continue à travailler avec les anciennes pratiques, on continuera à s'opposer pour solutionner les problèmes du parti ». Mais à l'heure actuelle la nouvelle direction du FLN n'a pas encore contacté les « opposants » et Abada précise d'ailleurs que «le nouveau secrétaire général du FLN a lancé un appel.
On attend le deuxième pas. Nous on vient de dire qu'on est prêt à travailler avec lui avec les conditions qu'on vient de citer ».
Néanmoins concernant la principale revendication des dissidents, à savoir d'organiser un congrès extraordinaire, alors que OUld Abbès a clairement signifié qu'il compte terminer le mandat de son prédécesseur, jusqu'en 2020, Abada de son côté souhaite «de mettre en place une commission qui va travailler après les législatives et organiser un congrès extraordinaire pour préparer la présidentielle.
Un congrès extraordinaire sans exclusion et sans marginalisation, auquel tous les militants participeront pour dépasser tous les conflits au sein du parti et prendre part à l'élection comme force cohérente». De son côté l'autre dissident du parti Abderrahamane Belayat ne semble pas encore une fois partager les positions de Abada. Pour lui d'abord concernant la démission de Saadani, il « préfère parler de départ au lieu de démission ou d'éviction » en rappelant au passage :
« Saâdani constituait un obstacle devant le rétablissement de la situation légale et légitime au sein du parti. Bien entendu, nous n'avons pas combattu la personne, mais les actes. Nous considérons qu'il bloquait clairement toute voie vers le retour à la légitimité ».
Nous attendons les intentions et les actes de celui qui a succédé à Saâdani. Nous souhaitons qu'il se démarque des actes illégaux de son prédécesseur depuis son arrivée à la tête du Secrétariat général du parti.
Ce n'est pas tout. Il faut qu'il y ait un retour à la légitimité. Nous serons alors disponibles à travailler avec lui dans le cadre d'une Commission ad hoc, et ce, dans la perspective d'assainir la situation actuelle au FLN ». Alors que Abada appelle à l'organisation d'un congrès après les législatives, Belayat maintient sa position :
« Nous souhaitons la tenue d'un congrès rassembleur avant les élections législatives sinon ça sera la débandade et l'anarchie. Ce même congrès constituera un pas indispensable pour le retour à la légitimité. Notre crainte est que Ould Abbes devienne l'otage de ceux qui ont été désignés par Amar Saâdani ».
C'est la première réunion organique que tiendra le nouveau SG, qui a remplacé samedi dernier Amar Saïdani. Djamel Ould Abbès, plusieurs fois ministre et actuellement sénateur du tiers présidentiel et vice-président du Conseil de la nation, décide de maintenir inchangée la composante du BP, préférant oeuvrer au redéploiement du FLN sur le terrain.
Pour ce faire, il ne perd pas son temps. Au lendemain de sa nomination, Ould Abbès a effectué une sortie sur le terrain, rendant hommage au groupe des 22 qui a déclenché la guerre de Libération nationale.
Attaché à la ligne historique et traditionnelle du parti, le nouveau SG du FLN oeuvre visiblement à effacer l'héritage du désormais ex-secrétaire général du FLN. Djamel Ould Abbès est aussi animé par une volonté de «réunifier» les rangs du FLN. Il avait d'ailleurs clairement invité les différents courants de frondeurs à regagner les rangs du FLN.
«La priorité du moment est l'unification du parti», a-t-il déclaré samedi lors de son intervention à l'issue de la réunion du comité central. Djamel Ould Abbès assure que les portes du parti «sont ouvertes à tout le monde» et particulièrement aux «anciens».
«Je suis disponible et prêt à écouter toutes les parties et tous les militants, à condition qu'ils se conforment au programme du parti qui stipule le soutien au président de la République et à son programme», a-t-il précisé. Conscient de la lourdeur de la tâche qui lui est assignée, à savoir remettre le FLN sur les rails, avant les législatives d'avril 2017, Djamel Ould Abbès semble ainsi mettre les bouchées doubles.
« Une grande annonce pour bientôt »
Djamel Ould Abbes, a affirmé également qu'il faut « s'attendre à une grande annonce pour bientôt » en réponse à une question sur ses déclarations faites la veille sur un soutien à Bouteflika pour 2019.
« Ce qui lie Saâdani à Bouteflika et ce qui nous lie à lui, c'est la fidélité. Et la sincérité, c'est notre force. Inchallah vous allez prendre connaissance de quelque chose d'important très bientôt», a-t-il dit en marge d'une visite à Rais Hamidou, dans la maison où s'est tenue la réunion le 23 octobre 1954 des « six historiques » qui ont décidé du déclenchement de la Révolution. Interrogé pour savoir s'il a reçu une lettre de félicitations de la part du président après sa désignation à la tête du parti en remplacement d'Amar Saâdani, Djamel Ould Abbes a évoqué le secret professionnel.
