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Une taxe sera bientôt instaurée
Limiter les dégâts de la pollution
Publié dans Le Midi Libre le 29 - 07 - 2017

Des mesures fiscales seront instaurées prochainement pour lutter contre la pollutionet ses ravages. Le principe de"pollueur-payeur" sera consacré par un nouveau texte de loi.
Des mesures fiscales seront instaurées prochainement pour lutter contre la pollutionet ses ravages. Le principe de"pollueur-payeur" sera consacré par un nouveau texte de loi.
L a ministre de l'Environnement et des Energies renouvelables Fatma- Zohra Zerouati a évoqué, lors d'un conclave avec les cadres de son secteur, que de nouvelles mesures fiscales seront opérationnelles pour ce qui est de la pollution et la gestion et collecte des déchets. Pour lutter contre les effets de la pollution sur l'environnement et la santé des citoyens, la ministre a indiqué que "les mesures fiscales sont prévues dans le cadre de l'avant-projet de la loi de finances de 2018".
Ce sera sous forme d'une taxe que désormais les pollueurs devront payer suite aux rejets des eaux industrielles où celles provenant des déchets ménagers jetés anarchiquement. Tout en déplorant les lacunes sur ces questions, la ministre va entamer avec les ONG, responsables des entreprises et les pouvoirs publics concernés toute une campagne explicative sur l'instauration de ces nouvelles taxes. Le gouvernement veut sortir des sentiers battus et s'attaquer aux réels problèmes de l'environnement en relançant plusieurs projets mort-nés. Il s'agira en premier de réorganiser les services de collecte de déchets ménagers à travers les communes.
La ministre de l'environnement a saisi l'occasion pour souligner que "le maillon faible réside dans la non collecte par les APC de la fiscalité liée à la gestion des déchets". Donc, un impôt sera envisageable pour parer à ce dysfonctionnement. Il faut rappeler que l'Algérie reste un pays mal classé en matière de respect de certaines normes environnementales surtout lorsqu'il s'agit d'émissions de gaz pollueurs des automobiles et l'utilisationde l'essence à plomb réputé trèsdangereux.
A juste titre, une réflexionporte actuellement sur la mise en placed'une action pour lutter contre desdéchets spécifiques résultant de certains résidus tels que le mercure, le plomb etles nitrates.Ce sont surtout les industries qui déversent ces déchets dans des endroitspublics non protégés et dans les eaux de mer qui sont les plus concernées.
D'autre part, les industries plastiques qui développement toujours la production dusachet noir sont dans le collimateur dudépartement de l'environnement.Un sujet qui reste d'actualité et queplusieurs ministres s'y sont attaquéssans résultats palpables.Le fait que la ministre ait parlé de l'aspect juridique et économique fait que ce dossier ne sera pas remis dans lestiroirs. Le département de Mme Zerouati veut associer les citoyens et le mouvementassociatif autour de consultations publiques qui vont être entamées prochainement.
L a ministre de l'Environnement et des Energies renouvelables Fatma- Zohra Zerouati a évoqué, lors d'un conclave avec les cadres de son secteur, que de nouvelles mesures fiscales seront opérationnelles pour ce qui est de la pollution et la gestion et collecte des déchets. Pour lutter contre les effets de la pollution sur l'environnement et la santé des citoyens, la ministre a indiqué que "les mesures fiscales sont prévues dans le cadre de l'avant-projet de la loi de finances de 2018".
Ce sera sous forme d'une taxe que désormais les pollueurs devront payer suite aux rejets des eaux industrielles où celles provenant des déchets ménagers jetés anarchiquement. Tout en déplorant les lacunes sur ces questions, la ministre va entamer avec les ONG, responsables des entreprises et les pouvoirs publics concernés toute une campagne explicative sur l'instauration de ces nouvelles taxes. Le gouvernement veut sortir des sentiers battus et s'attaquer aux réels problèmes de l'environnement en relançant plusieurs projets mort-nés. Il s'agira en premier de réorganiser les services de collecte de déchets ménagers à travers les communes.
La ministre de l'environnement a saisi l'occasion pour souligner que "le maillon faible réside dans la non collecte par les APC de la fiscalité liée à la gestion des déchets". Donc, un impôt sera envisageable pour parer à ce dysfonctionnement. Il faut rappeler que l'Algérie reste un pays mal classé en matière de respect de certaines normes environnementales surtout lorsqu'il s'agit d'émissions de gaz pollueurs des automobiles et l'utilisationde l'essence à plomb réputé trèsdangereux.
A juste titre, une réflexionporte actuellement sur la mise en placed'une action pour lutter contre desdéchets spécifiques résultant de certains résidus tels que le mercure, le plomb etles nitrates.Ce sont surtout les industries qui déversent ces déchets dans des endroitspublics non protégés et dans les eaux de mer qui sont les plus concernées.
D'autre part, les industries plastiques qui développement toujours la production dusachet noir sont dans le collimateur dudépartement de l'environnement.Un sujet qui reste d'actualité et queplusieurs ministres s'y sont attaquéssans résultats palpables.Le fait que la ministre ait parlé de l'aspect juridique et économique fait que ce dossier ne sera pas remis dans lestiroirs. Le département de Mme Zerouati veut associer les citoyens et le mouvementassociatif autour de consultations publiques qui vont être entamées prochainement.


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