Une bonne nouvelle en provenance de Téhéran. Le ministre de l'Energie, Noureddine Bouterfa, a pu convaincre hier son homologue iranien, Bijan Zanganeh, de défendre une proposition de réduire le quota de production de l'Opep de l'ordre de 1.100.000 barils par jour contre les 750. 000 décidés lors de la réunion informelle d'Alger. Une bonne nouvelle en provenance de Téhéran. Le ministre de l'Energie, Noureddine Bouterfa, a pu convaincre hier son homologue iranien, Bijan Zanganeh, de défendre une proposition de réduire le quota de production de l'Opep de l'ordre de 1.100.000 barils par jour contre les 750. 000 décidés lors de la réunion informelle d'Alger. C'est du moins ce qu'a déclaré cet après midi Bouterfa aux médias iraniens au sortir de l'audience que lui a accordé M.Bijan Zanganeh. Bouterfa a ainsi révélé avoir proposé à son homologue de porter le niveau de la réduction de la production pour le sommet de Vienne à 1.100.000 barils par jour. Un niveau qui sera de nature à booster les cours pour monter à hauteur de 55 dollars, a expliqué Bouterfa dans les propos rapportés par l'agence iranienne Irna. Le ministre du Pétrole, Bijan Zanganeh, qui n'est pas resté insensible au discours de Bouterfa, lui a promis «d'examiner» la proposition et, éventuellement la défendre lors du sommet de l'OPEP, mercredi à Vienne. C'est assurément une évolution prometteuse des négociations surtout que l'Arabie Saoudite semble traîner les pieds en refusant même de participer à une réunion informelle avec les pays non OPEP. Bouterfa a déclaré à la presse iranienne que si le 171e sommet de l'OPEP parvient à un accord, le prix du baril "pourra monter jusqu'à 55 dollars à la fin de l'année et culminer à 60 dollars en 2017", selon l'agence Irna. Autre bonne nouvelle, le ministre des l'Energie a annoncé à partir de Téhéran, que les producteurs hors Opep sont disposés à soutenir la proposition de réduire leurs quotas de 600.000 barils. Du coup, le sommet de Vienne s'annonce sous de meilleurs auspices même si Riyad continue de jouer les troubles-fête pour rester le seul maître du jeu. Mais l'Algérie ne perd pas espoir de convaincre le Cartel et les autres producteurs de faire bloc pour redresser les cours. Bouterfa a averti aujourd'hui, devant la presse, que si le sommet de Vienne échoue à parvenir à un accord, "les cours du brut vont chuter en dessous des 50 dollars et nos économies seront sérieusement touchées." Mais ce scénario catastrophe semble éloigné, puisque même le Haut comité d'experts de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a donné vendredi, son aval à la proposition algérienne pour être soumise à la conférence ministérielle de cette organisation qui se tiendra le 30 novembre en cours à Vienne. Dans un entretien à l'agence APS, Noureddine Boutarfa a déclaré que "l'Algérie a mis sur la table une proposition. Nous estimons que c'est une bonne proposition. Elle est équilibrée et elle tient compte des préoccupations de toutes les parties". Boutarfa a souligné que "nous poursuivons nos efforts pour parvenir à un accord consensuel, juste et équilibré qui mette en oeuvre l'accord d'Alger" lequel consiste à ramener la production entre 32,5 millions et 33 millions de barils par jour. C'est du moins ce qu'a déclaré cet après midi Bouterfa aux médias iraniens au sortir de l'audience que lui a accordé M.Bijan Zanganeh. Bouterfa a ainsi révélé avoir proposé à son homologue de porter le niveau de la réduction de la production pour le sommet de Vienne à 1.100.000 barils par jour. Un niveau qui sera de nature à booster les cours pour monter à hauteur de 55 dollars, a expliqué Bouterfa dans les propos rapportés par l'agence iranienne Irna. Le ministre du Pétrole, Bijan Zanganeh, qui n'est pas resté insensible au discours de Bouterfa, lui a promis «d'examiner» la proposition et, éventuellement la défendre lors du sommet de l'OPEP, mercredi à Vienne. C'est assurément une évolution prometteuse des négociations surtout que l'Arabie Saoudite semble traîner les pieds en refusant même de participer à une réunion informelle avec les pays non OPEP. Bouterfa a déclaré à la presse iranienne que si le 171e sommet de l'OPEP parvient à un accord, le prix du baril "pourra monter jusqu'à 55 dollars à la fin de l'année et culminer à 60 dollars en 2017", selon l'agence Irna. Autre bonne nouvelle, le ministre des l'Energie a annoncé à partir de Téhéran, que les producteurs hors Opep sont disposés à soutenir la proposition de réduire leurs quotas de 600.000 barils. Du coup, le sommet de Vienne s'annonce sous de meilleurs auspices même si Riyad continue de jouer les troubles-fête pour rester le seul maître du jeu. Mais l'Algérie ne perd pas espoir de convaincre le Cartel et les autres producteurs de faire bloc pour redresser les cours. Bouterfa a averti aujourd'hui, devant la presse, que si le sommet de Vienne échoue à parvenir à un accord, "les cours du brut vont chuter en dessous des 50 dollars et nos économies seront sérieusement touchées." Mais ce scénario catastrophe semble éloigné, puisque même le Haut comité d'experts de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a donné vendredi, son aval à la proposition algérienne pour être soumise à la conférence ministérielle de cette organisation qui se tiendra le 30 novembre en cours à Vienne. Dans un entretien à l'agence APS, Noureddine Boutarfa a déclaré que "l'Algérie a mis sur la table une proposition. Nous estimons que c'est une bonne proposition. Elle est équilibrée et elle tient compte des préoccupations de toutes les parties". Boutarfa a souligné que "nous poursuivons nos efforts pour parvenir à un accord consensuel, juste et équilibré qui mette en oeuvre l'accord d'Alger" lequel consiste à ramener la production entre 32,5 millions et 33 millions de barils par jour.