« Je suis médecin, j'applique la médecine en politique et la politique en médecine », a-t-il dit selon les propos diffusés sur le site facebook du parti. Par ailleurs, Djamel Ould Abbes a réitéré son appel « aux anciens responsables du parti, aux moudjahidine, aux fils de chouhada et aux fils de moudjahidine à rejoindre le parti » qui est « une grande maison ». « Pour être fort en 2017, on doit unir les rangs car rien ne nous sépare.
Le ciment, le point commun, c'est le programme du Président. Les portes sont ouvertes sans exclusive et sans condition », a-t-il ajouté en direction des « redresseurs ». Estimant que sa visite « a un poids moral, spirituel et politique fort », Djamel Ould Abbes a indiqué, en outre, que le « FLN est dépositaire de la mémoire et de l'histoire du peuple algérien ».
Abdelkrim Abada est l'un des anciens dirigeants du FLN.
Depuis quelques années, l'homme est également l'une des figures du mouvement de contestation de l'ex-parti unique. Il s'était opposé à Abdelaziz Belkhadem puis à Amar Saâdani. Il se dit désormais disposé à travailler avec Djamel Ould Abbas mais avec des conditions. Concernant la démission de Amar Saâdani , Abdelkrim Abada déclare avec beaucoup de certitude :
« Ce sont des lectures qu'on a fait. On savait qu'il était fini et on s'attendait cette décision de limogeage. Mais on ignorait quand cela allait avoir lieu. Le président du parti (Abdelaziz Bouteflika) a décidé de mettre un terme aux pratiques de Amar Saâdani qui a commis plusieurs erreurs et a provoqué des problèmes dans le pays avec son discours provocateur. Le président du parti a usé de ses prérogatives »
Il souligne notamment que Ould Abbès « est un militant et un moudjahid. On le connaît en tant que ministre et donc en tant que gestionnaire au sein du gouvernement. Mais la gestion du parti est une autre affaire. On va le tester. »
Des conditions pour travailler avec Ould Abbès
Abdelkrim Abada déclare qu'il est près à travailler avec lui mais « avec des conditions ». Car pour cet ancien militant de l'ex-part unique «il est nécessaire de travailler pour sauver le parti et ne pas continuer à travailler avec les anciennes pratiques. Il y a eu le passage de Abdelaziz Belkhadem et puis de Amar Saâdani à la tête du parti. Le parti doit être réhabilité et remis aux militants. Il faut consacrer la démocratie, la loi, et anéantir la corruption dans le parti ».
L'opposition continue si ...
Bien entendu Abada ne semble pas avoir des illusions. D'ailleurs il souligne à ce propos que « si la nouvelle direction continue à travailler avec les anciennes pratiques, on continuera à s'opposer pour solutionner les problèmes du parti ». Mais à l'heure actuelle la nouvelle direction du FLN n'a pas encore contacté les « opposants » et Abada précise d'ailleurs que «le nouveau secrétaire général du FLN a lancé un appel.
On attend le deuxième pas. Nous on vient de dire qu'on est prêt à travailler avec lui avec les conditions qu'on vient de citer ».
Néanmoins concernant la principale revendication des dissidents, à savoir d'organiser un congrès extraordinaire, alors que OUld Abbès a clairement signifié qu'il compte terminer le mandat de son prédécesseur, jusqu'en 2020, Abada de son côté souhaite «de mettre en place une commission qui va travailler après les législatives et organiser un congrès extraordinaire pour préparer la présidentielle.
Un congrès extraordinaire sans exclusion et sans marginalisation, auquel tous les militants participeront pour dépasser tous les conflits au sein du parti et prendre part à l'élection comme force cohérente». De son côté l'autre dissident du parti Abderrahamane Belayat ne semble pas encore une fois partager les positions de Abada. Pour lui d'abord concernant la démission de Saadani, il « préfère parler de départ au lieu de démission ou d'éviction » en rappelant au passage :
« Saâdani constituait un obstacle devant le rétablissement de la situation légale et légitime au sein du parti. Bien entendu, nous n'avons pas combattu la personne, mais les actes. Nous considérons qu'il bloquait clairement toute voie vers le retour à la légitimité ».
Nous attendons les intentions et les actes de celui qui a succédé à Saâdani. Nous souhaitons qu'il se démarque des actes illégaux de son prédécesseur depuis son arrivée à la tête du Secrétariat général du parti.
Ce n'est pas tout. Il faut qu'il y ait un retour à la légitimité. Nous serons alors disponibles à travailler avec lui dans le cadre d'une Commission ad hoc, et ce, dans la perspective d'assainir la situation actuelle au FLN ». Alors que Abada appelle à l'organisation d'un congrès après les législatives, Belayat maintient sa position :
« Nous souhaitons la tenue d'un congrès rassembleur avant les élections législatives sinon ça sera la débandade et l'anarchie. Ce même congrès constituera un pas indispensable pour le retour à la légitimité. Notre crainte est que Ould Abbes devienne l'otage de ceux qui ont été désignés par Amar Saâdani ».


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