A partir d'aujourd'hui et durant trois semaines, les partis politiques partent à la conquête des électeurs. La campagne électorale pour les élections législatives du 4 mai prochain, qui démarrera donc à partir de ce dimanche 9 avril pour s'achever que le dimanche 30 avril, ne risque pas d'être une simple sinécure pour les plus de 900 listes électorales en compétition pour les 462 sièges de l'APN tant la bataille promet d'être assez rude. A partir d'aujourd'hui et durant trois semaines, les partis politiques partent à la conquête des électeurs. La campagne électorale pour les élections législatives du 4 mai prochain, qui démarrera donc à partir de ce dimanche 9 avril pour s'achever que le dimanche 30 avril, ne risque pas d'être une simple sinécure pour les plus de 900 listes électorales en compétition pour les 462 sièges de l'APN tant la bataille promet d'être assez rude. Assez rude d'abord et en premier lieu pour les partis politiques et les indépendants en ce sens qu'il leur est imposés de séduire un électorat de plus en plus récalcitrant à aller aussi allégrement glisser le bulletin de vote dans l'urne ou ce que d'aucuns appellent l'accomplissement du devoir électoral comme pour mieux sensibiliser les gens sur l'importance de l'acte de voter, voir même de sa «sacralité». C'est que la hantise de l'abstention est bien réelle et elle est même sur une courbe croissante. Il est d'ailleurs nul besoin d'évoquer les taux de participation des dernières courses électorales pour admettre cette terrible vérité qui fait tant grincer les dents des politiques à chaque rendez- vous électoral : les algériens, en tout cas une majorité d'entre eux, donnent la nette impression d'avoir irrémédiablement décidés de tourner le dos dés lors qu'il s'agit de les inviter à aller voter. Il s'agirait ensuite, par voie de conséquence, de les amener à voter en faveur des listes et des candidats que défend chaque parti. En somme les compétiteurs sont appelés à déployer toute leur énergie politique et leur charme pour inciter les algériens à s'intéresser à cette campagne électorale. Autant dire qu'il est question d'une offensive de charme de grande ampleur. Il faut préciser que c'est justement cette crainte de l'abstention qui a poussé les intéressés à entamer une campagne électorale précoce. En effet, les appels à un vote massif se sont multipliés au fur et à mesure que se rapprochait l'échéance de l'entame de cette campagne électorale. Et sur ce plan les partis, toutes tendances politiques confondues, ont accordés leurs violons. Une fois n'est pas coutume, partis politiques d'opposition comme ceux soutenant le pouvoir, sont dans le même camp. «Il faut aller voter même s'il faut glisser un bulletin blanc» martelait sans cesse des membres du gouvernement preuve, sans doute, que le taux de participation constitue un enjeu majeur et primordial pour l'exécutif. «L'abstention sert l'intérêt des concurrents politiques» tonnaient, de leur coté, les responsables des partis politiques à l'effet de mobiliser militants et sympathisants. Avec le début aujourd'hui de la campagne électorale, il est évident que les politiques vont jeter toutes leurs forces dans la bataille électorale. Mais les partis politiques, s'ils n'oublient pas de sensibiliser les électeurs d'aller en grand nombre aux urnes le 4 mai prochain, il est tout autant capital pour eux de convaincre du bien fondé de leurs programmes électoraux et, par ricochet, de la nullité ou de l'insuffisance de ceux de leurs adversaires. Pour ce faire, cette campagne électorale ne manquera pas aussi d'être émaillée d'attaques, de tirs croisés et de polémiques. Car, sur cette question, tous les coups seront peut être utilisés pour discréditer l'adversaire à l'effet d'amoindrir ses chances de rafler autant de sièges à l'APN et d'augmenter les siennes pour en obtenir le plus grand nombre possible. Assez rude d'abord et en premier lieu pour les partis politiques et les indépendants en ce sens qu'il leur est imposés de séduire un électorat de plus en plus récalcitrant à aller aussi allégrement glisser le bulletin de vote dans l'urne ou ce que d'aucuns appellent l'accomplissement du devoir électoral comme pour mieux sensibiliser les gens sur l'importance de l'acte de voter, voir même de sa «sacralité». C'est que la hantise de l'abstention est bien réelle et elle est même sur une courbe croissante. Il est d'ailleurs nul besoin d'évoquer les taux de participation des dernières courses électorales pour admettre cette terrible vérité qui fait tant grincer les dents des politiques à chaque rendez- vous électoral : les algériens, en tout cas une majorité d'entre eux, donnent la nette impression d'avoir irrémédiablement décidés de tourner le dos dés lors qu'il s'agit de les inviter à aller voter. Il s'agirait ensuite, par voie de conséquence, de les amener à voter en faveur des listes et des candidats que défend chaque parti. En somme les compétiteurs sont appelés à déployer toute leur énergie politique et leur charme pour inciter les algériens à s'intéresser à cette campagne électorale. Autant dire qu'il est question d'une offensive de charme de grande ampleur. Il faut préciser que c'est justement cette crainte de l'abstention qui a poussé les intéressés à entamer une campagne électorale précoce. En effet, les appels à un vote massif se sont multipliés au fur et à mesure que se rapprochait l'échéance de l'entame de cette campagne électorale. Et sur ce plan les partis, toutes tendances politiques confondues, ont accordés leurs violons. Une fois n'est pas coutume, partis politiques d'opposition comme ceux soutenant le pouvoir, sont dans le même camp. «Il faut aller voter même s'il faut glisser un bulletin blanc» martelait sans cesse des membres du gouvernement preuve, sans doute, que le taux de participation constitue un enjeu majeur et primordial pour l'exécutif. «L'abstention sert l'intérêt des concurrents politiques» tonnaient, de leur coté, les responsables des partis politiques à l'effet de mobiliser militants et sympathisants. Avec le début aujourd'hui de la campagne électorale, il est évident que les politiques vont jeter toutes leurs forces dans la bataille électorale. Mais les partis politiques, s'ils n'oublient pas de sensibiliser les électeurs d'aller en grand nombre aux urnes le 4 mai prochain, il est tout autant capital pour eux de convaincre du bien fondé de leurs programmes électoraux et, par ricochet, de la nullité ou de l'insuffisance de ceux de leurs adversaires. Pour ce faire, cette campagne électorale ne manquera pas aussi d'être émaillée d'attaques, de tirs croisés et de polémiques. Car, sur cette question, tous les coups seront peut être utilisés pour discréditer l'adversaire à l'effet d'amoindrir ses chances de rafler autant de sièges à l'APN et d'augmenter les siennes pour en obtenir le plus grand nombre possible.
