Les fonctionnaires communaux reviennent encore une fois à la charge. En effet, lestravailleurs communauxcomptent paralyser l'administration communale à ravers une grève nationale de trois jours, les 25, 26 et 27 bseptembre prochain. Les fonctionnaires communaux reviennent encore une fois à la charge. En effet, lestravailleurs communauxcomptent paralyser l'administration communale à ravers une grève nationale de trois jours, les 25, 26 et 27 bseptembre prochain. Ce mouvement de grève sera appuyé par une marche nationale pacifique, le 27 du mois en cours, dans la wilaya de Bouira. La Fédération nationale du secteur des communes, affiliée au Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (Snapap), a décidé de réinvestir le terrain de la protesta, comme seul moyen de faire entendre nos revendications, et ce, suite à la non prise en charge de sa plate-forme de revendications. "Aucune réponse n'a été communiquée par rapport à nos revendications, et pendant ce temps-là le fonctionnaire communal continue à manger son pain noir, son pouvoir d'achat s'érodant chaque jour un peu plus", se sont indignés les quelques fonctionnaires rencontrés. Pour leur part, les organisateurs de cette action, justifient le débrayage auquel ils ont appelé par la situation socioprofessionnelle des travailleurs communaux qui se caractérise par "la dégradation des conditions de travail et du pouvoir d'achat". Une situation que dénonce la Fédération en question avec force : "Notre entité syndicale vise également, à travers ce mouvement de grève, à faire pression sur le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales pour qu'il prenne en charge les préoccupations des travailleurs communaux", tout en indiquant que les travailleurs sont mobilisés dans toutes les wilayas du pays, afin de faire aboutir leurs revendications. Il y a lieu de rappeler que cette catégorie de travailleurs demande "l'applicationréelle de l'abrogation de l'article87 bis du code du travail avec effetrétroactif depuis janvier 2008, et l'attributiondes indemnités et les primes,dont celle du guichet pour les agents del'état civil". Outre les revendicationscitées plus haut, les communaux réclamentl'intégration définitive des contractuels,notamment ceux qui activentdans le cadre des dispositifs du préemploiet du filet social. Ils insistent sur "le respect de l'exercice de l'activité syndicale, dont le droit à la grève". Il convientde souligner, par ailleurs, que laFédération en question a, encore unefois, rejeté catégoriquement le projet dunouveau code du travail, soulignant quece dernier "n'est pas conforme avec lesconventions de l'Organisation internationaledu travail". En outre, le syndicatappelle les responsables concernés "àassurer un salaire de douze mois par ansans retard à tous les travailleurs communaux,à associer les syndicatsautonomes dans les tripartites et àoctroyer les primes de souveraineté duSud et Grand Sud". Il demande également"la réduction de l'IRG pour unejustice fiscale, le maintien de l'ancien régime de retraite sans conditions, ainsique l'annulation de la loi interdisant auxtravailleurs communaux de se porter candidatsaux élections". Pour ce faire, lesyndicat des communaux ne compte pasbaisser les bras. Il envisage de généraliser la protestation et durcir sa positionqu'à ce que la tutelle réponde favorablementà l'ensemble de leurs revendications. Ce mouvement de grève sera appuyé par une marche nationale pacifique, le 27 du mois en cours, dans la wilaya de Bouira. La Fédération nationale du secteur des communes, affiliée au Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (Snapap), a décidé de réinvestir le terrain de la protesta, comme seul moyen de faire entendre nos revendications, et ce, suite à la non prise en charge de sa plate-forme de revendications. "Aucune réponse n'a été communiquée par rapport à nos revendications, et pendant ce temps-là le fonctionnaire communal continue à manger son pain noir, son pouvoir d'achat s'érodant chaque jour un peu plus", se sont indignés les quelques fonctionnaires rencontrés. Pour leur part, les organisateurs de cette action, justifient le débrayage auquel ils ont appelé par la situation socioprofessionnelle des travailleurs communaux qui se caractérise par "la dégradation des conditions de travail et du pouvoir d'achat". Une situation que dénonce la Fédération en question avec force : "Notre entité syndicale vise également, à travers ce mouvement de grève, à faire pression sur le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales pour qu'il prenne en charge les préoccupations des travailleurs communaux", tout en indiquant que les travailleurs sont mobilisés dans toutes les wilayas du pays, afin de faire aboutir leurs revendications. Il y a lieu de rappeler que cette catégorie de travailleurs demande "l'applicationréelle de l'abrogation de l'article87 bis du code du travail avec effetrétroactif depuis janvier 2008, et l'attributiondes indemnités et les primes,dont celle du guichet pour les agents del'état civil". Outre les revendicationscitées plus haut, les communaux réclamentl'intégration définitive des contractuels,notamment ceux qui activentdans le cadre des dispositifs du préemploiet du filet social. Ils insistent sur "le respect de l'exercice de l'activité syndicale, dont le droit à la grève". Il convientde souligner, par ailleurs, que laFédération en question a, encore unefois, rejeté catégoriquement le projet dunouveau code du travail, soulignant quece dernier "n'est pas conforme avec lesconventions de l'Organisation internationaledu travail". En outre, le syndicatappelle les responsables concernés "àassurer un salaire de douze mois par ansans retard à tous les travailleurs communaux,à associer les syndicatsautonomes dans les tripartites et àoctroyer les primes de souveraineté duSud et Grand Sud". Il demande également"la réduction de l'IRG pour unejustice fiscale, le maintien de l'ancien régime de retraite sans conditions, ainsique l'annulation de la loi interdisant auxtravailleurs communaux de se porter candidatsaux élections". Pour ce faire, lesyndicat des communaux ne compte pasbaisser les bras. Il envisage de généraliser la protestation et durcir sa positionqu'à ce que la tutelle réponde favorablementà l'ensemble de leurs revendications.