Djamal Ould Abbès, le secretaire général du FLN, a tenté de minimiser la fronde qui a marqué la confection des listes électorales pour les élections locales du 23 novembre. Djamal Ould Abbès, le secretaire général du FLN, a tenté de minimiser la fronde qui a marqué la confection des listes électorales pour les élections locales du 23 novembre. Le FLN est présent dans les 48 wilayas et 1.541 communes. "Certains candidats qui ont eu des attitudes hostiles au président Bouteflika ont tenté de s'infilter dans nos listes, ceux-là, je les ai éliminés au chalumeau et non pas au Karcher, comme dirait quelqu'un de l'autre côté de la Méditerranée, je le dis et j'assume mes propos" a indiqué hier le chef de file du FLN lors d'une conférence de presse. Le patron du FLN s'est défendu contre tout parachutage et toute cooptation de candidats, affirmant que la commission nationale a travaillé "en toute transparence et en toute démocratie, selon les paramètres arrêtés par la direction du parti". "Je n'ai cédé à aucune pression, à aucune influence, tout s'est déroulé de façon transparente et démocratique", a-til insisté longuement, en admettant néanmoins que certains hauts responsables du parti ont pu imposer leurs proches. "Je ne peux pas m'opposer à la volonté de la base, dès lors que c'est elle qui a choisi", s'est défendu le chef du FLN qui a profité aussi pour démentir les informations selon lesquelles l'administration aurait accepté les listes du FLN après l'expirationdes délais légaux. Ould Abbès s'est également réjoui de l'afflux des candidaturesau niveau du FLN "alors que d'autres partis avaient de la peine à compléterleurs listes", dit-il dans une allusion à Louisa Hanoune, la patronne du PT. Cet afflux s'est traduit statistiquementpar le nombre de 38 728 dossiers des candidats, dont 33.295 pour les APC et 4.419 pour les APW. "Les universitaires représentent65 % des candidats suivis de 25 % de candidats au niveau moyens et le resteconstitué de fellahs, moudjahids et autresmembres de la famille révolutionnaire", détaille Oud Abbès qui insiste sur le facteur"rajeunissement". On apprendra aussi que 118 membres du CC, 41 mouhafedhsont candidats. Au sujet du report de lacession du comité central, initialementprévue les 22 et 23 octobre, Ould Abbèsécarte toute manoeuvre politicienne de sapart et explique le report à la demande desmilitants afin de pouvoir se consacrer à la campagne électorale. Le FLN est présent dans les 48 wilayas et 1.541 communes. "Certains candidats qui ont eu des attitudes hostiles au président Bouteflika ont tenté de s'infilter dans nos listes, ceux-là, je les ai éliminés au chalumeau et non pas au Karcher, comme dirait quelqu'un de l'autre côté de la Méditerranée, je le dis et j'assume mes propos" a indiqué hier le chef de file du FLN lors d'une conférence de presse. Le patron du FLN s'est défendu contre tout parachutage et toute cooptation de candidats, affirmant que la commission nationale a travaillé "en toute transparence et en toute démocratie, selon les paramètres arrêtés par la direction du parti". "Je n'ai cédé à aucune pression, à aucune influence, tout s'est déroulé de façon transparente et démocratique", a-til insisté longuement, en admettant néanmoins que certains hauts responsables du parti ont pu imposer leurs proches. "Je ne peux pas m'opposer à la volonté de la base, dès lors que c'est elle qui a choisi", s'est défendu le chef du FLN qui a profité aussi pour démentir les informations selon lesquelles l'administration aurait accepté les listes du FLN après l'expirationdes délais légaux. Ould Abbès s'est également réjoui de l'afflux des candidaturesau niveau du FLN "alors que d'autres partis avaient de la peine à compléterleurs listes", dit-il dans une allusion à Louisa Hanoune, la patronne du PT. Cet afflux s'est traduit statistiquementpar le nombre de 38 728 dossiers des candidats, dont 33.295 pour les APC et 4.419 pour les APW. "Les universitaires représentent65 % des candidats suivis de 25 % de candidats au niveau moyens et le resteconstitué de fellahs, moudjahids et autresmembres de la famille révolutionnaire", détaille Oud Abbès qui insiste sur le facteur"rajeunissement". On apprendra aussi que 118 membres du CC, 41 mouhafedhsont candidats. Au sujet du report de lacession du comité central, initialementprévue les 22 et 23 octobre, Ould Abbèsécarte toute manoeuvre politicienne de sapart et explique le report à la demande desmilitants afin de pouvoir se consacrer à la campagne électorale.
