Compte tenu du contexte politique, social et économique dans lesquels vont se dérouler les prochaines échéances électorales, certaines parties qui ont déjà annoncé leur participation, s'accordent à dire que le scrutin constitue une étape décisive pour l'avenir de la démocratie en Algérie. Compte tenu du contexte politique, social et économique dans lesquels vont se dérouler les prochaines échéances électorales, certaines parties qui ont déjà annoncé leur participation, s'accordent à dire que le scrutin constitue une étape décisive pour l'avenir de la démocratie en Algérie. C'est une élection qui va consacrer la souveraineté du peuple, lequel choisira, en toute liberté et transparence, ses représentants au niveau de la Chambre basse, parmi les partis politiques en course. Pour eux, la promesse de la Haute instance indépendante de surveillance des élections qui a été officiellement installée dimanche dernier, de garantir des élections transparentes, est un ingrédient de plus à aller de l'avant. Loin d'avoir le même avis, les partis politiques sont partagés entre soutien franc, réserve et défiance. Mais la rue algérienne semble déconnectée de ce monde qui mijote au dessus de sa tête. Un constat fait avec quelques citoyens, lors d'une virée dans un café qui assure la projection des matchs de la Can. Pour Merzouk, fonctionnaire, ces élections n'ont absolument aucun sens, ni aucune valeur ajoutée pour l'Algérie et les Algériens. Il se demande : "Pourquoi le peuple irait-il voter pour élire des députés qui n'ont jamais joué le rôle que la Constitution leur confère, ignorant ainsi totalement leurs devoirs envers le peuple en se contentant de lever la main quand on le leur demandait ?" Le véritable problème est donc encore et toujours l'absence d'une prise en compte de la voix du peuple. "Dans ces conditions, pourquoi ironsnous voter ?" insiste-t-il. Pour Saïd, un propriétaire du café : "Nous avons mille et une raisons de nous plaindre, l'actualité et la crise économique en donnent tous les jours l'occasion. Mais se plaindre sans agir ne changera rien, les hommes politiques seront toujours les mêmes", a-t-il expliqué. "Toutes les élections sont importantes, que ce soient les présidentielles, les législatives, les municipales, les référendums, etc. Chacune d'elles porte sur une partie des pouvoirs politiques. C'est notre avenir qui est entre nos mains puisque par notre vote nous désignons ceux qui seront chargés de nous représenter. En attendant d'avoir mieux, on évite le pire", a-t-il fait comprendre. Pour Nassim, étudiant, ce chauvin de l'équipe nationale et de Mahrez en particulier nous explique que : "Le vote est l'acte de citoyenneté par excellence, c'est le moyen de faire fonctionner la démocratie et, par conséquence de protéger nos libertés". "Une démocratie ne peut vivre que si les citoyens s'approprient le processus politique, à commencer par les élections, comme une responsabilité, comme un devoir. Mais c'est aussi un droit qui a été acquis par nos aïeux, parfois au prix de leur vie. S'ils étaient encore là, ils ne comprendraient pas pourquoi aujourd'hui autant de citoyens s'abstiennent de faire usage de ce droit. Ne pas voter, c'est leur dire qu'ils se sont battus pour rien", a t-il précisé." En effet, même si tous les candidats nous paraîtront "mauvais", il est néanmoins nécessaire de voter pour éliminer les pires", a-t-il conclu. C'est une élection qui va consacrer la souveraineté du peuple, lequel choisira, en toute liberté et transparence, ses représentants au niveau de la Chambre basse, parmi les partis politiques en course. Pour eux, la promesse de la Haute instance indépendante de surveillance des élections qui a été officiellement installée dimanche dernier, de garantir des élections transparentes, est un ingrédient de plus à aller de l'avant. Loin d'avoir le même avis, les partis politiques sont partagés entre soutien franc, réserve et défiance. Mais la rue algérienne semble déconnectée de ce monde qui mijote au dessus de sa tête. Un constat fait avec quelques citoyens, lors d'une virée dans un café qui assure la projection des matchs de la Can. Pour Merzouk, fonctionnaire, ces élections n'ont absolument aucun sens, ni aucune valeur ajoutée pour l'Algérie et les Algériens. Il se demande : "Pourquoi le peuple irait-il voter pour élire des députés qui n'ont jamais joué le rôle que la Constitution leur confère, ignorant ainsi totalement leurs devoirs envers le peuple en se contentant de lever la main quand on le leur demandait ?" Le véritable problème est donc encore et toujours l'absence d'une prise en compte de la voix du peuple. "Dans ces conditions, pourquoi ironsnous voter ?" insiste-t-il. Pour Saïd, un propriétaire du café : "Nous avons mille et une raisons de nous plaindre, l'actualité et la crise économique en donnent tous les jours l'occasion. Mais se plaindre sans agir ne changera rien, les hommes politiques seront toujours les mêmes", a-t-il expliqué. "Toutes les élections sont importantes, que ce soient les présidentielles, les législatives, les municipales, les référendums, etc. Chacune d'elles porte sur une partie des pouvoirs politiques. C'est notre avenir qui est entre nos mains puisque par notre vote nous désignons ceux qui seront chargés de nous représenter. En attendant d'avoir mieux, on évite le pire", a-t-il fait comprendre. Pour Nassim, étudiant, ce chauvin de l'équipe nationale et de Mahrez en particulier nous explique que : "Le vote est l'acte de citoyenneté par excellence, c'est le moyen de faire fonctionner la démocratie et, par conséquence de protéger nos libertés". "Une démocratie ne peut vivre que si les citoyens s'approprient le processus politique, à commencer par les élections, comme une responsabilité, comme un devoir. Mais c'est aussi un droit qui a été acquis par nos aïeux, parfois au prix de leur vie. S'ils étaient encore là, ils ne comprendraient pas pourquoi aujourd'hui autant de citoyens s'abstiennent de faire usage de ce droit. Ne pas voter, c'est leur dire qu'ils se sont battus pour rien", a t-il précisé." En effet, même si tous les candidats nous paraîtront "mauvais", il est néanmoins nécessaire de voter pour éliminer les pires", a-t-il conclu.