Les joueurs de la sélection nationale de football sont favorables à un retour austade Mustapha-Tchaker de Blida lors des prochaines échéances internationales. Les joueurs de la sélection nationale de football sont favorables à un retour austade Mustapha-Tchaker de Blida lors des prochaines échéances internationales. Le retour au stadeMustapha-Tchaker de Blida n'est qu'une question de temps. Les cadres de la sélection nationale ne souhaitent pas évoluer à l'avenir au stade Chahid-Hamlaoui à Constantine ni même au 5-Juillet. Ces deux stades, et même s'ils offrent toutes les commodités nécessaires, ne constituent pas vraiment une source de motivation pour les joueurs algériens. Le retour à la ville des Ponts suspendus après une vingtaine d'années d'absence ne s'est pas passé comme tout le monde le souhaitait. Les joueurs, et plus particulièrement le portier Fawzi Chaouchi, ont vécu une sale soirée. Ils ont été victimes d'insultes de toutes parts. Idem pour le retour au stade du 5-Juillet où les coéquipiers de Chems-Eddine Rahmani étaient également victimes d'insultes de certains pseudossupporters, malgré la large victoire contre la République de Centrafrique (3-0). Ces comportements n'étaient pas du goût des joueurs qui appelaient dès lors à un retour au stade Mustapha-Tchaker. La nouvelle équipe dirigeante de l'instance fédérale, à sa tête le président Kheïredine Zetchi qui a décidé de changer la domiciliation des Verts, ne s'est pas encore exprimée sur ce registre. Le nouvel entraîneur des Verts, Rabah Madjer, ainsi que ses deux adjoints Djamel Menad et Meziane Ighil sont prêts à jouer dans n'importe quel stade. Pour ce trio d'entraîneurs, "les joueurs doivent se montrer professionnelset faire face à la pression". Lenouveau staff technique songe même à programmer des matchs amicaux endehors de l'Algérie pour permettre auxjoueurs, notamment ceux qui évoluentdans les championnats européens, de s'acclimateraux conditions de l'Afrique noire.Pour le premier responsable à la barretechnique des Verts, en l'occurrence Rabah Madjer, la problématique du stadene doit jamais se poser. ‘"Jouer au 5-Juillet où ailleurs n'a pas d'importance. Pourquoi avoir peur du 5-Juillet, alors qu'il constituait par un passé récent lethéâtre de grands événements. Juste pour rappel, nous avons aussi réussi à remporter la Coupe d'Afrique des Nations sur ce terrain. Donc, je ne trouve aucun inconvénient de jouer dans ce stade ou ailleurs", avait fait savoir le coach national. Par ailleurs,la Fédération algérienne de football pense actuellement à meubler le vide laissé par le report des matchs des qualifications de la Coupe d'Afrique des Nations 2019 jusqu'au mois de septembre 2018. L'instance fédérale veut profiter de la prochaine date Fifa du mois de mars pour programmerdeux joutes amicales. Le président de la Faf veut affronter des équipes qualifiées pour le prochain Mondial 2018 en Russie. Le retour au stadeMustapha-Tchaker de Blida n'est qu'une question de temps. Les cadres de la sélection nationale ne souhaitent pas évoluer à l'avenir au stade Chahid-Hamlaoui à Constantine ni même au 5-Juillet. Ces deux stades, et même s'ils offrent toutes les commodités nécessaires, ne constituent pas vraiment une source de motivation pour les joueurs algériens. Le retour à la ville des Ponts suspendus après une vingtaine d'années d'absence ne s'est pas passé comme tout le monde le souhaitait. Les joueurs, et plus particulièrement le portier Fawzi Chaouchi, ont vécu une sale soirée. Ils ont été victimes d'insultes de toutes parts. Idem pour le retour au stade du 5-Juillet où les coéquipiers de Chems-Eddine Rahmani étaient également victimes d'insultes de certains pseudossupporters, malgré la large victoire contre la République de Centrafrique (3-0). Ces comportements n'étaient pas du goût des joueurs qui appelaient dès lors à un retour au stade Mustapha-Tchaker. La nouvelle équipe dirigeante de l'instance fédérale, à sa tête le président Kheïredine Zetchi qui a décidé de changer la domiciliation des Verts, ne s'est pas encore exprimée sur ce registre. Le nouvel entraîneur des Verts, Rabah Madjer, ainsi que ses deux adjoints Djamel Menad et Meziane Ighil sont prêts à jouer dans n'importe quel stade. Pour ce trio d'entraîneurs, "les joueurs doivent se montrer professionnelset faire face à la pression". Lenouveau staff technique songe même à programmer des matchs amicaux endehors de l'Algérie pour permettre auxjoueurs, notamment ceux qui évoluentdans les championnats européens, de s'acclimateraux conditions de l'Afrique noire.Pour le premier responsable à la barretechnique des Verts, en l'occurrence Rabah Madjer, la problématique du stadene doit jamais se poser. ‘"Jouer au 5-Juillet où ailleurs n'a pas d'importance. Pourquoi avoir peur du 5-Juillet, alors qu'il constituait par un passé récent lethéâtre de grands événements. Juste pour rappel, nous avons aussi réussi à remporter la Coupe d'Afrique des Nations sur ce terrain. Donc, je ne trouve aucun inconvénient de jouer dans ce stade ou ailleurs", avait fait savoir le coach national. Par ailleurs,la Fédération algérienne de football pense actuellement à meubler le vide laissé par le report des matchs des qualifications de la Coupe d'Afrique des Nations 2019 jusqu'au mois de septembre 2018. L'instance fédérale veut profiter de la prochaine date Fifa du mois de mars pour programmerdeux joutes amicales. Le président de la Faf veut affronter des équipes qualifiées pour le prochain Mondial 2018 en Russie.
